Toute l'imposture de la politique vaccinale occidentale apparaît au grand jour. Des réfugiés, des demandeurs d’asile et des migrants pourraient ne pas accéder aux vaccins contre le Covid-19 dans le cadre d’un programme mondial en raison des effets secondaires graves qui pourraient générer des sanctions d’ordre juridique et financier pour l'industrie pharmaceutique. En fait, les labos reconnaissent donc que leurs produits sont toxiques. En Amérique du Nord ou en Europe, les gouvernements sont prêts à décharger les entreprises pharmaceutiques de leurs responsabilités; mais là où il n'y a pas d'interlocuteur institutionnel assez fort pour porter le risque à la place de l'industrie pharmaceutique ni d'argent public à gaspiller inconsidérément, on n'inocule pas les produits bâclés qu'on veut forcer Américains, Français ou Italiens à se faire inoculer.
Les fabricants de vaccins refusent d’assumer les risques juridiques
Depuis environ deux ans, la pandémie du Covid-19 a fait environ 5 millions de décès dans le monde, soit quelques pourcents du nombre de victimes de la grippe espagnole il y a un siècle. Depuis le début de l’épidémie, la vaccination a été prévue comme unique moyen de lutte le virus disponible, car aucune thérapie efficace n’aurait été trouvée. Pourtant seuls 7 % environ des habitants des pays à faible revenu ont reçu une dose du vaccin.
Pour permettre aux habitants des pays à faible revenu d’accéder aux vaccins, le programme mondial nommé COVAX a été créé. Il est co-administré par l’alliance Gavi et l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Gavi, l’alliance pour les vaccins, est un partenariat public-privé créé en 2000 pour promouvoir la vaccination dans le monde.
Selon Gavi, la majorité des vaccins distribués dans le cadre de ce programme proviennent de Pfizer/BioNTech, de Moderna et d’AstraZeneca PLC. Ces derniers ont déclaré qu’ils sont prêts à offrir des doses pour les pays pauvres à des prix bien bas. En revanche, ils ne sont pas disposés à assumer les risques juridiques liés aux effets secondaires. Les gouvernements et les agences de santé sont donc obligés de prendre la responsabilité.
Hors de l’aide gouvernementale, les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile risquent de ne pas accéder aux vaccins par peur des effets secondaires: personne ne peut ou ne veut, dans leur cas,, porter le risque juridique. Ce sont des millions d’individus incluant notamment ceux qui ont dû quitter leurs pays suite aux crises en Afghanistan, au Myanmar et en Ethiopie.
Qu’en est-il de l’innocuité des vaccins ?
A ce jour, Gavi ne dispose d’aucun mécanisme qui lui permet d’offrir une compensation ou indemnisation aux victimes. Or, les fabricants des vaccins refusent de prendre cette responsabilité.
Principalement en raison des problèmes juridiques, moins de 2 millions de doses ont été envoyées jusqu’à présent par les pays tampons, selon Gavi. Environ 167 millions de personnes risquent d’être exclues des programmes nationaux, selon les données des Nations unies.
À moins que toutes les entreprises n’acceptent leur responsabilité légale, « l’accès aux vaccins pour certaines populations restera un défi« , indiquent les documents de Gavi.
Seuls les trois entreprises chinoises SinoVac Biothec Ltd, Sinopharm Groupe Co ; Ltd et Clover Biopharmaceuticals ont accepté d’assumer les risques juridiques liés aux injections de leurs vaccins.
La question se pose concernant la sûreté des vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca. D’une manière plus précise, les injections peuvent-elles provoquer des effets secondaires graves ? Selon l’EFPIA ou Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques, l’inquiétude des fabricants repose sur la rapidité de déploiement des vaccins. Ils n’ont pas eu de temps pour bien évaluer l’innocuité des injections. Les effets secondaires se produisent au moment où les vaccins sont administrés.
Démonstration par l’absurde, au sens mathématique, que les risques sont potentiellement importants, donc qu’une stricte obligation vaccinale n’est pas possible juridiquement (cf. la décision de 2021 de la CDEH approuvant une obligation vaccinale parce qu’elle portait sur des vaccins efficaces et sûrs).
D’où le comportement « obligation indirecte » du gouvernement français.
Et le fait qu’on demande aux gens se faisant vacciner de signer un papier disant qu’ils sont au courant de ces risques (cf. article 16 de la Convention Oviedo).
La CEDH n’est pas la CJE. Elle n’a aucun pouvoir de contraindre qui que ce soit.