Si l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale liée à la Covid-19 le 5 mai dernier, elle a récemment mis à jour ses directives sur les traitements de la COVID-19. C’est la treizième modification apportée à ce document. Il intègre de nouveaux taux de risque d’hospitalisation, particulièrement pertinents face aux variants actuels et à l’impact de la vaccination. Ce mélange de volontarisme et d’objectivité est typique des ambiguïtés de l’OMS.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment mis à jour ses directives sur les traitements de la COVID-19, offrant des recommandations révisées pour les cas bénins. Cette treizième mise à jour de l’OMS se concentrent sur les taux de risque d’hospitalisation pour les patients présentant une forme bénigne de la COVID-19. Dans ses recommandations, l’OMS continue à écarter les médicaments existants (et surtout peu couteux) comme l’ivermectine, pourtant efficaces.
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L’OMS (essentiellement financée par Bill Gates) s’obstine à donner de mauvaises recommandations pour traiter le Covid, en temps qu’agence de régulation corrompue elle est responsable de la plus criminelle affaire de la médecine contemporaine. La parole est aux tribunaux.
Cet acharnement dans l’erreur manifeste est très inquiétant
Ce n’est pas une “erreur”…
Erratum lire « En tant qu’agence de régulation… ».
Le significatif et qui démontre le maintien d’un contrôle étroit des corrupteurs sur l’OMS est la recommandation maintenue pour l’inutile et toxique remdésivir, que personne d’autre ne recommande plus pour rien du tout tant la démonstration est claire.
Tout le texte est invalidé par cela.