L’Agence européenne des médicaments (EMA) a lancé une alerte sur les effets nocifs des rappels excessifs des vaccins contre le Covid-19. Elle a annoncé que cela pourrait générer des « problèmes de réponse immunitaire ». L’OMS (Organisation mondiale de la santé) vient de gagner un allié dans lutte contre l’utilisation excessive des rappels de Covid. On commence à voir qu'une lutte sourde s'est engagée au sein de la gouvernance mondiale entre les "colombes" et les "faucons" de la vaccination
Mise en garde contre les rappels excessifs
Dans un communiqué, le Dr Ghebreyesys de l’OMS avait déclaré que la répartition inégale des vaccins pourrait générer l’apparition de nouveaux variants du virus, ce qui ne ferait que prolonger la pandémie, et d’ajouter qu’ « aucun pays ne peut se sortir de la pandémie à coups de doses de rappel ».
Voilà que mardi dernier, lors d’un point de presse, le responsable de la stratégie vaccinale de l’EMA, l’Agence Européenne du Médicament, Marco Cavaleri, a déclaré qu’aucune donnée scientifique ne prouve la nécessité d’une quatrième dose de rappel de vaccin contre le Covid-19.
Il a aussi déclaré que même si les rappels sont nécessaires pour booster l’immunité, leur administration doit être faite à la manière des vaccins contre la grippe. Autrement dit, un intervalle d’un an est requis, au lieu de quelques mois. En France, le délai de dose de rappel est désormais de 3 mois après la dernière injection de vaccin à double dose depuis le 28 décembre 2021.
Dans sa déclaration, M. Cavaleri a aussi ajouté que l’utilisation excessive des rappels peut générer des « problèmes de réponse immunitaire ». Il a indiqué que les « rappels peuvent être effectués une fois, ou peut-être deux fois, mais ce n’est pas quelque chose que nous pouvons penser devoir être répété constamment ».
Le même jour, les experts de l’OMS ont fait une déclaration presque identique. Pour rappel, l’Organisation a toujours milité contre les stratégies de vaccination basées sur l’administration des doses de rappel. Elle a réitéré qu’il est plus important d’assurer la primo-vaccination de la population des pays pauvres. C’est nécessaire pour éviter le développement de nouveaux variants du coronavirus.
Albert Bourla, PDG de Pfizer, a aussi annoncé cette semaine que la nécessité d’une quatrième dose n’est pas encore prouvée. Discours en totale contradiction avec celui du 8 décembre 2021, ou le même recommandait une quatrième dose du vaccin pour faire face au variant Omicron. Actuellement, Albert Bourla mise sur un vaccin qui cible le variant Omicron et qui sera disponible en mars.
En Israël, en dépit de l’insuffisance des données justificatives, l’administration d’une quatrième dose de vaccin Pfizer aux personnes âgées de plus de 60 ans, au personnel médical et aux personnes immunodéprimées a déjà débuté. Cette« quatrième dose » est moins performante que prévu.
Passage à la phase endémique
Les dirigeants européens sont, à quelques exceptions près comme le gouvernement français, de plus en plus convaincus que la propagation du variant Omicron pourrait mettre fin à la pandémie.
En effet, cela pourrait optimiser l’immunité de la population. Ainsi, il est fort possible qu’on entre dans une phase « endémique » estime l’EMA.
M. Cavaleri a déclaré sur le sujet que « avec Omicron, il y aura beaucoup d’immunité naturelle en plus de la vaccination – nous avancerons rapidement vers un scénario qui sera plus proche de l’endémicité ».
Le professeur de l’Ecole d’hygiène et de médecine tropicale de Londres, David Heymann, a annoncé mardi que le Royaume-Uni pourrait être le premier pays à sortir de la pandémie puisque 95% de sa population est désormais dotée d’anticorps acquis suite à une infection ou à la vaccination.
Par ailleurs, le cofondateur de Microsoft, Bill Gates sur Twitter mardi, affirmait que l’endémicité d’Omicron dans les communautés pourrait leur permettre de traiter le COVID de la même manière que la grippe saisonnière.
À cet effet, il sera possible de bénéficier d’un vaccin unique contre la grippe et le covid. Le numéro un de Moderna, Stéphane Bancel, avait déjà déclaré en septembre dernier que sa société travaillait sur un tel vaccin.
Pourtant, on s’étonne de voir que toutes ces discussions ignorent la question de l’efficacité des vaccins diffusés en Occident (des vaccins expérimentaux insuffisamment testés et imposés à tous) mais surtout de leurs effets secondaires.
Il ressort de toutes les analyses successives depuis 2 ans, et c’était démonté bien avant par le constat effarant de la duplicité abominable de Bill Gates avec sa « Fondation à vocation humanitaire » (qui a multiplié ses profits virus vaccins, même stratégie que dans l’informatique qui a fait sa fortune), que toutes ces affaires de « pandémies » sont l’œuvre d’une mafia pharmaceutique (qui crée des maladies pour vendre du médicament), pour qui l’objectif de santé publique est secondaire par rapport au business pharmaceutique, et la mise en place de pions à la tête des États est organisée par les fonds de pension à la force de frappe financière démoniaque pour maximiser le business sur le dos des populations cobayes, et bientôt esclaves, corvéables à merci, et qui sait dans l’avenir comme au laogai chinois, servant de réserves d’organes pour les riches de ce monde… Tout à déjà été anticipé dans la science fiction, les dystopies littéraires et cinématographiques.
Concernant la dernière phrase sur le laogai et les « esclaves réserves d’organes », le plus paniquant dans l’histoire a été de constater que le cinglé a reçu en grandes pompes à l’Élysée le criminel de guerre et d’État du Kosovo, l’islamiste Hashim Thaçi, réputé avoir déporté les chrétiens du Kosovo vers les laboratoires de l’Albanie musulmane sœur, pour organes…
Soupçons de trafic d’organes sur des prisonniers serbes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kosovo#Soup%C3%A7ons_de_trafic_d'organes_sur_des_prisonniers_serbes
Reçu par Macron à l’Elysée, le président du Kosovo accusé de crimes de guerre : https://www.valeursactuelles.com/monde/recu-par-macron-a-lelysee-le-president-du-kosovo-accuse-de-crimes-de-guerre/
Hashim Thaçi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hashim_Tha%C3%A7i
Parti democratique du Kosovo (PDK) : Corruption_et_affaires_criminelles : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_d%C3%A9mocratique_du_Kosovo#Corruption_et_affaires_criminelles
Le psychopathe a aussi reçu Bill Hates a l’Elysée et lui a remis la légion d’honneur. Même ça il l’aura salie.
je ne comprends comment des gouvernements peuvent proposer et imposer via les « pass » des 3èmes doses alors que ces « vaccins » n’ont jamais été testés ni autorisés pour plus de 2 doses. mais à côté Véran interdit l’hydroxychloroquine et l’ivermectine… et ni les journalistes ni la grande majorité de médecins ne tiquent…
et maintenant un médecin de Glasgow publie une étude disant que l’hydroxychloroquine fonctionne contre omicron, mais pas pour les autres variants…. désespérant
Peut être pour s’assurer que l’oxyde de graphène reste actif pour tracer via le bluetooth les injectés ! 🙂 vous savez les codes alphanumérique non identifiés (MAC)
Le narratif sanitaire et vaccinal ne tient pas si l’on observe les faits. Encore faut-il en avoir la mémoire depuis le début.
A propos de la nouvelle position de l’EMA, se rappeler son approbation à une commande de « vaccins » équivalente à 10 injections par européen.
Il faut donc chercher les motifs de ce changement de cap en ayant à l’esprit les véritables motivations de cette « campagne vaccinale ».
Ces motivations demeurent, c’est juste la stratégie qui va changer. Il est bien possible que les révélations de Project Veritas y soient pour quelque chose, bien davantage que la faible dangerosité de Omicron (car depuis le début, ce qui compte, c’est ce que le public croit et non la dangerosité réelle du virus)
ça n’a aucun sens de dire que la population a des anticorps « soit par vaccination soit par contamination naturelle » : dans le cas de la vaccination ce sont des IgC, des anticorps circulants, très peu efficaces pour protéger les muqueuses, dans le cas d’une contamination il s’agit surtout des IgA sécrétoires, qui eux protègent les muqueuses d’une future infection et donc ferme la porte d’entrée aux microbes lors d’une prochaine contamination. certains médecins pensent que les « vaccins » covid, en dehors même de leurs effets secondaires dûs à la protéine spike, ont ceci de terrible qu’ils apprennent au corps une réaction erronée : réagir avec des IgC face au covid plutôt que par des IgA. les vaccinés perdent donc la possibilité d’une immunité réelle. il ne faut surtout pas vacciner les enfants, en dehors même de la question de l’utilisation de l’Arnm.
Merci d’avoir expliqué celà, ce qui de + plaiderait pour un vaccin nasal ?
En recoupant avec celà :
« De l’utilité des amères potions »
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/lio2.26
EMA touchée par la l’évidence. À quoi joue alors la Compagnie du Cirque Macron ?!