Dans ce numéro de rentrée de nos Chroniques de la Royauté, Yves-Marie Adeline évoque la question de la dette sous la Vè République, par le prisme de la dette sous l’Ancien Régime. C’est l’occasion d’évoquer le déclin général de notre pays et ses origines. Dont l’Éducation Nationale.
→ Dans ce numéro de reprise de notre Chronique de la Royauté hebdomadaire, Yves-Marie Adeline évoque la crise de la dette
→ En comparaison de la situation sous Louis XVI, la crise de la dette et le déficit sous Louis XVI étaient bien moindres qu'aujourd'hui
→ La particularité de notre époque tient à "l'hyper-présidentialisation" du régime, qui pousse le chef de l'Etat à s'occuper de tout : ce n'était certainement pas le cas sous l'Ancien Régime
Comment comprendre la crise des finances publiques qui frappe le pays ?
Faut-il, comment certains esprits manipulés, croire que la dette publique est une invention, un simple jeu d’écritures comptables, ou faut-il, à rebours de la pensée magique, considérer qu’il s’agisse d’une menace sérieuse pour notre équilibre politique ?
Monarchiste assumé, Yves-Marie Adeline évoque sans ambage ce sujet compliqué :
- en rappelant que l’Ancien Régime était beaucoup moins appauvri que la République et disposait de marges de manoeuvre bien plus importantes
- que l’expansion de l’Etat sous la République est un sujet de préoccupation
- que la position de la France aujourd’hui est bien moins rassurante qu’elle ne pouvait l’être sous l’Ancien Régime
Quelle est la capacité de notre pays à “rebondir” ?
Est-il encore capable de réagir face au déclin et au déclassement qu’il subit ?
Adeline répond.
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