Une information faisant suite à une autre, l’actualité préoccupante de la guerre en Ukraine occulte les réalités sanitaires. La question des blessures liées aux vaccins contre le covid reste prégnante même si le sujet semble tout à coup hors champ. Les analyses bénéfice-risque sont toujours établies en faveur du vaccin alors que les effets indésirables sont largement sous-estimés et qu’ils ne sont pas pris en considération au-delà de 5 à 6 semaines après la vaccination dans la majorité des pays qui ont établis un système de pharmacovigilance des effets indésirables. Le cas des Etats-Unis est particulièrement intéressant…
Aux Etats-Unis, pays comptant un grand nombre de victimes du covid (cf. infra), Les statistiques officielles affichent une surmortalité liée à la vaccination de masse au regard des données même du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), organisme en charge de la surveillance des effets indésirables des vaccins contre Covid. Les données de mortalité présentées ci-dessous sont sans équivoque :
A partir de la fin 2020, on observe une explosion record des décès notifiés comme il n’y en jamais eue depuis l’existence de ce dispositif.
Les chiffres du VAERS sur la post-mortalité vaccinale sont sous-estimés
L’étude de Spiro Spantazatos et Seligmann de l’Université de Columbia, et datée d’octobre 2021, analyse le risque de mortalité lié aux vaccins Covid par tranche d’âge. Les auteurs révèlent que le nombre de décès aux Etats-Unis à la suite des injections expérimentales est bien plus élevé que celui annoncé officiellement par les Centers for Disease Control (CDC) et le VAERS, soit 20 622 décès[1] à fin décembre 2021 et depuis décembre 2020, date du début de la vaccination de masse aux Etats-Unis.
Que le VAERS – qui est un système de pharmacovigilance peu fiable, parce que volontaire et passif – indique des chiffres fort sous-estimés par rapport à la réalité (cf. infra), ce n’est pas une surprise pour avoir été démontré bien avant la crise de Covid. Ce qui est en revanche intéressant, c’est la mesure du différentiel entre les chiffres officiels et les correcteurs de mesure que les auteurs estiment 20 fois plus élevés.
Les chercheurs ont utilisé la variation régionale des taux de décès en distinguant ceux qui sont liés au Covid et ceux qui ne le sont pas. Ils ont ainsi pu déceler une surmortalité anormale par rapport à la moyenne des années passées. Ils font remonter plusieurs informations :
- La surmortalité observée est temporellement en lien avec la vaccination de masse ; toute autre causalité est écartée, car la surmortalité touche les tranches d’âge au fur et à mesure qu’elles accèdent à la vaccination (les + de 65 ans d’abord puis les tranches d’âge décroissantes et éligibles aux vaccins). Cet argument est fondamental car il établit une forte similitude entre vaccination et décès.
- Les chercheurs ont conclu que les décès indiqués dans le VAERS sont sous-déclarés d’un facteur 20.
- Ils annoncent que 187 000 personnes pourraient être décédées à cause des vaccins Covid-19 entre février et août 2021 (7 mois) aux États-Unis (donc 20 fois plus que le chiffre officiel).
- Ils ont également conclu que les risques associés aux injections de Covid-19, y compris les rappels, « l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les personnes âgées présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus ». Autrement dit, le rapport risque-bénéfice est au désavantage des personnes vaccinées chez ces catégories de personne.
- Ils recommandent « d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les effets indésirables et débilitants causées par les vaccins, et qui bouleversent la vie de tant de gens ».
Aux États-Unis, 187.000 personnes pourraient être décédées à cause des vaccins Covid entre février et août 2021
Ces informations pointent du doigt la responsabilité des autorités sanitaires du pays et plus généralement celle du gouvernement américain qui serait entière dans ce scandale. Si l’on rapporte l’estimation du nombre de décès sur un an aux Etats-Unis avec la correction, on obtiendrait environ 400 000 décès.
D’autres auteurs évaluent que le correctif est bien plus élevé, c’est le cas de Kirsch, Rose et Crawford : ils estiment que le nombre de décès liés à la vaccination COVID est 41 fois supérieur aux chiffres publiés par le VAERS.
Ces chiffres peuvent paraître exagérés mais ils ne le sont pas si l’on se réfère à des études sur la capacité du VAERS à faire remonter les effets indésirables post-vaccinaux. Cette capacité est comprise entre 1% et 13% des cas selon les travaux de Lazarus publiés en 2011. Mais restons sur les analyses qui sont spécifiques aux effets indésirables de la vaccination contre le Covid.
Le nombre de décès liés à la vaccination et enregistrés dans la base de données WONDER (CDC) à fin 2021 était de 20 622 décès notifiés comme indiqué dans l’extraction du tableau ci-dessous :
Tableau 2 : Nombre de décès notifiés en lien avec la vaccination contre Covid d’après la base WONDER du CDC (USA) – décembre 2020 à décembre 2021.
On notera cependant que le CDC annonce sur son site web (en février 2022) un nombre de décès notifiés de 12 304 cas du 14 décembre 2020 au 14 décembre 2021, ce qui est très inférieur aux chiffres de la base de données WONDER. Quelles sont les bonnes données quand une même organisation publique donne des indications différentes à 35 jours d’intervalle ?
En appliquant le coefficient correcteur de 41 au nombre de décès post vaccinaux sur la base de 20 622 décès, on obtient 845 502 décès sur la période 2020-21. Si l’on retient le chiffre « révisé » de 12 304 décès, on obtient 504 464 décès.
Fin 2021, la courbe des décès déclarés du Covid de mars 2020 à février 2022- qui est surestimée car sont comptés dans ces statistiques les personnes décédées avec Covid (inclue les comorbidités) et non du Covid – comptabilise environ 827 000 décès (cf. courbe ci-dessous).
Si l’on exclue les décès du Covid en 2020, soit 351 754, il reste 476 069 décès en 2021.
Le vaccin aurait tué plus de personnes que le Covid
Si on compare maintenant ce chiffre avec l’hypothèse basse du nombre de décès post-vaccinaux (12 304 décès sur 14 mois) corrigée du coefficient multiplicateur, on obtient 504 464 décès. Avec l’hypothèse haute (20 622 décès sur 12,5 mois), on obtient 827 000 décès avec le coefficient multiplicateur ; soit 1,7 fois plus de décès que ceux en lien avec le Covid.
Pour les deux modélisations, le vaccin aurait tué plus de personnes que le Covid.
[1] Il est intéressant de noter que ces données ont été corrigées à la baisse en 2022 puisqu’en février le CDC annonce sur son site environ 12 000 décès post vaccinaux depuis le début de la vaccination.
Ça n’est qu’un peu plus, mais pas moins, que ce que Didier Raoult a dit à mots à peine couverts dans sa dernière vidéo, et il y a malheureusement de bonnes chances que ça ne soit que la partie visible de l’iceberg, car comme vous le dites vous-même, tous ces chiffres sont abo-minablement peu représentatifs de la réalité parce que minorés au maximum, d’ailleurs, tout le monde a en tête les “réponses médicales” systématiques dès que les thérapies géniques expérimentales mortelles ont été mises en cause… (la principale étant sans appel : cépapossibbb !)
Mais le pire n’est même pas là, ce seront les effets délétères à long terme qu’il sera infiniment difficile de relier à ces injections, à commencer par l’affaiblissement des systèmes immunitaires, qui semble bien définitif chez une majorité de piqués. 🙁
Depuis Avril 2020,
Je dis:
Ce n’est pas le virus qui tue, c’est le vaccin
Oui, et tant que les médecins seront dans un déni qui confine maintenant à la cécité, ces dégâts seront cachés.
Pourriez-vous corriger l’article SVP?
“Ils annoncent que 000 personnes pourraient être décédées à cause des vaccins Covid-19 entre février et août 2021 (7 mois) aux États-Unis…”
attention une typo : « Ils annoncent que 000 personnes » -> « Ils annoncent que 187000 personnes » je suppose