L'exécution du général iranien Soleimani par une frappe américaine à distance fait monter d'un cran une tension déjà forte au Moyen-Orient entre les États-Unis et l'Iran. Nous considérons toujours que, dans ce dossier, Donald Trump résiste pied à pied aux pressions du Deep State américain pour mener une opération terrestre sur place. Tout laisse à penser que cette opération a été menée avec l'aide du MOSSAD, qui avait déjà proposé d'éliminer le général iranien, selon Maxime Chaix dans www.deep-news.media
L’assassinat du général Soleimani devrait laisser des traces profondes dans l’opinion et crisper fortement les relations internationales. Déjà, les premières secousses sont apparues dans les bourses mondiales, et les premières tensions sur le cours du pétrole ne tarderont pas à faire souffrir l’économie mondiale. Tout le monde attend avec crainte les représailles iraniennes, qui marqueront une nouvelle étape dans une escalade infernale.
Quel est le rôle du Mossad et de Trump dans l’opération?
À en croire les tweets de Donald Trump, cette opération es tune grande réussite personnelle pour lui. Notre conviction est que, dans ce dossier, Trump entrave comme il peut la course à la guerre voulue par le complexe militaro-industriel américain, favorable depuis de longs mois à une intervention militaire directe en Iran. Tout laisse à penser que, dans cette élimination à distance, les Américains ont bénéficié de la complicité active de plusieurs alliés : peut-être l’Arabie Saoudite, et plus sûrement Israël. On lira sur ce point l’excellent article de Maxime Chaix sur www.deep-news.media:
Il serait donc intéressant de savoir si les services israéliens ont été directement impliqués dans cet assassinat, sachant que l’administration Trump aurait donné son feu vert à Tel Aviv pour liquider ce général il y a près d’un an – considérant qu’il représentait une menace à la fois pour les États-Unis et pour Israël.
De notre point de vue, la situation est compliquée sur le terrain du fait d’un affrontement intense entre les faucons du Deep State et les colombes menées par Trump lui-même.
La Turquie fera-t-elle déborder le vase?
De son côté, le président turc mène une politique aventureuse qui pourrait allumer un incendie supplémentaire. La Turquie se propose en effet d’envoyer des troupes en Libye pour sauver un régime menacé par le maréchal Haftar. Or nous avions indiqué que ce maréchal est probablement équipé par la CIA, comme des officiels américains l’ont quasiment confirmé.
Quels sont les risques liés à une dégradation de la situation en Libye, après une intervention turque ratée en Syrie? La situation est si inquiétante que les réseaux sociaux ne parlent plus que d’un seul sujet : la Troisième Guerre Mondiale, sous le #WWIII.
Notre partenariat avec www.deep-news.media: profitez-en!
Le Courrier des Stratèges s’associe à Maxime Chaix pour le lancement de www.deep-news.media, media consacré au gouvernement profond. nous vous rappelons que tout abonné du Courrier des Stratèges a droit à trois mois gratuits sur son abonnement à ce site. Profitez-en!
Il faut croire que ce terrible général était un “bleu” en matière de voyageur icognito. Comment se fait-il qu’il ait pu monter dans sa “voiture” et son “second” dans une autre voiture sans une escorte de véhicules blindés tous “anonymisés”. Et il aurait sans doute mieux valu qu’il se refugiasse dans un bâtiment de l’aéroport en béton armé et souterrain en attendant une heure plus propice pour aller à sa “réunion”.
Et puis, si le “pilote” du drone a vu la belle chevalière et sans doute sa Rolex à son poignet, alors, alors, il n’y a aucun doute. Les iraniens vivent sur leur “puissance passée de la Grande Perse”. Et croient qu’on peut gagner une guerre sans “aviation ou autre avion sans pilote”. Car même aux funérailles de leur général, ils arrivent à mourir en s’étouffant mutuellement dans des mouvements de foules incontrôlées et insécurisées, ce qui en dit “long” sur leur stratégie de guerre “à l’Amérique”.
Quand au “Mossad”, il devrait de temps en temps “avertir” le maitre des horloges françaises de ne pas laisser sa ministre de la Justice être trop “laxiste” avec les “drogués et les détraqués d’Allah” en liberté dans certains territoires.
…il aurait sans doute mieux valu qu’il se RÉFUGIÂT…