Au Canada, alors que la rentrée scolaire approche, près de 15000 élèves d’Ottawa risquent d’être suspendus de cours début 2025, s’ils ne mettent pas leurs vaccins à jour . Après avoir mis en attente les suspensions au cours des deux dernières années, la Santé publique Ottawa (SPO) reprend son programme de mise à jour des vaccinations, conformément à la Loi sur l’immunisation des élèves.
Avant la crise COVID, environ 95 % des élèves avaient un dossier vaccinal à jour, mais ce pourcentage est tombé à 60 % à la rentrée 2023.Les élèves nés en 2007 et 2017 devraient désormais mettre à jour leur carnet de vaccination.
Un programme suspendu pendant le COVID
Les élèves nés en 2007 et 2017 dont les vaccins ne sont pas à jour devront régulariser leur situation avant le début de l’année 2025. En cas de non-conformité, ils risquent une suspension pouvant aller jusqu’à 20 jours. Les parents recevront un premier avertissement en décembre, suivi d’une date de suspension en début d’année.
La Dre Vera Etches, médecin chef de Santé publique Ottawa, a expliqué que le programme de suivi vaccinal a été perturbé pendant la pandémie. Le personnel de SPO était concentré sur la gestion des épidémies et la recherche de contacts, ce qui a entraîné un retard dans l’envoi des rappels aux parents concernant les vaccins manquants.
En vertu de la Loi sur l’immunisation des élèves, les enfants doivent être vaccinés contre plusieurs maladies graves telles que la diphtérie, le tétanos, la rougeole et la méningite. Ces vaccins sont essentiels pour garantir la sécurité collective dans les environnements scolaires, selon la Dre Etches. Elle a rappelé que ces mesures permettent de protéger les enfants en cas d’épidémie, en identifiant rapidement ceux qui sont vaccinés et ceux qui doivent être temporairement retirés des établissements scolaires pour éviter la propagation des maladies.
Un phénomène provincial
Les élèves n’ayant pas reçu les vaccins obligatoires recevront une lettre en décembre les avertissant du risque de suspension. Au début de l’année, ils seront informés de la date de début de la suspension. Si le dossier de l’élève n’est pas mis à jour dans les 20 jours, il pourra retourner à l’école, mais devra ensuite recommencer la procédure.
« Les parents peuvent mettre à jour les dossiers de vaccination de leurs enfants à l’aide de l’outil Immunization Connect Ontario (ICON) ou de l’application CANImmunize »
, explique Santé publique Ottawa.
Ce problème ne se limite pas à Ottawa. Selon la Dre Linna Li, médecin en chef de l’unité sanitaire du district de Leeds, Grenville et Lanark, plusieurs régions en Ontario connaissent également des retards dans la mise à jour des carnets de vaccination. Selon les autorité sanitaires , au début de l’été 2023, 1300 élèves de cette région étaient dans une situation similaire, mais après plusieurs efforts, ce nombre a été réduit à 60. La province entière semble souffrir de l’impact des perturbations causées par la pandémie sur la gestion des vaccins.
Autre conséquence des politiques enfermistes du COVID, selon l’UNICEF, plus de 635 millions d’élèves ont dû faire face aux fermetures totales ou partielles des établissements scolaires. Selon un rapport de l’UNICEF, la pandémie a aussi eu un impact sur la santé mentale des enfants. Ils sont nombreux à avoir développé des troubles d’anxiété.
Ainsi s’exprimait Ainsi le directeur des laboratoires Merck il y a plus de vingt-cinq ans: « c’est embêtant de ne vendre des médicaments qu’à des gens qui sont malades; si on pouvait agrandir notre marché auprès de gens en bonne santé, il est évident que ça arrangerait nos affaires.»
Tout ce temps a été mis à profit pour, petit à petit, subvertir les Etats et leurs services de « santé »…
L’école à la maison avec pour prof internet
Surtout plus de vaccin ……………………………….
Depuis mes 19 ans plus une aiguille n’est passée dans ma peau
J’en ai 80 en bonne santé
c sa l’avenir.