Pourquoi la délinquance africaine (Maghreb et Afrique Subsaharienne) est-il si importante en France ? Cette question taboue est difficile à aborder, car le politiquement incorrect en vigueur interdit d'établir une corrélation statistique entre une origine géographique et un comportement social. Pourtant, le phénomène a pris une telle ampleur que des militants associatifs africains, des chefs d'entreprise, des intellectuels reconnaissent qu'il pose un problème. Nous avons interrogé Soulé Diawara, chef d'entreprise et intellectuel mauritanien, sur cette question.
La délinquance africaine est-elle ou non un problème en France ? Selon Soulé Diawara, dont nous présentons la première partie de l’interview, le problème mérite d’être évoqué.
Délinquance africaine et intégration
Il est rare que des intellectuels africains s’expriment aussi librement sur les questions de délinquance liée à une communauté. L’intérêt de cette intervention est de poser ouvertement la question des explications culturelles de cette propension à la délinquance.
Comme l’explique Soulé Diawara, chef d’entreprise et intellectuel mauritanien, la tentation de la délinquance a une source directement liée aux conditions mêmes de l’immigration. Le regroupement familial a posé d’immenses problèmes culturels que les bonnes consciences occidentales ont refusé d’examiner.
Dans la pratique, le caractère restreint des cellules familiales en Europe, et singulièrement en France, soulève d’importantes difficultés pour les populations venues d’autres horizons culturels. Ainsi, les familles africaines découvrent en Europe la difficulté d’un face-à-face avec leur enfant, alors que le principe de l’éducation est collectif en Afrique. Cette rupture liée à l’arrivée en France cause de nombreuses difficultés.
En particulier, faute de maîtriser les « codes » locaux les parents s’en remettent régulièrement à leurs enfants pour décoder le sens de la vie en France. Cette inversion du « décodage », qui confié aux enfants une responsabilité très lourde, débouche sur un déficit de références morales, qui facilite le glissement vers la délinquance.
Pour Soulé Diawara, la France doit mettre l’accent sur l’éducation des jeunes immigrés en n’hésitant pas à imposer des formules d’internat.
Ne manquez pas demain le deuxième épisode de cette interview.
Soulé Diawara livre une analyse parfaite et lucide si ce n’est la conclusion « la France doit mettre l’accent sur l’éducation des jeunes immigrés en n’hésitant pas à imposer des formules d’internat ».
La France n’a pas à adapter quoi que ce soit pour satisfaire l’intégration d’une population, il lui suffit d’affirmer ses préceptes et valeurs, mais ça c’est une autre histoire qui s’éloigne de l’idéologie progressiste qui n’est finalement que Marxiste, pour laquelle un homme en vaut un autre, et ce sont les mêmes qui parlent de diversité !
Rassurez vous M. Diawara, d’ici 2 ou 3 décennies maximum, la France sera devenue une terre d’Afrique, il suffira aux blancs restant de s’intégrer à la culture africaine.
Je suis blanc, telle est ma faute, ma très grande faute, en plus je suis né français, ce qui fait de moi : un raciste, un antisémite, un transphobe, un homophobe, un nazi, un fasciste, un colonialiste, je vais me peindre en noir de ce pas, ah non merde ce serait un « black face ». Le réchauffement climatique aura la peau des blancs de toute façon, Darwin en parlerait mieux que moi.
L’analyse de Soulé Diawara est intéressante mais pas assez précise: selon moi il faut préciser les termes: de qui est-ce qu’on parle?
De personnes nées en France de parents étrangers? De personnes nées à l’étranger et devenues françaises?
En outre selon moi il ne faut pas parler de l’Afrique et des africains en général car cela entraine une confusion.
Il faut à mon avis distinguer 3 zones d’origine :
– le Maghreb : anciennes colonies françaises mais maintenant indépendantes. Pays musulmans dont les populations immigrées en France sont le coeur de cible de l’islam politique) Objectif : réislamiser ces populations pour islamiser la France.
-l’Afrique Centrale: anciennes colonies françaises qui n’ont qu’une indépendance factice: les dictateurs africains sont largement soutenus par la classe politique française ( Cameroun, Gabon, Congo …) Ces populations majoritairement chrétiennes n’ont que deux choix : soit rester dans des pays qui ne sont que des dictatures ou aller en France où ils seront toujours assimilés à des citoyens de seconde zone.
– l’Afrique de l’Ouest: anciennes colonies françaises dont certaines sont dans le même cas que l’Afrique centrale : Guinée, Togo, Côte d’Ivoire. Populations à moitié musulmanes (donc présentant les même problématiques que les populations du Maghreb) et populations chrétiennes n’ayant que deux choix comme l’Afrique centrale.
Tout ça pour dire que l’immigration africaine que nous voyons résulte de la politique africaine de la France. Cessons de soutenir les dictateurs et fermons la circulation avec l’Afrique quitte à ne plus avoir de nucléaire…