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Accueil Uncategorized

Dépenser plus pour nos hôpitaux aiderait-il à combattre le COVID ?

Éric VerhaegheparÉric Verhaeghe
3 février 2021
dans Uncategorized
Temps de lecture : 2 minutes
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Nos hôpitaux, et plus largement notre santé, ont-ils besoin d'argent pour mieux faire face au COVID ? Voilà une croyance très largement répandue parmi ceux qui accusent le libéralisme d'avoir "cassé" le service public. Mais il suffit de regarder les chiffres pour comprendre qu'il s'agit là d'une pure illusion. Bien au contraire, les pays qui ont le mieux géré la crise sont aussi ceux qui dépensent de façon raisonnée pour leur santé...

Nous reprenons ici les chiffres officiels de l’OCDE sur les dépenses de santé, et nous les comparons au récent classement international des pays qui ont le mieux géré le COVID, établi par le Lowy Institute australien. 

Selon ce think tank du Pacifique, les pays au monde qui ont le mieux géré le COVD sont, par ordre décroissant :

  1. La Nouvelle-Zélande
  2. le Viêtnam
  3. Taïwan
  4. la Thaïlande
  5. Chypre
  6. le Rwanda
  7. l’Islande 
  8. l’Australie

Nous avons repris les dépenses de santé rapportées au Produit Intérieur Brut de chacun de ces pays, lorsqu’ils sont membres de l’OCDE. 

Le résultat figure ci-dessus : la France (qui est en 73è position dans le classement des pays les plus efficaces), est aussi le pays qui consacre la plus grande part de sa richesse nationale à la santé. 

La Nouvelle-Zélande, pour sa part, consacre environ 2 points de PIB de moins que la France à sa santé, y compris sur l’assurance obligatoire. Chypre, qui est le pays européen qui s’en sort le mieux, consacre 4 points de moins que nous. 

Certes, ces pays sont des îles dont les frontières sont, par nature, moins poreuses que les nôtres. Il n’en reste pas moins que l’efficacité de la lutte contre le COVID ne dépend pas ici des sommes mises sur la table, mais de l’organisation des services chargés de mettre en oeuvre les politiques publiques. 

Voilà une donnée qui mérite d’être durablement prise en compte. 

Étiquettes : COVIDOCDEprotection socialesanté
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Les écologistes proposent de régler la crise du logement par une paupérisation générale des villes

Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.

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Les écologistes proposent de régler la crise du logement par une paupérisation générale des villes

Commentaires 11

  1. bertrand says:
    il y a 2 ans

    pour avoir une fille atteinte de la maladie de Lyme, je peux vous dire que les hopitaux sont des nuls absolus, des incapables et des rentiers incompétents !!!! après avoir vu que Lyme pouvait être neurologique j’ai demandé à voir un neurologue : celui-ci m’a dit « je ne savais pas que Lyme pouvait être neuro : quels examens dois-je faire ??? »

    Répondre
    • Granjard says:
      il y a 2 ans

      Et en plus l administration met des BATONS ds les roues à ceux qui ont plus de connaissances et d initiative
      Pour un neurologue pour LYME sur LYON Pr paul TROUILLAS

      Répondre
  2. PAS DUPE says:
    il y a 2 ans

    Tout ce qui tourne autour du « coronacircus » est une grande mise en scène orchestrée par le « pouvoir » !
    Et donc tout ce qui en découle est à l’avenant.
    D’ailleurs y-a-t-il « pandémie » voire même « épidémie » ?

    L’Hôpital était malade avant le « covid » !
    Vous savez pourquoi ?
    Parce qu’il y avait de moins en moins de rameurs et de plus en plus de barreurs (pléthore « d’administratifs », petits chefs, sous-chefs, chefs, contrôleurs etc…) qui vivent sur la bête !

    Répondre
    • Malepage says:
      il y a 2 ans

      Je vous rejoins dans votre perception de tout ce cirque.
      Quand je rencontre les gens de mon village gaulois, je leur dis m’étonner de les voir encore vivant compte tenu du cirque médiatique et cie quotidien. Certains me disent qu’il ne faut pas en  »rigoler » car ils connaissent quelqu’un dont l’entoutage a été confronté au virus et qui aurait pu passer l’arme à gauche et qui s’en est sorti par chance grâce au  »confinage » de 14 jours. Cependant, ces victimes ont perdu le goût et l’odorat ce qui dénature la qualité gustative des bons petuts plats du restau’ Maque-do.
      Ne plaisantons pas avec cette terrible maladie… impitoyable.

      Répondre
    • Granjard says:
      il y a 2 ans

      Et en plus l administration met des BATONS ds les roues à ceux qui ont plus de connaissances et d initiative
      Pour un neurologue pour LYME sur LYON Pr paul TROUILLAS

      Répondre
  3. lez says:
    il y a 2 ans

    Les 4 premiers pays ont une population beaucoup plus concernée par l’aide de l’hygiène alimentaire et des produits naturels pour traiter les symptômes de toute maladie.
    Il y a en NZ , en plus, un respect de la nature et de l’environnement qui prédispose à une mise en condition personnelle, et que nous avons oublié depuis longtemps

    Répondre
    • Aurel says:
      il y a 2 ans

      Je ne sais pas aujourd’hui, mais il y encore quelques années, la Nouvelle-Zélande utilisait encore beaucoup de pesticides controversés. De plus, c’est quand même un pays envahi par la malbouffe… Après, ils ont une certaine sensibilité de l’environnement qu’on ne retrouve pas forcément en France par exemple, c’est sûr (gestion des eaux notamment), mais leur territoire isolé facilite les choses à ce niveau-là.

      Répondre
  4. Jacques Toledano says:
    il y a 2 ans

    Bonjour
    Merci pour cette première approche qui ne dit rien, à partir du PIB totEMise par les neoliberaux. Par exemple sur l’organisation, les qualifications des soignants et leur place par rapport à l’ensemble de personnel, ainsi que sur leurs formations continues, l’âge des équipements et part des investissements/ entretiens, .
    Évidemment que chacun peut dépenser bcp moins en étant soigné mieux, à la condition que l’environnement vous le permette,…
    La santé est aussi trop importante pour ne la confier qu’à un rapport d’un PIB totEMise
    aMEn.

    Répondre
  5. Jean-Maurice Parnet says:
    il y a 2 ans

    Bonjour, M Verhaeghe !
    Dans les dépenses « médicales » (?) de la France, celles de la rubrique AME-Aide Médicale d’Etat (soit 1000 millions d’euros pour le budget 2021 …) sont-elles inclues ? Merci

    Répondre
  6. דוב קרבי dov kravi says:
    il y a 2 ans

    Dans les hôpitaux français, 34 % de personnes n’ont aucune tâche médicale. Voici un problème propre à la France : un système très centralisé, d’une lourdeur bureaucratique intenable, qui explique que les plans qu’on enchaîne depuis des décennies ne fonctionnent pas.
    https://www.contrepoints.org/2020/04/18/369391-dans-les-hopitaux-francais-34-de-personnes-nont-aucune-tache-medicale

    Répondre
  7. Lerohc says:
    il y a 2 ans

    Bonsoir.

    Commençons par dire la vérité sans faux semblant. Personne ne veut la dire car c’est tabou!
    Vous avez des secteurs, dont il est interdit de douter. Ce sont, les secours, la santé, et dans une moindre mesure la sécurité. Or ,ces trois secteurs sont dans une situation catastrophique pour cette seule raison: il est tabou d’en décrire la réalité, sinon vous êtes excommuniez.
    Les secours, que sont les services de pompiers devenu professionnels et fonctionnarisés (même les bénévoles qui ne sont d’ailleurs plus bénévoles depuis longtemps) partout, nous coûtent des fortunes pour un service, dont la finalité n’est plus le secours, mais la sauvegarde du service et surtout de ces employés. La réalité est qu’ils sacrifient vos biens au besoin en partant du principe que les assurances payeront.Quand ils n’en sont pas à refuser les risques, en plus de faire chier pour les commissions de sécurité. Ils sont d’autre part tellement équipés qu’ils en sont dangereux pour eux et les autres. En surnombre ( du moins dans le sud où je suis) ils sont un budget vampirique pour les départements.

    La santé, avec son secteur publique est un bordel sans nom, où la gestion humaine consiste à employer toute la faune défavorisée des quartiers émotifs (comme le dit un fameux blogueur),dont le principal soucis est d’arriver en retard au mieux ,et à l’idéal de trouver une raison « sociale » pour être absent.Les hôpitaux sont transformés en « entreprise à vocation sociale et solidaire » comme disent les gauchistes, pour ne pas dire en « bouffe pognon des cons qui payent ». Il s’y vole des quantités astronomiques de matériel de soins ( bétadine, cotons , pansements, bas de contentions, blouses, gants, tout y passe même des blouses de chirurgie et charlottes pour peindre à la maison….etc…) . C’est un vaste foutoir où seul 20% des employés sont compétents et sérieux. Ce n’est pas ce que l’on vous vend à la télé, qui fut l’hôpital d’il y a quarante ans, ce sont des entreprises zombies, mortes et fossilisées par tout un personnel incapable du haut vers le bas.

    La sécurité est assurée par deux services police et gendarmerie , qui sont les ombres de ce qu’ils ont été eux aussi. Où la féminisation a fait exploser la cohésion et la confiance tout en créant un affaiblissement structurel des forces (marrez vous un peu en regardant les forces de l’ordre des manifs, où vous pouvez voir des petits bouts de nanas cachés au milieu du groupe, qui est du coup d’une fragilité évidente. Je ne souhaite pas voir les dégâts, le jour où les manifestants comprendront la fragilité de ces accouplements ) Bouffé par la paperasserie et la servilité féminine( servilité bonne lorsqu’elle est naturellement dédiée à sa progéniture, mais exécrable utilisée par les nabots politiques) ces services de sécurité vont exploser un jour ou l’autre comme la grenouille de sieur La Fontaine.

    On ne parlera pas ici des autres secteurs publiques car les qualificatifs me manquent, et je deviendrai grossier.

    Ces trois services sont foutus , bouffé par le merveilleux statut du fonctionnaire « toujours plus (de pognon et d’avantage) pour toujours moins (de présence et de boulot), sans coup de pied au cul ».

    Il est temps de faire la guerre au secteur publique pour qu’il cède un partie de ses avantages et se mette au travail pour un coût moindre.
    Vous rendez vous compte que ces cons là ont arrêté la nation sans se soucier de qui paye ?
    Quand je vois tous ces guignols de médecins fonctionnaires venir nous plaider les confinements et autres dingueries sur les plateaux et qu’il n’y a pas un journaleux pour leur demander si ils comprennent qui paye leur salaire et leur fonctionnement, cela me laisse pantois.
    Vous êtes courageux Eric de les traiter civilement ,moi je peux plus.

    Répondre

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