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Beaucoup rêvent d’un monde où le COVID ne nous obsédera plus. C’est un rêve légitime après une année et demie passée à subir l’hystérie collective du virus, de la maladie, de la mort à chaque coin de rue. Mais le temps passant, il n’est pas sûr que les occupations de l’esprit à venir soient beaucoup plus roses que la peur de mourir dans une chambre d’hôpital, au fond d’une unité de soins critiques.
Les Américains ont testé pour nous ce qui se passe une fois que le COVID ne nous obsède plus. Ce n’est pas exactement ce que nous imaginions. Nous adorions l’idée de “revenir à la normale” en arrêtant les contrôles d’identité à l’entrée des cafés et des restaurants, en oubliant la peur permanente de l’autre et de son contact. Mais tout cela, c’était dans nos rêves !
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Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.
© 2023 Le Courrier des Stratèges
La peur de manquer va remplacer la peur de vivre. C’est un progrès!
C’est bien évident et si l’on y surajoute la peur de réchauffement climatique, nous devenons un troupeau de moutons déboussolés.
Je pense que c’est bien ce qu’espèrent les tenants de la mondialisation pour parvenir à celle-ci.