Bruxelles accuse la Chine de méthodes déloyales en matière de concurrence et vise ici principalement les éoliennes, les panneaux solaires et les voitures électriques. Cette technologie « made in China » révèle surtout une chose : la forte impulsion promise par Ursula von der Leyen à l’industrie européenne dans le cadre de la transition énergétique n’existe pas. L’Allemagne, première économie nationale de l’UE, a étouffé sa propre industrie avec des méthodes d’économie planifiée. En dépit de tout bon sens, on s’accroche malgré tout au Green Deal – quel qu’en soit le prix !
Olaf Scholz s’envole samedi pour la Chine. Depuis plusieurs jours, il n’y a (presque) plus d’autre sujet à Berlin. A Bruxelles, on attend du chancelier allemand qu’il prenne position à Pékin dans la guerre économique contre la Chine.
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Laissez moi rire, la guerre économique avec la Chine devenue l’usine du monde occidental grâce à notre volonté de rester compétitifs….
II devient comique ce Scholtz…
quel qu’en soit le prix paye PAR LES AUTRES. c’EST A DIRE VOUS ET MOI.
On s’y accroche car il en va du processus de dépopulation… des populations autochtones.