Pour la bureaucratie sanitaire mondiale, les vaccins COVID restent le meilleur moyen pour prévenir les « vagues d’infections » COVID. Mais depuis le lancement de ces vaccins, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population. Il y avait le camp des partisans et celui des opposants. A travers une étude, des chercheurs ont voulu identifier les causes de cette divergence d’opinions concernant les vaccins en se focalisation sur la polarisation affective. La polarisation affective quantifie scientifiquement l’intensité des sentiments négatifs que les partisans d’une opinion éprouvent envers ceux qui ne la partagent pas. Selon une étude récente, la France et les États-Unis sont les pays où ce phénomène a le plus progressé : on tolère de moins en moins les personnes ayant des opinions différentes des nôtres.
Pour étudier les sentiments et les stéréotypes entre les partisans et les opposants à la vaccination contre le COVID-19, un étude s’est appuyée sur des données d’enquête transversales provenant de six pays européens (France, Allemagne, Italie, Espagne, Suisse et Royaume-Uni), collectées entre janvier et mars 2022. Nos résultats indiquent une polarisation affective basée sur l’opinion entre les partisans et les adversaires de la vaccination contre la COVID-19. Les deux groupes non seulement adoptent des positions différentes sur la question, mais affichent également une dynamique du favoritisme en groupe et de l’hostilité hors groupe.
A propos de l’étude
Très vite le vaccin qui était censé être un élément unificateur dans la lutte contre le Covid-19 est devenu une source de désaccord. Il a divisé la société en deux parties. L’une, formée par les partisans de la vaccination ou les pro-vax ; et l’autre partie est formée par les opposants à la vaccination ou les anti-vax.
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Cette étude est réalisée par des théoriciens de la rationalité cognitive. Il y a un parti pris dans leur façon de concevoir l’étude. Ses concepteurs font comme si les gens qui se méfiaient des vaccins ARN étaient des membres d’un parti ou en position identitaire face à un autre parti adverse. La réalité est plus complexe. Et la propagande contre les opposants à l’emprise de cette vaste fumisterie ARN messager démontre que le clivage entre pro et anti a été institutionnellement instauré. Il ne s’agit donc pas d’un phénomène psychique de polarisation naturelle. Il a été provoqué pour diviser les sociétés.
Et si polarisation il y a, cela démontre qu’aux Etats-Unis et en France, il y a plus de rebelles qu’ailleurs.
Ces radicalisations résultent de la censure des informations divergentes de la doxa et de l’impossibilité du débat public décidée par le pouvoir.
Les conflits se retrouvent au niveau de la population qui bien souvent, par manque d’information, ne peut pas argumenter.