Une nouvelle étude américaine appelle à un moratoire immédiat sur les vaccins ARNm Pfizer. Oldfield et al ont publié une nouvelle étude intitulée « Vaccins à ARNm modifié de Pfizer/BioNTech : un mécanisme d’action génétique dangereux révélé avant des tests précliniques suffisants » dans le Journal of American Physicians and Surgeons. Entre mécanismes d’action mal compris, essais cliniques insuffisants et risques pour la santé publique, les chercheurs remettent en question la sécurité et la régulation de ces produits.
La vérité sur les effets secondaires des vaccins ARN Pfizer commence peu à peu à resurgir. Les effets secondaires à court, moyen et long termes commencent à inquiéter, d’autant plus que beaucoup sont encore inconnus et que d’autres sont potentiellement mortels. Une étude intitulée « Vaccins à ARNm modifié de Pfizer/BioNTech : un mécanisme d’action génétique dangereux révélé avant des tests précliniques suffisants » a été publiée dans le Journal of American Physicians and Surgeons. Elle a remis en question la classification réglementaire des vaccins à ARNm modifiés contre le Covid- 19.
A propos de l’étude
Selon cette étude, les injections sont classées à tort de vaccins traditionnels, au lieu d’être qualifiées de produits de thérapie génique, dans le but de contourner les exigences réglementaires strictes. De plus, les lignes directrices de l’OMS datant de 2005, jugées obsolètes et inadaptées à cette technologie, ont été utilisées pour l’évaluation préclinique. Pourtant, elles sont obsolètes et inapplicables pour ce type de vaccin.
Des mécanismes biologiques mal compris
La protéine de pointe produite par ces vaccins est qualifiée de toxique, susceptible de provoquer des complications immunitaires. Les chercheurs ont découvert qu’elle pourrait générer des complications immunitaires. De plus, Pfizer n’a réalisé aucune étude sur la pharmacocinétique. Les données de biodistribution fournies par l’entreprise pharmaceutique révèlent que les nanoparticules lipidiques (LNP) et l’ARNm modifié dans les vaccins étaient largement distribués tout le corps. Ils ont atteint certains organes incluant la rate, le foie, les ovaires et les glandes surrénales.
En effet aucune étude approfondie sur sa pharmacocinétique – sa production, sa distribution et sa durée de persistance dans le corps – n’a été réalisée. Cette variabilité, influencée par des facteurs individuels tels que la génétique ou l’état de santé, n’a jamais été explorée.
Une biodistribution inquiétante
Les chercheurs estiment que Pfizer n’a pas réalisé des études de génotoxicité ou de carcinogénicité et ce, en sachant que les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques LNP peuvent être nocifs au corps humain. Les données internes de Pfizer révèlent que les LNP et le modRNA se propagent dans divers organes comme le foie, les ovaires et les glandes surrénales, contrairement aux affirmations selon lesquelles la production de protéines serait localisée au site d’injection.
Ils ont affirmé que l’utilisation des rats Wister HanTm dans le cadre des tests de toxicité est inappropriée.
Dans cette étude, quelques erreurs dans la réalisation des essais cliniques de phase I ont été mises à découvert. On cite entre autres l’impossibilité de mesurer les facteurs critiques comme la quantité de production des protéines de pointe. Il faut aussi mentionner la suppression précoce des groupes placebo des essais initiaux, ce qui a détérioré l’intégrité des données de sécurité et d’efficacité à long terme.
Un appel à un moratoire immédiat
Les données post-commercialisation de Pfizer documentent 1 222 décès et de nombreux effets indésirables graves en seulement trois mois après le déploiement des vaccins. Le rapport du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System a également enregistré une augmentation sans précédent des incidents, bien supérieure aux vaccins traditionnels. Malgré ces signaux d’alerte, aucune mesure corrective n’a été prise, contrastant avec des précédents comme le Rotashield, retiré après 15 cas graves.
Les agences de régulation, accusées de négligence, ont validé des évaluations reposant sur des hypothèses et des données insuffisantes, compromettant la sécurité publique.
Dans cette étude, les chercheurs ont dénoncé la défaillance de la FDA (Food and Drug Administration) et des autres agences de réglementation mondiales dans l’évaluation de l’efficacité et de la sécurité des vaccins à ARNm. Elles n’ont pas basé l’examen sur des preuves scientifiques rigoureuses, mais sur des données et des hypothèses insuffisantes.
Les auteurs de cette étude ont donc déclaré que les vaccins à ARNm contre le Covid-19 de Pfizer/BioNTech présentent des graves problèmes de sécurité en raison de l’insuffisance des données d’étude. Ils lancent un appel à un moratoire immédiat sur les injections. L’un des experts ayant demandé cet arrêt d’utilisation, l’épidémiologiste et administration de la Fondation McCullough Nicolas Hulscher, a déclaré que les conditions nécessaires pour lancer le retrait du marché des vaccins à ARNm de Pfizer/BioNTech sont réunies. Le seul obstacle à cette démarche, c’est la décision des agences de réglementation.