Jusqu’à Ursula von der Leyen, l’Union Européenne était une maison sérieuse. Puis est venu le COVID et ses élucubrations, dont la dette européenne, idée baroque fièrement portée comme un progrès par les dépensiers européens, amoureux de la bureaucratie et de la ruine collective. Vous avez chanté tout l’été de la pandémie ? Dansez maintenant. Et tant pis pour votre assurance-vie en euros, promise à la dissémination dans les années à venir, et peut-être même les mois à venir.
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Donc, pour faire face au COVID et à sa gestion, qu’il n’était pas possible de discuter sous peine d’être accusé de complotisme par tout ce que l’industrie pharmaceutique et ses sbires journalistiques pouvaient compter dans le monde, France comprise (on adressera ici un clin d’oeil appuyé à Rudy Reichstag, l’incendiaire cire-pompe de Big Pharma), l’Union Européenne a décidé de s’endetter. Il semblerait que près de 300 milliards € soient en jeu dans cette manie obsessive, très bourgeoise, de vivre au-dessus de ses moyens.
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Les « produits financiers » ne profitent qu’à ceux qui les vendent.
Assurances vie et autres ne sont que des escroqueries financières.
Débouclez et vendez toutes vos positions.
Quant à l’or, « valeur refuge », vous êtes-vous jamais demandé quel intérêt, quel profit les vendeurs d’or peuvent-ils tirer de ces opérations?
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Qu’un robot puisse vérifier si je n’en suis pas un m’énerve.
Commentaires pertinents ..J’ajoute que Mario Draggi devrait éviter de sourire.