Par Avi Morris - Vu d’Israël, ces polémiques sur la comparaison entre la politique vaccinale actuelle et le statut des juifs de Vichy à la suite du tweet du professeur de philosophie @rene_chiche ne manquent pas de surprendre. D’une part, la comparaison avec les débuts du nazisme fait également partie des éléments d’argumentation avancés par les opposants au passeport sanitaire en Israël – nous aurons l’occasion d’y revenir dans une prochaine contribution ; d’autre part, quand on sait la fascination qu’exerce le philosophe nazi Heidegger sur une partie de l’intelligentsia française, il est toujours amusant de constater les ravages de la bonne conscience à critiquer toute comparaison avec le nazisme.
Ce qui nous paraît nettement plus inquiétant que les tweets du professeur Chiche, c’est le discours des vœux du président Emmanuel Macron le 31 décembre 2021 que, bien évidemment, ceux qui attaquent ce professeur de philosophie, se gardent bien de relever. Comme l’a déclaré le président Macron, « enfin, nous appuyer sur la responsabilité de chacun, principalement en se faisant vacciner, pour soi et pour les autres. Être un citoyen libre et toujours être un citoyen responsable pour soi et pour autrui ; les devoirs valent avant les droits ».
Cette phrase est très troublante. Pour citer Mussolini, « Le concept de liberté n’est pas absolu car, dans la vie, il n’y a rien d’absolu. La liberté n’est pas un droit, mais un devoir. Ce n’est pas un cadeau : c’est une conquête ; ce n’est pas une égalité, c’est un privilège. Le concept de liberté change suivant le moment. Il y a une liberté en temps de paix, qui n’est plus la liberté en temps de guerre. Il y a une liberté en temps de richesse, qui ne peut être accordée en temps de misère ». (Ve anniversaire de la fondation des Faisceaux, 24 mars 1924 ; dans Scritti e Discorsi, vol. IV : Il 1924, Milan, Hoepli, 1934, p. 63, reproduit dans B. Mussolini, La doctrine du fascisme, disponible sur internet).
Pour citer Charles Maurras, « j’ai toujours cru que le privilège des droits représentait le privilège des devoirs (C. Maurras, Mes idées politiques, Fayard, 1937, p. 125).
Nous avons déjà montré dans un précédent article dans le Courrier des stratèges les références douteuses du président Macron et le scandale que constitue sa déclaration lors de la remise de la légion d’honneur à Jesse Jackson – « Les valeurs pour lesquelles vous vous êtes battu sont les mêmes que celles de la République française […] Vous êtes notre frère ».
Apparemment, pour 2022, le message est clair : nous n’avons pas encore tout vu dans le déploiement de la rhétorique du Président Macron : les non-vaccinés comme les Juifs en 1940 ne réussiront pas à passer à entre les gouttes. Pendant ce temps, les soutiens du Président préfèrent faire l’autruche et s’en prendre à un professeur de philosophie.
N’oublions pas que Machiavel a été un des sujets d’étude de prédilection de Macron…
Hallucinant comment les gens sont insconscients des dégâts du collectivisme! Où comment commettre des monstruosités à grande échelle.
“Tout pour l’Etat, rien hors de l’Etat, rien contre l’Etat” , la devise de Mussolini que ne renierait pas Emmanuel Macron.
Macron ne défend pas l’État et l’intérêt général. Il défend les multinationales américaines et c’est bien là sa grande perversité. Sa devise est donc « Tout pour Pzifzer (ou General Electric etc…), rien hors de Pzifzer, rien contre Pzifzer” .
L’éducation nationale est la plus fasciste de mes réformes.
B. Mussolini
Le ministère de l’instruction publique en France est devenu en 1932 celui de l’éducation nationale sous l’égide d’un socialiste, Herriot.
Pfizer = Umbrella Corporation.
Quelques approximations avec le fascisme et l’histoire, mais Mussolini c’est facile, et effectivement le fascisme c’est mal, ma famille sait parfaitement de quoi il retourne.
Mussolini est mort, comme Hitler, comme Franco, etc. J’aurais préféré un traitement plus collaborationniste, en faisant un rapprochement pour le coup exact avec la seconde guerre et le comportement des intellectuels et surtout des « artistes » d’alors qui avaient les yeux énamourés avec l’occupant allemand et qui étaient pour la plupart parfaitement au courant de la destination finale des juifs.
Là, il y a un constat, celui de nos pétitionnaires professionnels se réclamant de l’exception culturelle française, dont le silence dénonce leur couardise. Ces gens sont sensibles à tout ce qui est atteintes aux libertés, ils le sont sur le sujet Covid, mais par lâcheté ils sont muets et n’en doutons pas, ils seront bientôt propagandistes par incitation de leur ministre (de la culture paraît-il ?) en la personne de Roselyne Bachelot qui, pour ces cuistres, a un argument massif : le carnet de chèques.
A force de lire sur micron, il me semble que ce qui le caractérise, c’est sa fascination pour la transgression.
un trait de la personnalité perverse.
Jean Michel Trogneux approuve.
Aujourd’hui, nous rencontrons quelque chose de bien plus monstrueux que le fascisme, quelque chose qui n’a jamais existé dans l’histoire, quelque chose de carrément diabolique : La tentative transhumaniste de déshumanisation des masses, la transformation de l’humanité en personnages cyborgs pour l’amusement d’une ploutocratie perverse. Macron n’est qu’un idiot utile et remplaçable.
Pour une part je ne crois pas qu’il y ait un droit de préhension ou de propriété sur un événement historique quel qu’il soit, par qui que se soit.
En deux les comparaisons historiques sont toutes à fait justifiées, l’Histoire comme les Vies ne font que se répéter le long du Temps des civilasions et du vécu de chacun.
En trois, il est évident que Macron n’a aucune conviction d’aucune sorte. Ce triste et honteux personnage, qui laisse une sale tâche dans l’histoire de France, n’est qu’un manipulateur de très haut vol au service de ses ambitions et/ou de ceux qui l’ont engagé à son service. C’est le prototype du soufiste. Le soir si cela convient il contredira ce qu’il a dit le matin.
Mais les faits on finit par mettre à nu l’absurdité de la situation qu’il a créé de toutes pièces, non sûrement pas sans se cacher derrière un partenariat international bien en dessous de son niveau. C’est une maigre consolation. Au point qu’on se demande comment peut-il sauver sa tête. Mais ce n’est pas impossible, la Bête à des recours.
Comparaison n’est pas raison mais quand même. Le « Stalingrad de Macron » formulé par M. Eric Verhaeghe se fait déjà très nettement ressintir et le rang des résistants de 42 grossi de jour en jour. Évidement il y en a qui attendront le débarquement pour retourner sa veste, les imprudents. L’histoire donc se répète.
C’est le prototype du soufiste… il manquait plus que ça. A force de réfléchir ou de vouloir donner son avis, on finit comme les autres par dire des conneries.
Je retourne méditer
Belles pensées partagées
Pour faire tomber les nations, il suffit de mettre à leur tête des individus corrompus au cerveau malade. Pas besoin d’armes de guerre, l’AFP fera l’affaire
Le Pouvoir est inquiet, il faut réussir la troisième rappel de vaccination mais les résistants vont mécaniquement devenir plus nombreux car le doute se propage. L’Omicron n’est qu’une grippe saisonnière, voire un simple rhume. Donc maintenir la peur à tout prix avec les relais habituels bien rodés. Difficile de croire que cela puisse profiter pleinement à notre économie très délabrée, surfer vers le compteur des intérêts de la Dette, effroyable …
Vous découvrez…. personnellement, dans mes commentaires ici j’ai parfois écrit » faisceaux macroniens » et souvent « Enfant » ( au sens de l’Ecclésiale ) pour le désigner, lu,i afin d’expliquer l’arrogance et l’absence de sens des limites auxquels on reconnait les hommes qui se croit investis d’une mission démiurge vis-à-vis de laquelle ils se considèrent en droit de tout sacrifier notamment les pauvres petits rêves de tous ces ploucs « qui roulent au diésel et fument des clops » et qui, en plus, veulent vivre » dans un pavillon avec 300 m2 pelouse autour » comme des gros « dupontlajoies » au temps des 30 glorieuses. Et d’ailleurs il franchit un cap intéressant dans l’ordre du dévoilement du grand projet car « …les devoirs valent avant les droits… » n’est ce pas tout simplement dévoiler qu’on envisage une certaine affirmation de la fin de l’Etat de droit en France ? merci de me répondre à cette dernière question.
Soufisme : règles et pratiques ascétiques et mystiques d’un ensemble d’écoles, de sectes et de confréries musulmanes D’après le Larousse. Vous auriez dit sophiste, nom masculin, maître de rhétorique et de philosophie qui enseignait l’art de parler en public et de défendre toutes les thèses.
2. Personne qui use de raisonnements spécieux (sophisme). Je pense que c’est plus ce sens auquel vous souhaitiez faire allusion. c’est assez différent voire divergent. Bref et bof ! emmanuHeil mediocron n’est qu’un bluffeur, un joueur de poker, un maquignon un mini-maitre spécialiste de la remise des pendules à leurres. Face à une popu-lasse d’abrasés corticaux qui croient qu’ils pensent parce qu’avant eux nos aînés ont lutté pour obtenir le droit de vote dont ils ne savent se servir car carencés de discernement et de lucidité sur le milieu politicien, alors, ils gobent tout. Et quand ils se réveilleront ?????? ils croiront encore que c’est leurs maîtres qui les ont dupés alors que ce n’est que leur lâcheté, mollesse cérébrale et confort de pacotille qui les a fait esclaves. En entraînant les autres avec, bien malgré eux. Un peu de chou permet de déceler chez benito, sa photo, con a affaire à un givré, même oeil gauche que l’adolphe. mêmes dingues. Et si micmacron est comparé à benito, souhaitons nous qu’il ait la même fin, mais courant janvier 22. sans oublier sa clique, of course ! Il fait partie, comme tous les hommes politiques, du clan des malins, c’est un roué (plus fort qu’un sophiste ou encore plus qu’un soufiste) en effet, une personne intelligente ne fait pas, ne peut pas faire de politique, puisqu’elle est intelligente. La politique c’est pour les frustrés, les cupides les mecs sans humanité, des auto-proclamés demi-dieux; plus demi, comme le sel, que dieux ! Ces politiciens, sont des gens qui ne servent à rien sinon se goinfrer sur le dos des autres. Nombre de gens censés et véritablement intelligents dans les siècles passés l’ont dit et redit et ça ne changera pas de si tôt. C’est un constat, un fait, interprétable et réinterprétable autant cons veulent, mais, les faits sont les faits. Le manque de discernement sert bien la soupe des hommes liges qui gouvernent.
« Jetter l’opprobe » , « faire honte » , évitons l’anglicisme « shaming ».