Au Canada, face à la poursuite des blocages des manifestants à Ottawa contre les mesures sanitaires, le gouvernement de Justin Trudeau vient d’invoquer une loi d’exception permettant notamment de suspendre les comptes bancaires des manifestants. L’étau se resserre autour des gens épris de liberté. Trudeau dévoile son plan de aux yeux du monde entier, nous entrons maintenant dans la phase du système de crédit social à la chinoise. L’élève de Davos inaugure cet esclavage moderne et montre la voie à tous ses amis dirigeants occidentaux, infusés au WEF.
Trudeau opprime son peuple en lui coupant les vivres
Le 14 février 2022, la vice-première ministre et ministre des Finances du Canada, Chrystia Freeland, a annoncé que le financement participatif pour les Canadiens qui manifestent pour la liberté sera considéré comme un financement du terrorisme. Deux jours plus tard, cinq grandes banques canadiennes se sont déconnectées, empêchant un certain nombre de clients d’utiliser les différents services bancaires. En invoquant la loi d’urgence et son ordonnance de saisie des comptes bancaires, Trudeau a déclenché une «bank run » (panique bancaire) au Canada.
Le gouvernement canadien vient de donner tous les pouvoirs aux banques, qui pourront agir comme bon leur semble et fermer un compte en banque sur un simple doute. Ces institutions pourront procéder, après avoir obtenu de l’information de la police, sans craindre les poursuites judiciaires. Elles devront également signaler ces personnes à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et au Service canadien du renseignement de sécurité.
Le ministre fédéral de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a affirmé, samedi 19 février, que les pouvoirs octroyés par la loi ont permis le gel de 76 comptes bancaires représentant 3,2 millions $.
La justification de cette folie tient dans un document bâclé et arraché à des médias favorables à Trudeau. Or la base de certaines des mesures les plus controversées ne repose que sur rien de plus que les reportages de la CBC. Aucun rapport ministériel ne sous-tend cette évaluation ni aucun renseignement du GRC. Rien d’autre qu’un reportage monté par trois reporters de la CBC. Trudeau et sa clique confient, donc, leurs briefings sur la sécurité à la CBC.
« Nous avons maintenant les outils pour suivre l’argent. Nous pouvons voir ce qui se passe et ce qui est prévu en temps réel, et nous sommes absolument déterminés à ce que cela cesse maintenant et pour de bon », a déclaré Freeland, la ministre des Finances.
Plus inquiétant, Freeland a annoncé qu’elle prévoyait de rendre permanentes certaines des mesures d’urgence. Le gouvernement a également l’intention de présenter une nouvelle législation pour conférer de nouveaux pouvoirs à CANAFE.
« Nous avons utilisé tous les outils dont nous disposions avant l’invocation de la loi sur les urgences et nous avons déterminé que nous avions besoin d’outils supplémentaires », a annoncé Freeland dans une interview sur Zoom.
«Certains de ces outils, nous proposerons des mesures pour mettre ces outils en place de façon permanente. Les pouvoirs de CANAFE, je crois, doivent être élargis pour couvrir les plateformes de crowdsourcing et les plateformes de paiement. »
Les mesures d’urgence (anciennement: Loi sur les mesures de guerre) invoquées par Justin Trudeau sont donc là pour rester.
Jeudi 16 février, l’ordre de mise en liste noire de 34 « wallets » contenant des cryptomonnaies liés au Freedom Convoy devenait effectif. Sachant que ces portefeuilles ont reçu au total une enveloppe de 1,4 million de dollars de la part de sympathisants.
Pour le PDG de Kraken et pro-mouvement Freedom Convoy, Jesse Powel, l’heure est à l’adoption d’une autre alternative, il a exhorté les utilisateurs à retirer leurs coins et leur argent investi dans des exchanges centralisés.
Il est fort probable que cette ruée sur les banques canadiennes ne puisse pas survenir dans un futur proche. Mais les récentes saisies effectuées par le gouvernement local ont mis en évidence la nécessité d’un système monétaire décentralisé. Raison pour laquelle, tous les acteurs de la cryptosphère considèrent les transactions peer-to-peer de bitcoin ou d’éthereum comme un dernier rempart.
Quelques jours après cette intervention comminatoire, le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a déclaré que l’utilisation de la loi la plus puissante du Canada était « injustifiée dans les circonstances », un « excès », une violation de la procédure régulière et « une intrusion dans la compétence provinciale ».
Les dispositions bancaires de cette loi étaient, selon Kenney, « conçues pour interrompre le financement du terrorisme », maintenant, selon le premier ministre, le gouvernement Trudeau utilise plutôt ces dispositions pour harceler « les personnes dont il n’est pas d’accord avec les opinions ».
La députée républicaine du Nouveau-Mexique, Yvette Herrell, a proposé d’offrir l’asile politique aux manifestants d’Ottawa qui se font déloger de la capitale fédérale canadienne.
« La censure de l’argent est quelque chose que nous voyons dans un pays autoritaire, pas un comme le Canada », a déclaré Philippe Jette, consultant senior au Fonds Rivemont Crypto. « Quelle que soit mon opinion sur les manifestations, le gel des comptes pour des raisons politiques est une grande, grande pente glissante. »
Justin Trudeau sort de son terrier avec une idée digne de la firme de consultants McKinsey. L’idée est carrément dictatoriale : geler les comptes bancaires des manifestants c’est empêcher un chauffeur d’acheter des médicaments, de la nourriture, de payer le chauffage en plein hiver. Bienvenu dans le crédit social version Great Reset.
Quand l’élève de Davos inaugure le plan mondial du « maître » Schwab
Pour ceux qui aspirent à la fin des restrictions liées à la pandémie, les programmes d’accréditation certifiant leur vaccination contre le Covid-19 ont été présentés comme la clé de la réouverture de l’économie et de la restauration de leur liberté personnelle. Mais la mise en place des passeports immunitaires inaugure et accélère, également l’établissement d’une infrastructure mondiale d’identité numérique.
Pour les oligarques des institutions néolibérales telles que le Forum économique mondial (WEF) de Klaus Schwab, la numérisation des passeports sanitaires représente un outil essentiel dans une transformation économique et politique plus profonde.
Comme l’a récemment déclaré la société de surveillance militaire et le contractant de l’OTAN Thales, , les passeports vaccinaux « sont le précurseur des portefeuilles d’identification numérique ».
Pour beaucoup d’États occidentaux, les passeports vaccinaux numériques promettent un contrôle sans précédent sur les populations partout où de tels systèmes sont mis en œuvre.
Citons Ann Cavoukian, l’ancienne commissaire à la protection de la vie privée de l’Ontario, au Canada, qui a décrit le système de passeport vaccinal (déjà actif dans sa province) comme « un nouveau réseau de surveillance inéluctable où les données de géolocalisation sont suivies partout. »
Aujourd’hui, alors que beaucoup proteste contre le régime d’exclusion des passeports vaccinaux, les leaders du capitalisme mondial font campagne, avec plus d’urgence que jamais, pour introduire l’identification numérique en Occident où les systèmes d’identification et de monnaie numérique ont déjà permis l’extraction de profits incroyables.
Le programme d’identité numérique du WEF jette les bases d’un système mondial de crédit social qui leur donnera le pouvoir de contrôler les citoyens et de punir ceux qu’ils jugent « indignes de confiance ».
En février 2022, le Forum économique mondial (WEF) de Klaus Schwab a publié un nouveau rapport , « Advancing Digital Agency: The Power of Data Intermediaries », qui expose les plans pour la création de la quatrième révolution industrielle, une fusion du « physique, monde numérique et biologique. »
Ces mondialistes, non élus, du WEF ont capitalisé sur le Covid et utilisent les « passeports vaccinaux » pour jeter les bases d’une adoption généralisée de l’identité numérique, qui n’est qu’une partie de plus de la grande réinitialisation en action. Un tel outil peut être utilisé, entre autres, pour accéder à vos traitements d’assurance maladie, surveiller les appareils de santé et vos téléphones, ouvrir un compte bancaire et effectuer des transactions financières.
Les banques pourront prendre en compte le comportement social d’un individu, à la fois en ligne et hors ligne, dans le processus de crédit. C’est ce qu’on appelle « l’Alternative Credit Scoring », qui exploite les mégadonnées pour analyser, non seulement, les antécédents financiers, mais aussi les comportements sociaux. In fine, ce type de système tend à introduire un système de crédit social, comme le Parti communiste chinois (PCC), où l’accès aux biens et services est basé sur le comportement social d’une personne.
La réunion virtuelle du Forum économique mondial (WEF), qui s’est déroulée du 25 au 29 janvier 2021, avait ajouté « l’Alternative Credit Scoring » à son ordre du jour. La cote de crédit traditionnelle analyse le comportement financier d’un individu et tiendra également compte du comportement social d’un individu.
Trudeau est donc un « pionnier » sur la mise en pratique, dans une démocratie occidentale, des théories prophétisées par son « maître » Schwab. D’ailleurs, au Parlement à Ottawa, le député, Colin Carrie a, récemment, posé une question sur l’influence et l’infiltration possible du Forum économique mondial de Klaus Schwab dans le gouvernement canadien (il a été coupé sous prétexte qu’on ne l’entendait pas bien).
Il va être intéressant de voir comment la situation évolue au canada, car, en France, les capacités de résilience de la population française ont été poussées jusqu’à l’extrême. En 2 ans, au gré de la gestion de la crise sanitaire, notre pays s’est progressivement inscrit dans un mimétisme inquiétant des modalités de gestion de la population de la gouvernance chinoise, à croire que la Chine pourrait être un référent acceptable pour nos sociétés d’un monde prétendument libre.
A ce titre et pour bien comprendre la manœuvre qui se prépare, il faut relier cela avec l’identité numérique européenne, promu avec instance par Ursula Von Der Leyen, qui vise à détruire définitivement les États-nations et la résistance opiniâtre. L’euro numérique permettrait ainsi de bloquer automatiquement et à distance ceux qui achètent trop d’essence, consomment trop d’électricité … ou refuse la dictature vaccinale (comme au Canada).
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Excellent hélas. Mais des milliards d’imbéciles se laisseront-ils affamer ?
Que faire !
Retirer ses liquidités, ne plus régler qu’en liquide.
Acheter de l’or pour ce qui est des réserves.
On est bien dans la merde quand même.
L’agenda du chaos prévoit également la suppression du cash (à l’horizon 2023-2024). Donc ne prévoyez des liquidités que pour tenir jusqu’à fin 2024 !
Jusqu’à cette date l’or et le bitcoin sont des solutions complémentaires permettant de stocker une plus grande quantité de valeur.
Pour la suite, je vous donne,à titre de contribution à la réflexion, quelques éléments tirés des prophéties chrétiennes récentes.
1. Après l’avènement de la monnaie numérique mondiale, chacun devra accepter une puce implantée sous la peau pour pouvoir acheter ou vendre. C’est la marque de la bête évoquée dans l’Apocalypse. Les prophètes contemporains adjurent les croyants de ne pas accepter cette puce. Cela les condamne donc à l’autarcie. (Cette puce sera une extension du passeport numérique.)
2. C’est aux Etats-Unis que la répression sera la plus impitoyable. Les récalcitrants qui auront été arrêtés seront mis dans des camps d’internement, destinés à évoluer en camps d’extermination. Les autres croyants se regrouperont dans des “refuges” préparés à l’avance, avec un stock conséquent de nourriture et de combustible, ainsi qu’une source d’eau. Ils vivront en totale autarcie, avec l’aide des anges, tant pour la nourriture que pour la santé.
3. En Europe il y aura aussi des refuges, mais il restera possible pour les communautés chrétiennes de continuer à vivre sans trop se cacher, en se regroupant autour de leur église, malgré la persécution et malgré l’interdiction de commercer. Je suppose que ces gens s’entraideront, échangeront et cultiveront la terre . Ils bénéficieront eux-aussi de l’aide des anges essentiellement pour la santé et pour leur protection. J’imagine qu’ils pourront se livrer au troc avec les non-chrétiens, et je pense que l’or continuera à être une monnaie d’échange clandestine.
4. Dans le reste du monde (Afrique, Asie) la persécution sera encore moindre. Cependant je suis persuadé que la caste cherchera à réduire considérablement le nombre d’habitants, en organisant guerres et famines.
Une piste est d’utiliser des cryptos.
Les cryptos ne datent pas des bitcoins. Elles existaient déjà dans les années 90, mais les systèmes ne pouvaient tourner que sur un seul serveur, donc à l’intérieur d’un seul pays.
Dès qu’elles commençaient à connaître un certain succès, les hommes de l’Etat du pays concerné les interdisaient.
Le progrès technique permettant la répartition des données sur plusieurs serveurs (donc dans plusieurs pays) a provisoirement mis fin à cet abus de pouvoir.
Lors d’un sommet économique entre plusieurs pays, M. Bruno Lemaire (quelle surprise !) a essayé d’obtenir de ses partenaires qu’il y ait une entente pour l’interdiction des cryptos. Mais il a essuyé un refus.
En France, la vente d’or est taxée, justement pour nous empêcher de l’utiliser comme monnaie d’échange.
La monnaie est une création de la société civile (on peut se référer à la notion d’« ordre spontané » de Friedrich Hayek) dont les hommes de l’Etat se sont emparés pour nous asservir.
(On lira avec profit à ce sujet, l’ouvrage de Philippe Simonnot : « La monnaie. Histoire d’une imposture »)
Si le contrôle de la monnaie échappe enfin aux voleurs légaux de l’Etat, nous retrouverons une grande partie de nos libertés.
…le suicide, il n’y a plus que ça…
La question se pose de savoir comment un individu, un gamin pour les gens de ma génération, peut avoir la mainmise sur une population qui ne s’organise toujours pas dans son propre intérêt et bien sûr dans l’intérêt national.
A le lecture de cet article, force est de constater qu’il est urgent de mettre fin à ces comportements génocidaires.
Informer c’est bien, dénoncer c’est bien aussi.
Cependant, il est aujourd’hui temps de s’organiser pour agir comme il convient.
Le gamin n’est pas seul, il est la pointe émergée de l’iceberg ! Il a derrière lui tout le deep state et presque tous les partis politiques.
En outre ces gens-là maîtrisent à la perfection les techniques de manipulation. En France Macron s’était plaint qu’avec les « Gaulois réfractaires » on ne pouvait rien changer dans ce pays, et regardez avec quelle maestria il a réussi à nous mener à un taux de vaccination des adultes supérieur à 90% et au passe vaccinal.
Lisez déjà les deux article d’Eric Veraeghe sur l’agenda du chaos et vous comprendrez beaucoup de choses, en attendant les suivants !
J’ai lu les articles sur l’agenda du chaos mais reste néanmoins sur mes positions.
Pour mieux comprendre mon point de vue, je vous invite à vous rendre sur le site actes-vrais.fr.
Cette stratégie pourra certes en interloquer certains mais elle est néanmoins une solution qui mérite d’être regardée de près compte tenu de la tournure des évènements.
L’état profond et les partis politiques ne sont pas obligatoirement une fin en soi.
TOUS les partis. Le chef de LFI a refusé de reconnaître le génocide des Ouïghours.
Le chiffre gouvernemental de 90% de vaccinés est une fake new ! La vaccination mondiale plafonné à 65%…
L’or et l’argent sont traçables, les marchandises aussi.
Reste le bitcoin, à condition de trouver un commerçant qui l’accepte…
Lien sur identité numérique européenne : https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:52021PC0281&from=FR
Effondrement du nombre de vaccinés: il leur faudra exterminer pour vacciner ? Je leur souhaite quand même du plaisir. Les cons, ça ose tout, les affamés aussi.
https://covidtracker.fr/
Effectivement on assiste à une chute brutale de la vaccination, dont les autorités ne semblent pas se formaliser, et ne font rien pour aller contre, alors qu’il y a encore 15 jours, leur discours était contraire.
S’ils ont abandonné sans le dire (pour ne pas perdre la face) ces vaccinations, alors qu’ils souhaitaient depuis des mois vacciner 100% de la population, à 4, 5, 6 doses voire plus, auraient-ils des informations que nous n’avons pas ?
En tout cas on constate que la phase « covid » est terminée. La population n’y croit plus.
Le temps est venu de passer à la phase suivante : guerre, famine, krach économique ou autre virus?
La vaccination devait permettre l’adoption du passeport numérique. Comment vont-ils pérenniser ce dernier sans l’obligation vaccinale déguisée? Là est la question.
Reset après réélection de Macron (Véran, Attal). https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/02/19/blog-ferme-le-jeu-de-la-mort-et-du-khazar-touche-pretend-toucher-a-sa-fin-les-francais-parfaitement-enthousiastes-comme-toujours-bon-dimanche-a-nos-nombreux-lecteurs-et-acheteurs-nous/
Gel des comptes indéfini au Canada : https://www.zerohedge.com/political/canada-moves-make-asset-freezing-under-emergencies-act-permanent
« institutions néolibérales telles que le Forum économique mondial »
Le Forum économique mondial serait plutôt une INSTITUTION NEO COMMUNISTE.
Dans son ouvrage « libéralisme », le Pr. Pascal Salin définit le cadre du libéralisme :
« […] il n’existe que deux modes de relations entre les hommes : l’échange libre de volontés ou la contrainte. Cette distinction, importante et concrètement intelligible pour n’importe qui, est généralement passée sous silence dans beaucoup de constructions sociales, par exemple dans la théorie économique.
Elle conduit pourtant à deux conceptions radicalement opposées de la vie en société : la conception individualiste et la conception constructiviste, c’est-à-dire celle qui consiste à penser que l’on peut construire une société indépendamment de ses membres.
On obtient ainsi une grille de lecture qui rend obsolète les distinctions traditionnelles, par exemple l’opposition entre la droite et la gauche.
On peut ainsi considérer que les « conservateurs » et les « progressistes » appartiennent tous deux au camp des constructivistes, lorsqu’ils désirent tous modeler la société selon leurs propres vues – les conservateurs désirant maintenir la société en l’état et les progressistes désirant la modifier.
Par opposition les libéraux soulignent seulement la nécessité de règles du jeu, sans que l’on puisse connaître à l’avance les résultats du « jeu » né des interactions entre individus.
La liberté n’est en tout cas pas une liberté anarchique de faire n’importe quoi, mais au contraire une liberté bornée par le respect du droit des autres. Encore faut-il comprendre ce que sont ces droits, comment ils sont définis, quelle est leur légitimité. » (Introduction, p. 11)
Les révolutionnaires français, les Bolchéviques et le WEF ont les mêmes racines idéologiques.
Lire, par exemple, » Des pions sur l’échiquier » (1954!)
« les leaders du capitalisme mondial »
Contrairement aux idées reçues, ne sont pas des libéraux et financent le socialisme. Ils ont financé la révolution bolchévique et l’arrivée au pouvoir du parti socialiste national des travailleurs allemands (Cf. l’ouvrage de Pierre de Villemarest sur le sujet).
Le socialisme, en détruisant la classe moyenne par le fiscalisme et les réglementations protège leur position acquise des concurrents potentiels :
« Le système tend généralement à favoriser l’épargne d’entreprise plutôt que l’épargne individuelle, et plus spécialement à RENFORCER LA POSITION DES ENTREPRISES DEJA INSTALLEES AU DETRIMENT DES NOUVELLES. Il contribue ainsi à l’apparition de situations quasi monopolistes. Parce que l’impôt d’aujourd’hui absorbe la majeure partie des profits « excessifs » du nouveau venu, celui-ci ne peut pas « accumuler du capital ; il ne peut accroître la dimension de ses affaires ; il n’aura jamais une grande entreprise à même de menacer les positions établies. Les vieilles firmes n’ont rien à craindre de la concurrence : ELLES SONT PROTEGEES PAR LE PERCEPTEUR.».
(Friedrich Hayek, «La constitution de la liberté » [1960])
Les libéraux.ont financé la révolution bochévique, c’est le dernier sccop ? Une petite révision des fondements bolchéviks et de la réaction des patis bourgeois européens mérite une relecture.
Schwab & Co n’ont rien de bolchéviks, le profit à outrance est leur moteur.
La surveillance généralisée n’est pas l’apanage du NKVD mais aussi de la CIA.
Justement ce que je viens d’expliquer dans mes commentaires précédents (merci de les relire plus attentivement), c’est que ces gens ne sont pas des libéraux. Libéralisme n’est pas égal à gros détenteur de capital avec un gros cigare dans le bec. Libéralisme pourrait s’appeler liberté tout court.
« […] l’économie de marché peut exister même dans des sociétés collectivistes.
Ce qui caractérise le libéralisme c’est la reconnaissance des droits de propriété et de la liberté contractuelle. […] » (Pr. Pascal Salin, « Libéralisme », p. 10)
Le boulanger du coin est un libéral. On parle à juste titre de « professions libérales ».
M. Bernard Arnauld n’est pas un libéral. Mais un bénéficiaire du capitalisme de connivence.
A l’opposé du libéralisme qu’il détruit.
« Peut-être faut-il aussi interpréter certaines présentations biaisées du libéralisme non pas comme le seul résultat de l’ignorance, mais comme le résultat d’une manipulation volontaire destinée à caricaturer d’éventuels adversaires politiques.
Il en va certainement ainsi lorsqu’on parle d’ultralibéralisme pour suggérer que les libéraux sont des extrémistes politiques, proches d’une extrême droite autoritaire, dont ils sont en réalité aux antipodes. » (idem, ci-dessus)
Si, Schwab est un bolchévique ou un nazi (comme l’explique Hayek dans « La route de la servitude », ce sont des régimes de même nature).
Ces gens ne sont pas assoiffés de profit mais de pouvoir.
Leçon d’économie n°1 : lorsqu’il y a profit il y a création de richesses.
A l’inverse une perte signifie une destruction de richesses.
Vous citez la CIA, sous-entendant sans doute que les Etats-Unis seraient le temple du libéralisme.
Voila ce qu’en dit le Pr. Pascal Salin dans son ouvrage « Revenir au capitalisme. Pour éviter les crises » :
« La fiscalité joue aussi un rôle majeur dans le comportement d’épargne. Le cas des Etats-Unis est significatif de ce point de vue, puisqu’il y a double imposition du profit :
il est taxé une première fois au titre de l’impôt sur les sociétés, puis une deuxième fois au titre de l’impôt sur le revenu.
Cette fiscalité décourage donc l’épargne, mais elle incite par ailleurs les investisseurs à préférer le financement par les fonds empruntés au financement par les fonds propres. Or ces derniers sont évidemment le fondement du capitalisme.
On voit donc, à partir de cet exemple, A QUEL POINT LES ETATS-UNIS SONT LOIN DE CONSTITUER UN MODELE D’ECONOMIE CAPITALISTE, contrairement à ce qu’on se plait à dire généralement. » (p. 87-88)
Les populations occidentales vont recevoir en boomerang toutes les lois qui ont été votées au nom de la lutte contre le terrorisme: sera désigné dorénavant comme « terroriste » toute personne ou groupe qui s’oppose aux intérêts de la caste.
Il ne faut jamais accepter des lois d’exception. Le droit commun doit suffire.