Le lundi 13 décembre, à l’école Bonnefoy de Toulouse, un élève de 6 ans - certains sont sûrs d'avoir reconnu le "petit Nicolas" - a dû quitter l’établissement et s’est retrouvé seul dans la rue au motif qu'il ne portait pas de masque. Cet événement inadmissible est symptomatique d’une politique qui instrumentalise les enfants pour justifier leur folie vaccinale.
Un enfant de 6 ans sans masque, laissé à la porte de l’école
Ce lundi 13 décembre, une maman laisse son enfant de six ans devant l’école Bonnefoy de Toulouse. Dépourvu de masque, il arrive néanmoins à rentrer dans l’établissement scolaire sans aucun problème.
C’est une fois à l’intérieur que se passe l’impensable. Un premier adulte lui somme de mettre son masque, or l’enfant n’en pas. Ensuite un second intervenant lui demande alors d’aller en chercher un.
Complètement perdu et déboussolé, le jeune garçon va sortir de l’établissement, ne sachant pas quoi faire.
Heureusement, Il sera retrouvé, quelques minutes plus tard, par sa mère et un ami de la famille, dans un parc voisin.
Indignée, la maman envoie immédiatement un courrier à la mairie de Toulouse. Cette dernière leur demande comment son enfant de six ans a pu se retrouver tout seul, livré à lui-même, avec tous les risques potentiels que cela engendre.
En réaction à cet évènement invraisemblable, l’inspection plaide … la maladresse !
Du côté de l’académie de Toulouse, c’est également la stupéfaction. Le rectorat a immédiatement réagi en évoquant, aussi, une “immense maladresse” de la part de la direction de l’école.
“Un enfant ne peut pas être exclu parce qu’il ne porte pas de masque. Les règles sont claires“, rappelle-t-il.
Illustration d’une éducation nationale qui aura perdu toute lucidité et humanité dans l’avalanche « covidienne ».
Nos enfants victimes de l’irrationalité des politiques
L’obligation de porter le masque dans les écoles dès l’âge de 6 ans est avant tout une mesure politique, sans fondements scientifiques, qui a un impact délétère sur le bien-être et le développement des enfants. Ils s’adaptent mais à quel prix, leur sphère cognitive et relationnelle en est terriblement impactée.
Rien n’a prouvé que le masque à l’école diminuait les transmissions, d’autant que les enfants l’enlèvent à la cantine, et le touchent pour le réajuster, ne le changent pas forcément, voire se le prêtent. Soyons honnêtes, même nous adultes le trouvons proprement insupportable dans la vie quotidienne.
Le port du masque chez un enfant peut être assimilé à une maltraitance.
Nous sommes devenus si craintifs, si précautionneux, si orgueilleux aussi vis-à-vis de la mort, de la finitude, que nous avons oublié que la médecine n’est pas toute puissante et que les jeunes n’ont pas à porter les maux d’adultes névrosés.
Masquer les enfants pour une maladie qui ne les concerne pas signifie la défaite de la pensée politique et sa perte de dignité. Masqués, et pour cause, ils ont perdu la face dans cette histoire.
Faire peur à tout prix pour imposer, in fine, un vaccin.
Voilà la finalité prônée par le premier ministre, qui a expliqué, récemment, que vacciner les enfants à l’ARN messager était une “nécessité” malgré le manque de recul que constituerait une pareille décision.
Ce « taliban » de la vaccination, qui n’hésite pas à incriminer sa propre fillette de 11 ans, est le symbole d’une Politique tombée dans l’irrationalité totale qui instrumentalise les enfants pour arriver à ses fins : vacciner toute la population !
ça va donner des idées à un autre “petit Nicolas” : quand il séjournera à la Santé, il lui suffira d’enlever son masque pour que le surveillant en chef le sanctionne et le colle dehors tout seul devant l’établissement
Les méthodes de gouvernement actuelles font appel au mensonge, à la manipulation, à l’instrumentalisation aux chocs traumatiques réitérés. Est-ce seulement envisageable de maltraiter les peuples pour une cause supposée plus grande? La fin justifie les moyens n’est pas une forme honnête de gouvernance politique. Cet adage témoigne d’un machiavélisme absolu. Le bien commun ne saurait justifier un quelconque sacrifice des individus. C’est au contraire la marque des systèmes totalitaires qui fonctionnent sur des idéologies mouvantes, c’est-à-dire des idées délirantes, paranoïaques, déconnectées du réel, de l’expérience et de l’ancrage à la vérité. Corruption, mensonge, médiocrité, incompétence, lâcheté, mauvaise foi, sadisme et cruauté sont les symptômes du régime totalitaire qui encourage la transgression et l’intrusion de l’intime des citoyens ainsi que la méfiance de tous contre tous. Les rôles sont confondus, la délation et la maltraitance sont encouragées, les personnes vulnérables – les anciens et les enfants – sont sacrifiées. » (Ariane Bilheran, message dans le Doctothon)
On comprend bien qu’il s’agit d’enfermer dès le plus jeune âge, les enfants dans une nouvelle normalité déshumanisée. Les petits collabos de terrain sont aussi impardonnables que ceux qui donnent les ordres.
Y a t il des adultes dans cette ecole? Je comprends mieux les classements Pisa avec des pedagogues de cet acabit sans bon sens ni sens moral ni sens des responsablilites à l’instar de l’abject castex.
Tout ce bintz pour un truc inutile et toxique qui vaut moins de 0,10 €
(boite de 50 à 5,00 €). Sans compter la dotation administrative. Nimportawak.
L’IDEN plaide la maladresse ???
Faut-il lui rappeler que si l’erreur est humaine, perseverare diabolicum.
Comme pour Macron et sa bande, au début du “nous sommes en guerre” on pouvait se dire ,
il est jeune, il a pété un câble, il a sniffé un drôle de truc, etc… Et ce fut notre erreur, pas la sienne.