Depuis leur introduction pendant la pandémie, les masques jetables se sont rapidement répandus dans nos vies, mais aussi dans notre environnement. Composés principalement de polypropylène, du plastique, ces masques posent désormais un défi environnemental majeur. Des chercheurs du LIEC (Laboratoire interdisciplinaire des environnements continentaux) ont mené une étude pour évaluer l’impact de ces masques sur l’environnement. Ils ont découvert qu’en dégradant, ces masques de protection changent de propriétés. L’usage du masque jetable a ainsi créé une grave pollution. Selon les écologistes, cette politique a engendré la hausse inquiétante de l’usage du plastique.
Entre 2019 et 2021, la pandémie a généré une hausse fulgurante de la production mondiale de masques de protection jetables. Au cours de ces trois années, ils sont jetés partout et personne ne se souciait des conséquences de leur présence dans l’environnement. Une équipe de chercheurs lorrains s’attelle à comprendre l’impact de leur dégradation sur les écosystèmes. Outre le coût économique, cette politique du masquage constitue un coût environnemental non négligeable. Elle est à l’origine de la pollution plastique, une des principales menaces environnementales de la planète.
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L’usage de ces masques provoquait des sinusites à certaines personnes qui dégageaient en conséquence une haleine pestilentielle.
Qui finance ce genre d’étude qui consiste à enfoncer des portes ouvertes?