Les libertés des résidents d’EHPAD ont été «grandement entravées» pendant la crise du Covid-19, juge la Défenseure des droits, Claire Hédon, dans un rapport qui formule une soixantaine de recommandations pour sauvegarder leurs droits. Une décision du Conseil d’Etat, une proposition de loi et un rapport plus tard, où en sommes-nous ?
Ces dernières années, 80% des réclamations dénonçant les conditions et les modalités d’accompagnement des personnes âgées adressées au Défenseur des droits mettaient en cause un EHPAD. Cependant, du fait de la pandémie liée au Covid-19, un rapport remis à cette autorité administrative indépendante dénonce «une augmentation, de la part des directions des établissements, de violations de la liberté d’aller et venir des résidents ainsi que de leur droit au maintien des liens familiaux». La pandémie de Covid-19 a «mis en lumière des défaillances déjà constatées», écrit aussi l’autorité indépendante sur Twitter.
1.Une décision du Conseil d’Etat…
Le 3 mars dernier, la décision du Conseil d’État de suspendre l’interdiction de sortie des résidents avait suscité un élan d’espoir. Las, sur le terrain, des proches déplorent le maintien de règles strictes imposées par des directeurs d’EHPAD «tout puissants». Malgré une vaccination massive des aînés en maison de retraite, la vie sociale peine en effet à reprendre son cours dans toutes les maisons de retraite.
2.Une proposition de loi du Sénat…
Mi-avril, les sénateurs LR ont voulu dire stop aux interdictions de visites généralisées. Durant cette crise, «on a trop souvent enfermé nos aînés dans leur solitude. On a laissé les gens mourir seuls, loin de leurs familles», regrettait Bruno Retailleau, interrogé par Le Figaro. «Pendant l’épidémie, la logique administrative a tout écrasé, elle a broyé les principes d’humanité», estimait le parlementaire de Vendée, «Je veux lancer le débat. Que cela ne puisse plus se reproduire».
3.Un rapport de la Défenseure des droits…
«L’examen de ces réclamations montre, de manière récurrente, des atteintes aux droits fondamentaux, au respect de la dignité et l’intégrité des personnes accueillies. Le droit à la vie privée et familiale a donc été grandement entravé au cours de la crise sanitaire, et de façon bien plus importante pour les personnes résidant en EHPAD que pour le reste de la population.» souligne Claire Hédon. «La crise sanitaire a mis en évidence les difficultés, pour les pouvoirs publics, à concilier les enjeux de santé publique avec la nécessité d’une réponse appropriée aux besoins spécifiques des personnes âgées accueillies en EHPAD (…)» poursuit la Défenseure, qui considère que les «restrictions, qui peuvent être gravement attentatoires à la liberté, ne peuvent être laissées à la seule appréciation des directions d’EHPAD.»
«Défendons nos libertés»
Combien de mises en garde seront-elles nécessaires avant que les résidents des EHPAD soient reconnus comme des citoyens à part entière ? Qu’ils soient confiants, les futurs candidats à la présidentielle de 2022 sauront tous les voir comme des électeurs à 100%.
Détruire tout ce qui est et fait humanité (relations sociales, familiales, liens affectifs) fait partie du PLAN !
Ce qui se passe dans les EHPAD découle des instructions du virus VERANVEREUX via les ARS et les directions des EHPAD se distinguent en appliquant ces dernières avec un zèle certain car ils en retirent des bénéfices certains (moins de visites => moins de temps consacré aux résidents / soins, toilette – aux familles (pas de remarques désobligeantes) ==> moins de personnel ou personnel absent non remplacé)!
On voit bien que “la sécurité sanitaire” ne devient qu’un alibi et que le chantage à la vaccination est permanent tant pour le “résident non vacciné” que pour “la famille non vaccinée”.
Il faut savoir qu’un “résident non vacciné” doit subir après chaque visite (2 personnes au maximum !) un test PCR à J+4 puis un autre à J+7 !
Imaginez le calvaire du résident d’où l’espacement des visites voire la fin des visites !
LE CHANTAGE AU VACCIN !
FAITES VOUS VACCINER ! Et vous n’aurez plus ces contraintes !
Voilà la réponse des Directions d’EHPAD, les agents zélés du “POUVOIR”!
Vous comprenez : il faut être très bien noté par l’ARS régionale !
Les résidents on s’en fout ! De toute façon il faudra bien qu’ils crèvent !
Et la plupart de détresse affective ET NON DU COVID !
que vient faire ici cette ” défenseure ” ridicule sous prétexte qu’il s’agit d’une femme qui tient ce rôle .
Mon fils, militaire, est …. “un” sentinelle dans les rues de la capitale !
L’anal phabête de service est-il satisfait de cette trouvaille ?
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Parlez français svp !