Comme dans nombreux pays, au Royaume-Uni, la crise du Covid-19 a eu des répercussions majeures sur la société et l’économie. Désormais, les dommages causés par les confinements apparaissent petit à petit. Une nouvelle recherche financée par la Nuffield Foundation met en lumière les conséquences dévastatrices de ces fermetures sur les résultats d’examens des élèves. Selon cette étude, les enfants pourraient affronter les pires résultats d’examens depuis des décennies, avec des répercussions potentielles sur leur vie future.
Durant la crise sanitaire, les autorités sanitaires britanniques ont fait en sorte que le public se conforme coûte que coûte aux restrictions de confinement en constante évolution. Selon une étude, les enfants en Angleterre pourraient face à des « pires résultats aux examens depuis des décennies » et à une vie avec des revenus plus faibles. Les chercheurs estiment qu’il s’agit d’un impact négatif des fermetures d’écoles durant la pandémie du Covid-19. Ils recommandent la mise en place de politiques « à faibles coûts » pour y remédier.
Des résultats médiocres suite aux pertes d’apprentissage
Une étude financée par la Nuffield Foundation a révélé que les élèves en Angleterre pourraient faire « face aux pires résultats » aux examens nationaux GCSE (General Certificate of Secondary Education) depuis des décennies. Cela résulte de l’échec de la lutte contre le déclin de l’éducation causé par les fermetures des écoles pendant la pandémie du Covid-19.
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Pour les enfants en CP-CE1 l’année des confinements, c’est une catastrophe en France aussi. Pas besoin d’être grand clerc pour le prévoir. Mais… « quoi qu’il en coûte » n’est-ce pas? Facile quand cela ne coûte rien à celui qui a proféré cette énormité.
Le confinement a été un accélérateur de l’effondrement du niveau scolaire en Occident, mais les raisons du déclin sont bien plus profondes, c’est toute une société qui ne transmet plus les valeurs traditionnelles de vrai et du faux, du bien et du mal, du beau et du laid. Les syndicats enseignants sont depuis longtemps un condensé de poison anti éducatif. Les classes de niveau de Gabriel Attal étaient une chance de réanimer l’école, Nicole Belloubet a sorti ses griffes de socialiste.