Le Miami Herald a obtenu en justice la divulgation d’une première liste de 150 associés ou compères de Jeffrey Epstein. Même le cartel de la presse subventionnée a dû commencer à faire place à cette information gênante. Dans cet écheveau qui montre l’étendue de ce réseau de prostitution et de « kompromat » dont des jeunes femmes, parfois mineures, étaient le centre, on trouve une multitude de gens importants et, en particulier, trois noms qui ne manqueront pas de faire couler beaucoup, beaucoup, beaucoup d’encre.
L’affaire est évidemment embarrassante : Jeffrey Epstein, malencontreusement mort dans sa cellule en 2019, a longtemps bénéficié de faveurs accordées par des jeunes femmes, parfois mineurs, contre espèces sonnantes et trébuchantes, et semble avoir prostitué certaines de ces victimes. La presse américaine en parle beaucoup plus que la presse française, assignée, semble-t-il, à un large silence sur ce sujet.
Le Miami Herald vient d’obtenir de la justice américaine la publication d’une première liste d’associés d’Epstein. Ceux qui veulent en savoir pourront utilement consulter cette page qui résume la liste.
Parmi les « associés », on trouve des noms bien connus, dont celui de Bill Clinton, du prince Andrew, mais aussi de Donald Trump ce qui, à l’approche des élections présidentielles, ne devrait pas vraiment faire le beurre du candidat républicain. Ces personnalités semblent avoir aidé Epstein dans ses activités. Toutefois, rien ne prouve que celles-ci, s’agissant de Trump, aient inclus un commerce avec des mineures d’âge. Les documents ne permettent pas non plus d’établir des activités illégales de Donald Trump dans ce dossier. Il est seulement mentionné que Donald Trump a voyagé dans l’avion d’Epstein, en galante compagnie.
Il faudra suivre l’affaire dans ses développements pour comprendre les tenants et aboutissants des participations de chacun. Il n’en reste pas moins que, progressivement, la face cachée de la caste se révèle, et pourrait réserver bien des surprises.
Il semblerait cependant que Trump ne se soit jamais rendu sur l’île d’Epstein (lu chez Silvano Trotta).
Une manière (de plus) de discréditer Trump avant les élections ?
Vu que les tentatives de certains Etats démocrates de le rayer de liste des candidats ne semblent pas aboutir…
Eric,
Chacun reconnaître et apprécie votre indépendance forcenée et cristalline ( idem pour Edouard )
Serait-il exagéré de vous suggérer de conserver une déontologie de journaliste reconnu par sûrement tous les lecteurs de CdS qui se sont abonnés dès le lancement ( ou presque ) en documentant mieux « la place » de Trump dans cette affaire.
J’ai plusieurs membres de ma famille qui vivent aux USA (dont la prudence vis à vis des grands quotidiens m’a toujours impressionné) : ils me disent sans aucune nuance ni retenue que Trump va tirer profit , encore !, des allégations portées contre lui.
Plus précisément, un cousin tient d’un de ses associés qui joue au golf avec Trump que ce dernier n’est sûrement pas un saint mais qu’il n’a jamais pratiqué ce type de fréquentation
Tout le monde peut se tromper évidemment : au cas présent, ce serait plus que surprenant car Trump a mis le paquet contre les crimes d’Epstein dès lors que sa conviction fut faite
Nous avons consacré une brève de presse au sujet. Nous y reviendrons plus longuement, bien entendu.
Oui Trump a déféré Epstein devant la justice, il est peu probable qu’il ait trempé dans ce marigot démocrate.
Il faut reconnaître que l’hydre américaine qui est en train de déclencher, sous nos yeux, la 3eme GM pour échapper à sa crise financière a toutefois encore une JUSTICE qui fonctionne. Quel plaisir de voir cité dans les carnets d’Epstein Bill Gates ( grand vaccinateur criminel contre l’humanité) et Édouard de Rothschild cousin de l’employeur de Macron. Je ne serai pas surpris si ce Rothschild se réfugie en Israël d’où il ne peut pas être extradé. Mais la justice française regarde ailleurs.
Effectivement, les Etats-Unis ont le « freedom of information act », par lequel n’importe quel individu peut obtenir communication des documents détenus par les agences fédérales.
L’année dernière Pfizer en a fait les frais, puisque la FDA a été obligée de publier les détails du contrat passé avec Pfizer pour le vaccin anti-Covid, informations qui alimentent maintenant un certain nombre d’actes d’accusation…
Dans ces deux cas les agences fédérales se sont fait tirer l’oreille et il a fallu l’intervention de la Justice pour les obliger à obtempérer.
Il n’empêche, c’est une loi extrêmement précieuse. je crois que nous attendrons longtemps avant d’avoir l’équivalent en France et en Europe…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Freedom_of_Information_Act
Ce n’est pas un hasard si les poubelles se renversent aux élections… C’est une méthode économique et fiable que les Anglo-saxons maitrisent depuis des lustres. Chez nous, Macron le Young Leader a clairement bénéficié, entre autres, de cette méthode. Il a été élu dans une puanteur historique. Tous ses concurrents ont curieusement et littéralement pourri sur pied. Le vote électronique a fait le reste. C’est historiquement et statistiquement vérifiable. Moi, maintenant, je vote avec une pince à linge sur le nez, et, certainement pas avec une machine à truquer mon vote.