Dans un contexte où la Chine continue à placer tout son espoir dans une stratégie « Zéro Covid », Pékin, capitale du pays connaît actuellement le plus important nombre de cas quotidiens liés au variant Omicron. Hong Kong se démène pour stabiliser sa situation sanitaire. Par comparaison,Singapour s'en tire beaucoup mieux.
Actuellement, la Chine fait face à une vague de pandémie particulièrement virulente liée au variant Omicron. Bien entendu il est difficile de savoir ce qu’il en est réellement tant le régime chinois veut donner des chiffres arguant de la victoire contre l’épidémie. A quelques jours de l’ouverture de la réunion parlementaire annuelle de la Chine qui devrait se tenir dans la capitale pour la date du 5 mars, jeudi 24 février dernier, on a enregistré 10 nouveaux cas de Covid-19 à Pékin. Dix ! Soit c’est de la propagande, soit cela ne devrait même pas être pris en compte. Or le pays prend au pied de la lettre la notion « zéro COVID »
Selon les données de la Commission nationale de la santé (CNS). Il s’agit – tenons-nous bien – du plus grand nombre de cas quotidiens à Pékin depuis le 29 janvier. Ces infections sont locales et le régime craint une flambée d’infections.
Suivant fidèlement les directives imposées par la Chine dans le cadre de l’ absurde stratégie zéro covid, Pékin décide de fermer les bâtiments où vivent les contaminés et leurs proches.
Les nouveaux cas ont été détectés dans six des 16 districts de Pékin. Les habitants sont tenus de rester dans la ville de Pékin et d’éviter tout rassemblement en optant pour des conférences ou des événements en ligne.
Hong Kong dans une mauvaise posture
Mis à part Pékin, Hong Kong connaît une vague d’infections..
Le président Xi Jinping avait demandé à la ville de 7,5 millions d’habitants de prendre “toutes les mesures nécessaires” pour éviter la propagation du virus, parmi elles la campagne de dépistage obligatoire à tous ses habitants.
Les restrictions deviennent de plus en plus draconiennes, résultat : les diverses procédures découragent rapidement une poignée d’entreprises dans leur désir d’investissement.
D’après l’AFP , cette hausse des cas serait due à la stratégie de gestion du Covid adoptée à Hong Kong. En effet, selon un épidémiologiste, dès lors qu’une personne est testée positive, cette dernière est hospitalisée, et ce, même si elle ne présente que peu de symptômes, alors que “seule une minorité aurait vraiment besoin d’être hospitalisée”.
Par ailleurs, selon des données de Bloomberg Economics, les restrictions jouent, lentement mais surement, en défaveur de Hong Kong, ce qui hisse Singapour en tête de choix pour les investisseurs dans la zone Asie-Pacifique.
Ce pays a également tout le potentiel pour servir de centre financier et de carrefour de transport, d’autant plus que le gouvernement de Singapour a allégé les mesures sanitaires en lien avec la pandémie pour ne pas nuire à son économie.
Ce n’est que pari gagné, car selon les analystes du domaine, le produit intérieur brut de Singapour connaîtra une hausse de 4,7% cette année. Pour Hong Kong, les analystes ont réduit leurs prévisions de croissance économique de 0,6 point de pourcentage à 1,4 % cette année.
Pour remettre son économie sur les rails, Singapour a assoupli ses restrictions. Et pourtant, ce pays n’est pas épargné par la vague Omicron avec des cas quotidiens qui vont jusqu’à 26 032 infections.
Malgré ce contexte, c’est avec sérénité que le ministère de la Santé de Singapour a indiqué qu’il faudra patienter quelques semaines pour atteindre le pic de contamination et voir, par la suite, les chiffres régresser avant de se calmer.
Par ailleurs, pour ne pas saturer le personnel de santé, le ministère recommande aux personnes asymptomatiques, mais infectées d’effectuer les traitements curatifs depuis leur foyer.
La bonne nouvelle, c’est que 99,7% des cas recensés depuis maintenant 28 jours ne présentaient que des symptômes légers ou nuls. Pour rappel, Singapour se figure dans la liste des pays où le taux de vaccination est très important mais les infections reprennent.
Sur les 5,5 millions d’habitants du pays, le taux de vaccination s’élève à près de 91%, tandis que plus de la moitié des vaccinés ont reçu leur dose de rappel.
Je pose ça là sachant que ce n’est pas le meilleur endroit :
Est-ce que quelqu’un sait ce qu’a foutu la Pharmacie Centrale des Armées ces deux dernières années ? A part acheter de la Chloroquine ? J’aimerais bien que quelqu’un me raconte l’ambiance de l’intérieur. Sachant qu’ils ont – a priori – les moyens de faire des vaccins en des temps records… que s’était-il passé ? Sont-ils tombé sur plus coriace que le H1N1 ? Ou bien au contraire, il n’y avait pas de débat, la Chloroquine fonctionnait très bien ? Ou bien encore n’ont-ils pas reçu l’ordre d’intervenir ?
Pour la pharmacie, sèpa, pour la recherche militaire, elle a tout bonnement été supprimée, alors que l’armée avait accumulé un savoir impressionnant en matière de virus – nous sommes gouvernés par des génies qui pensent pour vous mieux que vous-même, il faut vous y faire :/
« Par comparaison, Singapour s’en tire beaucoup mieux. »
Mais c’est pas bien ce que vous faites! Parler positivement de Singapour, c’est mal. N’oubliez pas que c’est un régime autocratique, qui détruit les libertés avec tout plein d’interdictions de menaces et d’amendes… C’est le discours imposé ici en France sur Singapour.
J’y suis trois mois par an et quelque chose me dit que je vais y séjourner dorénavant un peu plus longtemps…
« La bonne nouvelle, c’est que 99,7% des cas recensés depuis maintenant 28 jours ne présentaient que des symptômes légers ou nuls »
Cela fait longtemps que les vrais scientifiques le disent.
Le seul vrai problème est que, avec le vaccin P, les symptômes graves se retrouvent chez les vaxxinés, et ceux sont ces derniers qui se retrouvent à l’hôpital.
En Chine, leur vaccin est un vrai vaccin (selon la définition non trafiquée), mais pas vraiment efficace, sur une infection due à un virus non stable, c’est à dire qui mute rapidement;
En tous cas, je doute que les gouvernants chinois s’en inquiètent.
Ils doivent, comme tous les gouvernements, se servir de cette épidémie de « rhumes » pour augmenter la pression sur leur population.
Zéro covid ? Mais c’est depuis le début de cette imposture qu’il a zéro covid !
Il n’y a pas un seul labo qui a isolé un de ces virus. Tout ne repose que sur les affirmations que cela existe. Ce sont des faux en écriture.
En tout cas, si c’est un vaccin réalisé de manière « traditionnelle », on peut penser qu’il n’aura pas d’effets secondaires comme ceux qui sont recensés dans certains pays européens ou du moyen orient.
Quant aux chinois, ils sont « sauvés », les bioterroristes américains n’ont pas passés d’annonces pour récupérer du sang de chinois afin d’étudier leurs ADN. Seuls les russes semblaient intéresser les américains, dans leurs laboratoires secrets ukrainiens.
En attendant, si les russes pouvait vitrifier toutes les installations informatiques gérées par Dominion en Europe, on a des chances de changer le dictateur du covid19 français en un seul passage à l’isoloir final.