L’article évoque une bombe à retardement à partir de l’analyse des données officielles de l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni. Sur la base des rapports de l'UKHSA (United Kingdom Health Security Agency), les auteurs analysent sur 5 mois (16 août 2021 au 2 janvier 2022) l’incidence du COVID chez les vaccinés et les non vaccinés. A partir de l’observation de l’efficacité des vaccins sur la période étudiée, ils en déduisent que la population vaccinée développe une forme de syndrome d'immunodéficience acquise (sida) induite par le vaccin Covid-19.
Les auteurs de l’article restent anonymes et à la lecture de celui-ci, il est peu probable que ce soient des scientifiques ou des médecins. Les erreurs de méthodologie, les raccourcis en termes d’analyse et de cause à effet ou encore la confusion entre efficacité et toxicité des vaccins ne permettent pas de valider les conclusions de ce papier.
Cela ne signifie pas que leur travail ne soit pas intéressant et n’apporte pas des informations qui soulèvent des questions importantes. Les rapports mensuels de L’UKHSA (comme ceux de l’ANSM en France) présentent, entre autres, les cas de COVID-19 selon le statut vaccinal : personnes ayant reçue une dose, personnes ayant reçu un schéma complet en 2021 et celles n’ayant reçu aucun vaccin.
« The exposé » présente notamment les données de la semaine 41 à 44 (octobre-novembre 2021) dans un tableau comparatif présenté ci-après et repris à partir d’un autre article du même média :
La dernière colonne présentant l’efficacité du vaccin est calculée selon les méthodes utilisées par les laboratoires et notamment Pfizer qui annonçait dès 2020 un taux de 95% d’efficacité. Cette efficacité est dite relative et non absolue car elle se calcule sur un échantillon de personnes plutôt en bonne santé et se contente d’évaluer un risque de contamination à un moment donné par le Sars-cov 2 entre une cohorte de personnes vaccinées avec le candidat vaccin et une cohorte recevant un placebo. Si le risque d’infection constaté sur la période est par exemple de 0,74% pour les non vaccinés et de 0,04% pour les vaccinés, on obtient une efficacité relative 0,74-0,04 = 0,7. Le taux d’efficacité du vaccin se calcule ensuite comme tel : 0,7 (différence entre les 2 groupes) / 0,74 (risque d’infection) = 95%. En réalité cette efficacité est caduque avec l’apparition des variants contre lesquels les vaccins ne sont plus vraiment efficaces, ce que montrent les auteurs avec les données présentées ici. Même le directeur de Moderna reconnait que son vaccin n’a pas la même efficacité avec les variants.
Le calcul utilisé par les auteurs est similaire à celui de Pfizer, donc validable pour le comparer aux résultats d’efficacité dudit laboratoire. Le tableau ci-dessus affiche des valeurs négatives et confirme l’inefficacité des vaccins. Ces résultats montrent que, sur la période étudiée, les non vaccinés sont mieux protégés face à l’infection que les vaccinés. Ce n’est cependant pas le discours officiel, qui continue d’affirmer que les vaccins protègent mieux de l’infection que l’absence de vaccin.
Si l’on regarde maintenant les mêmes données (semaine 41 à 44) présentées dans un histogramme, on constate que les vaccinés sont plus à risque que les non vaccinés, ce qui signifie que la vaccination aggraverait le risque de contracter le Sars-cov 2 par rapport aux non vaccinés. L’effet obtenu est donc inverse à celui qui est recherché et proclamé par les autorités publiques depuis 2 ans.
Ces données montrent que le rapport de protection contre COVID est négatif chez les personnes vaccinées par rapport aux non vaccinées et ce pour les classes d’âge de 30 à 80 ans. Le vaccin dégrade donc la protection naturelle du système immunitaire face au Covid.
Les auteurs affirment que le système immunitaire des personnes vaccinées est « décimé » ce qui ne peut pas être vérifiable à partir des informations disponibles dans les rapports mensuels de L’UKHSA. Bien que cette hypothèse ne soit pas vérifiable ici, cela ne signifie pas qu’elle doive être écartée. On peut parler d’un faisceau de présomptions qui requiert une vérification à travers d’autres données. De même, les auteurs de l’article de janvier 2022 concluent que les vaccins provoquent une nouvelle forme de syndrome d’immunodéficience acquise (sida). Si le sida est également une maladie infectieuse, il se transmet par voie sexuelle ou sanguine – non par les voies aériennes comme le sars-cov 2 – il affaiblit le système immunitaire causant des infections diverses (cutanées, intestinales, pulmonaires, cérébrales, cancers), parfois très différentes du tableau clinique du COVID.
Cette conclusion d’un syndrome d’immunodéficience acquise ne peut pas être démontrée à partir des données présentées dans l’article. Le sida est par ailleurs causé par le VIH et non par le sars-cov-2, même si le Pr Luc Montagnier et le modélisateur mathématique JC Perez ont montré l’existence de séquences d’ARN du VIH dans le coronavirus. De même, l’hypothèse d’une création en laboratoire du Sars-cov 2, largement considérée comme une idée complotiste en 2020, fait depuis l’unanimité de la classe scientifique au fur et à mesure des découvertes sur le travail de génie génétique effectué sur le sars-cov 2. Quoi qu’en dise le Dr Fauci, toujours prompt à manipuler l’opinion publique et à faire taire ses opposants, l’ancien directeur du CDC (Center for Disease Control – USA) n’hésite pas à dénoncer ses thèses fantaisistes.
Aujourd’hui les effets néfastes de la vaccination anti-covid reposent sur trois axes :
- L’immunité innée est irrévocablement abimée par les vaccins anti-covid au profit d’une immunité spécifique qui n’est plus efficace face aux variants alors que l’immunité innée défend efficacement l’organisme contre les coronavirus. Le système immunitaire inné est aussi affaibli par les mesures sanitaires qui limitent les contacts humains et par le port du masque. Cette approche est défendue par le virologue Geert Vanden Bosshe, il dénonce depuis de longs mois le risque d’évasion immunitaire responsable de la surmortalité post-vaccinale.
- La protéine Spike qui est fabriquée par nos propres cellules après inoculation des vaccins – qu’ils soient à ARNm ou à adénovirus – est en soit pathogène. Elle provoque des pathologies polyformes similaires à celles du sars-Cov 2. Cette découverte est publiée par Salt Lake Institute l’une des universités à l’origine des thérapies à ARNm. Difficile d’en faire une théorie complotiste…
- Enfin, la présence de nanoparticules dans les vaccins, notamment l’oxyde de graphène dans le Comirnaty (Pfizer) mentionnée par des chercheurs indépendants – donc sans reconnaissance de la part des fabricants qui n’indiquent généralement pas la présence de nanoparticules dans leurs produits en raison d’une législation non contraignante – est toxique.
Pour ces trois raisons, le système immunitaire peut être potentiellement affecté. Ce qui est en revanche certain, c’est que la vaccination contre COVID est à l’origine d’une augmentation en 2021 de 1135% des pathologies dans l’armée américaine par rapport à la moyenne des 5 années précédentes. Ce drame sur la santé humaine avait été annoncé depuis de nombreux mois et démenti par les autorités sanitaires et la plupart des médias.
Les nombreux effets secondaires constatés seront manipulés et minimisés comme il faut afin de ne rendre personne responsable …
“Le sida est par ailleurs causé par le VIH et non par le sars-cov-2”
Les termes utilisés sont ambigus : “le” SIDA désigne effectivement la “maladie” causée par le virus VIH.
Mais un syndrome n’est pas une maladie, mais un ensemble de symptômes.
“Le syndrome d’immunodéficience acquise est une maladie [sic] qui entraîne la perte de cellules immunitaires et rend les individus vulnérables à d’autres infections et au développement de certains types de cancers. En d’autres termes, il décime complètement le système immunitaire.
Par conséquent, pourrions-nous assister à une nouvelle forme de syndrome d’immunodéficience acquise induite par le vaccin Covid-19 ?”
Il s’agirait donc ici, d'”une nouvelle forme de syndrome d’immunodéficience acquise” pas du SIDA.
Dès lors que l’on présente un ensemble de symptômes montrant une déficience acquise du système, on souffre d’un “sida”, pas “du” SIDA.
C’est du moins ainsi que je comprends les choses…
Bien vu. La confusion la plus complète règne sur les causes des maladies dites “virales”. Pour clarifier, on peut lire l’une des premières publications de Peter Duesberg :
https://www.pnas.org/content/pnas/86/3/755.full.pdf
où il met en cause, en 1988, la causalité du VIH dans le SIDA, assemblage d’une vingtaine de maladies distinctes, déjà connues auparavant.
Oui l’hypothèse d’une création du VIH et d’Ebola en laboratoire (Fort Detrick / armes bactériologiques) a été émise par le Dr Horowitz dans son livre intitulé “La guerre des virus” – 1996. L’ouvrage est bien documenté mais il a été classé dans la case “complotiste”
L’apostrophe “complotiste” signifie “fermez-la”. Il faut donc passer outre et aller vérifier les sources quelquefois anciennes. La controverse sur le VIH comme cause du syndrome dénommé SIDA s’est développée immédiatement après la “découverte” du virus (voir le livre de Peter Duesberg “L’invention du virus du SIDA” chez Marco Pietteur). La controverse a été définitivement enterrée par la nobélisation de Luc Montagnier, puis le congrès de Florence, en 1993 si je me souviens bien, de façon que le dogme ne soit jamais remis en cause.
L’arnaque SIDA et l’arnaque COVID présentent de nombreuses similitudes…
A vous de voir !
Additif : pour autant que j’aie compris, la fabrication des “virus contagieux” est plus de l’ordre de l’artefact technologique (dû à l’émeregence de nouveaux moyens d’investigation) que de la recherche d’armes biologiques (cependant, l’un n’exclut pas l’autre, bien entendu, et toute source de profit doit être exploitée). L’aricle de Peter Duesberg mentionné dans ma réponse précédente permet de nombreuses pistes de réflexions.
Les premières mises en cause datent d’il y a bien plus longtemps, car déjà en 1971, dans son bouquin l’espionnage scientifique, Jacques Bergier mettait en cause la “recherche” guerrière américaine – en parlant des labos de l’armée à Dugway, UT (qui, contrairement à ce que la plupart des gens croient savoir, possède le plus gros centre de recherche militaire viral du monde, évidemment très peu publicisé), il en disait ceci : “Je me révolte à l’idée que derrière ces murs, des gens fassent des recherches visant à supprimer l’immunité du corps humain”…
A propos du Sida, cela fait plusieurs années que l’on entend parler “d’arnaque du Sida”.
Si la crise Covid nous a appris quelque chose, c’est bien que le consensus majoritaire doit étre interrogé, vérifié et parfois contesté.
Cette vidéo opère un rapprochement très intéressant entre Soda et Covid
https://reseauinternational.net/dr-claus-kohnlein-du-sida-au-covid-19-une-arnaque-qui-dure-depuis-plus-de-40-ans/
Il faut envisager (ou ajouter) une hypothèse beaucoup plus simple :
1. Ces données officielles ne contrôlent pas le paramètre de l’immunité naturelle post-infectieuse (facteur de confusion).
2. L’efficacité de l’immunité naturelle post-infectieuse surclasse celle de l’immunité artificielle post-vaccinale au minimum dans la durée (cf. https://www.researchgate.net/publication/356415853_Considerations_epidemiologiques_ethiques_et_medicales_sur_l%27efficacite_de_l%27immunite_naturelle_au_SARS-Cov-2_ne_pas_supprimer_les_temoins, §3).
3. D’où un taux d’infection des vaccinés supérieur à celui des non vaccinés quand le groupe des non vaccinés compte (en proportion) davantage de convalescents que celui des vaccinés.
Autrement dit : la supériorité de l’immunité naturelle (post-infectieuse) est telle que cela suffit à rendre le groupe des « non vaccinés » mieux protégé que celui des « vaccinés » — le réel fût-il, lui aussi, complotiste …
Oui vous avez raison de signaler cet aspect là qui n’est pas négligeable et reflète aussi une réalité.
Oui, vous avez raison. On peut imaginer que dans l’idée de la “Grande modernisation” il faut que les humains n’aient plus aucune confiance dans leurs capacités individuelles et s’en remettent aveuglément aus réseaux professionnels informatisés, et ceci dans tous les domaines, en plus de la santé.
“Les rapports mensuels de L’UKHSA”
Ces rapports sont remarquables car ils donnent clairement les “cas positifs”, les admissions à l’hôpital et les décès, en distinguant par tranches d’âge et par statut vaccinal (0, 1, 2 ou 3 doses).
Du coup, on peut constater que la protection des vaccins est effectivement négative (sauf, curieusement, dans les tranches d’âge “jeunes” !).
Les articles de The Expose ne disent pas que les “vaccinés” attrapent le SIDA, au sens du SIDA “historique”, ils disent qu’ils sont plus souvent malades que les “non vaccinés” et, surtout, que cela empire semaine après semaine depuis l’été 2021.
Ils interprètent cela comme étant le “vaccin” qui détruirait une partie de l’immunité naturelle, ce qui ressemble aux causes du SIDA.
C’est, d’une part une interprétation car la cause et l’ampleur du problème n’a pas été analysée par des études cliniques, d’autre part cela ne porte que sur l’aspect “malade Covid”, pas sur toutes les maladies.
Mais la base de leur analyse de base est bien réelle :
=> Depuis l’été 2021, les “vaccinés” attrapent de plus en plus facilement le Covid, font de plus en plus des formes graves et décèdent de plus en plus, en comparaison proportionnellement avec les “non vaccinés”.
Ce qui est démolit complètement le discours “le vaccin protège au moins des formes graves Covid” !!
Donc détruit totalement la dernière justification du “vaccin”, alors que les effets secondaires existent bien eux.
Il faut envisager (ou ajouter) une hypothèse beaucoup plus simple : 1. Ces données officielles ne contrôlent pas le paramètre de l’immunité naturelle post-infectieuse (facteur de confusion). 2. L’efficacité de l’immunité naturelle post-infectieuse surclasse celle de l’immunité artificielle post-vaccinale au minimum dans la durée (cf. https://www.researchgate.net/publication/356415853_Considerations_epidemiologiques_ethiques_et_medicales_sur_l%27efficacite_de_l%27immunite_naturelle_au_SARS-Cov-2_ne_pas_supprimer_les_temoins, §3). 3. D’où un taux d’infection des vaccinés supérieur à celui des non vaccinés quand le groupe des non vaccinés compte (en proportion) davantage de convalescents que celui des vaccinés. Autrement dit : la supériorité de l’immunité naturelle (post-infectieuse) est telle que cela suffit à rendre le groupe des « non vaccinés » mieux protégé que celui des « vaccinés » — la nature fût-elle, elle aussi, complotiste …