Le cas de Kate Middleton, jeune quadragénaire touchée par un cancer, illustre parfaitement un phénomène alarmant : depuis peu, les moins de 50 ans sont de plus en plus nombreux à être frappés par cette maladie. Depuis quelques années, les spécialistes observent une augmentation préoccupante des cancers chez les Générations X et milléniale , ces générations sont frappées plus durement que leurs aînés au même âge. Depuis la crise du COVID-19, certaines études américaines ont même observé une tendance alarmante des cancers rares et inhabituels.
Partout en Occident, les cas de cancer chez les jeunes adultes explosent. « C’est une véritable épidémie », résume le cancérologue Shivan Sivakumar, chercheur à l’Université de Birmingham. Entre 1990 et 2019, le taux de cancers chez les moins de 50 ans a presque doublé (+80 %) à l’échelle mondiale, selon une vaste étude publiée en 2023 dans BMJ Oncology. Ce phénomène, particulièrement marqué dans les pays développés, s’accompagne également d’une augmentation des décès liés au cancer dans cette tranche d’âge, avec une hausse de près de 28 % en 30 ans.
Une hausse inquiétante des cas chez les jeunes adultes
Depuis quelques années, les spécialistes observent une augmentation préoccupante des cancers chez les moins de 50 ans, en particulier parmi les quarantenaires. Le cancer colorectal et le cancer du sein, deux des types les plus diagnostiqués, sont au cœur de cette hausse.
Selon les données canadiennes et américaines, les cas de cancer colorectal chez les jeunes adultes représentaient 5 % des diagnostics au début des années 2000. D’ici 2030, ce chiffre pourrait grimper à 30 ou 40 %. Le Dr François Letarte, chirurgien au CHU de Québec, confirme que son équipe voit désormais régulièrement des cas chez des patients dans la trentaine, voire la vingtaine.
Pour la Dre Saima Hassan, chirurgienne oncologue au CHUM, ce constat s’applique aussi au cancer du sein :
« Dans la dernière année, l’augmentation des jeunes patientes dans la vingtaine, la trentaine ou la quarantaine nous a particulièrement frappés. Honnêtement, ça nous effraie. »
Selon l’American Cancer Society, parmi les 34 types de cancers étudiés, 17 montrent une hausse chez les générations X et milléniale :
- Cancers digestifs : colorectal, estomac, foie.
- Cancers hormonaux : sein, utérus, ovaires.
- Autres types : pancréas, testicules, reins, myélome.
Les milléniaux nés dans les années 1990 présentent des taux d’incidence de certains cancers deux à trois fois supérieurs à ceux des baby-boomers nés en 1955.
Des causes méconnues
En général, le développement du cancer est lié à l’hérédité et à la génétique. Il peut aussi être déclenché par les mauvaises habitudes de vie. Pourtant, le Dr Letarte a déclaré que les derniers patients qu’il a opéré, ceux qui étaient au début de la trentaine et de la quarantaine, ne répondaient pas forcément à ces critères. « Il y a des choses qu’on ne comprend pas », a déclaré la Dre Sima Hassan.
« Clairement, il y a eu des changements au niveau de l’environnement »
a ajouté le Dr Letarte. Cela dit, on ne peut pas savoir lesquels.
Nous avons évidemment réfléchi à différentes hypothèses pour expliquer cette augmentation. Le Courrier a déjà évoqué le point de vue du professeur Martin Zizi, expert en santé publique aux USA, qui a déclaré que « l explosion des turbo-cancers s’explique probablement par le vaccin ARN ».
Étonnamment, après la chute des ventes des millions de vaccins COVID aux nombreux effets indésirables, Big Pharma se tourne désormais vers l’oncologie. Selon le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, « l’oncologie reste le principal moteur de croissance de la médecine dans le monde ». Pfizer a déjà annoncé un investissement de 500 millions € en France pour nous faire profiter de sa recherche contre le cancer, ces médicaments nouveaux seront tous achetés ensuite par notre brillante sécurité sociale.
Rejoindre la chaîne « Patrimoine »
merci les injections anti covid idiot
il faut bien des malades pour l’industrie de la pharma prospère !
On avait découvert que des vaccins vivants contre la polio avaient été contaminés par le virus cancérigène SV40, un virus retrouvé ultérieurement dans de nombreux cancers. Bien après l’inoculation, y compris des femmes enceintes dont les enfants ont développé des cancers.
Qu’importe, les vaccins ne subissent pas d’études de cancérogenèse, pas plus les vaccins Covid que les autres…