Même si la chasse printanière à l’oie des neiges était autorisée au Québec en 2020, une étude menée par des chercheurs de l’Université Laval a révélé que la baisse de la pression de chasse pendant le printemps 2020 a eu un impact significatif sur les réserves nutritives et les comportements alimentaires de ces oiseaux migrateurs. Les politiques restrictives du Covid-19 ont donc offert une courte pause à ces volatiles sauvages.
La crise du COVID-19 a eu des répercussions inattendues sur divers aspects de la vie, y compris sur la chasse aux oies des neiges. Les chercheurs ont observé que la baisse de la pression de chasse en 2020 a permis aux oies des neiges d’accumuler des réserves nutritives plus rapidement qu’à l’accoutumée avant leur migration vers les aires de reproduction.
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