
Un terrible carnage social (et entrepreneurial) arrive à une vitesse fulgurante. C'est le ressac causé par la zombification partielle de l'économie que le gouvernement a organisée avec sa pluie artificielle de billets de 500 euros sur le pays. Les aides dispensées depuis plusieurs mois deviennent autant de pièges pour les employeurs, qui risquent de se retrouver dans une situation pire qu'au mois de mars.
Le carnage social arrive, et risque d'être bien pire qu'on ne le redoutait. La faute aux aides distribuées depuis mars pour amadouer l'électeur et calmer le climat social, qui repousser d'autant les ajustements nécessaires et les rendent d'autant plus douloureux.
Le grand carnage social arrive
La rentrée n'est pas encore arrivée, et déjà le pire s'annonce. Le mois de septembre devrait être destructeur pour le pays, piégé par les aides aveugles de l'État qui ont agi comme de la morphine sur un cancéreux : la douleur disparaît, mais les métastases progressent, dissimulées par l'apparent bien-être que procure le médicament.
Ainsi, les prêts garantis par l'État (PGE) se transforment en véritable machine infernale : les entreprises qui en ont bénéficié doivent désormais le rembourser. Mais, trois mois après le déconfinement, l'activité n'a pas repris comme on l'imaginait, et les entreprises n'ont guère les moyens de faire face à cette nouvelle dette.
On lira ici les propos du patron de Brittany Ferries, aux abois, qui explique chif
Les français ont choisi en 2017 le Mozart de l’économie, le Petit Prince de l’union européenne, comme le leur ont asséné les médias. He bien dans deux ans, ceux qui sont encore debout, pourront changer leur vote. Patience les gars, fallait pas croire au Père Noël en 2017