A cause de la crise COVID, nombreux jeunes ont été confrontées au stress, à la solitude, à la peur de la maladie, à l’anxiété … une nouvelle étude menée par des chercheurs de plusieurs universités britanniques révèle des différences importantes entre les garçons et les filles quant à l’impact de la pandémie sur leur santé mentale. Nombreux sont les jeunes garçons qui ont développé des sentiments dépressifs. En 2022, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, patron de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celui du pyromane qui se fait pompier.
La crise du COVID a entraîné des conséquences considérables sur la santé mentale des adolescents à travers le monde. Selon une étude menée par les scientifiques de l’Université de Liverpool, de l’Université métropolitaine de Manchester, de l’Université de Reading et du King’s College de Londres, la pandémie de Covid-19, l’effet négatif de la pandémie du Covid-19 sur la santé mentale a été plus important chez les garçons que chez les filles. Les résultats ont été publiés dans le Journal européen de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs, notamment chez les jeunes.
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Incroyable le patron de l’OMS ose incriminer l’impact de la maladie Covid pour expliquer la détérioration de la santé mentale des jeunes ALORS que ce sont ses consignes folles de confinement et de vaccination qui ont déstabilisé les gamins. Clemenceau disait accuser les autres de vos propres turpitudes c’est faire de la politique, il en connaissait un bout.