Pour cette année, l’organisation onusienne souhaite au plus vite élargir ses prérogatives à l’échelle mondiale . Fin mars, les 194 états membres de l’OMS se sont réunis dans l’objectif de parvenir à un accord international visant à mieux prévenir et gérer les pandémies futures. Avec pour toile de fond les lacunes révélées par la crise de la COVID-19, l’enjeu est de distribuer équitablement les ressources, les vaccins et les traitements, tout en évitant les erreurs commises lors de la précédente pandémie. Cependant, malgré des années de discussions intenses, les pourparlers n’ont pas abouti à un consensus, laissant entrevoir les difficultés persistantes à surmonter. Le futur traité de l’OMS pose la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie.Pourtant, selon plusieurs responsables, africains pour la plupart, ce texte constituerait une atteinte à la souveraineté des Etats membres.
L’OMS (Organisation mondiale de la santé) fondée en 1948 ayant son siège à Genève poursuit son agenda sous l’influence de ses financeurs. En mars, dans les locaux du siège de l’OMS en Suisse, des négociateurs internationaux se sont réunis sous la direction du prince jordanien Zid Ra’ad Al Hussein. Ils avaient pour objectif d’élaborer le premier traité mondial sur la pandémie. Mais cette tentative n’a pas abouti. Les participants campaient sur leur position et il était difficile de trouver des compromis.
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La « réponse » conseillée (?) par l’OMS a produit un fiasco médical et a révélé de bien sombres objectifs. Les Africains sont bien placés pour en parler: c’est de continent qui a le plus « désobéi » et certains chefs d’Etats l’ont payé de leur vie.
Et on voudrait rendre les injonctions de cette instance corrompue contraignantes?