Un comité consultatif de la FDA (Food and Drug Administration) recommande l’autorisation du vaccin Moderna anti-Covid-19 à deux doses pour les enfants de 6 à 17 ans. Selon l’un des experts, le Dr Eric Rubin, la décision a été prise en fonction des meilleures données disponibles. L’agence des médicaments devrait approuver l’utilisation du vaccin cette semaine.

Début décembre, le ministère japonais de la Santé mettait en garde sur les effets secondaires des vaccins Pfizer et Moderna chez les adolescents et les jeunes individus de sexe masculin. Certains d’entre eux ont en effet développé de sérieux troubles cardiaques. Malgré ces différentes études et ces risques d’effets secondaires, la grande offensive pour vacciner les plus jeunes est de nouveau lancée aux Etats-Unis. L’administration Biden s’entête à maintenir le schéma initial. Celui d’une vaccination de masse quoi qu’il en coûte à la santé des vaccinés.
Tous les experts en faveur de l’utilisation du vaccin
Un comité consultatif de la FDA s’est réuni mardi pour étudier la demande d’autorisation du vaccin de Moderna pour les enfants de 6 à 17 ans. Les 22 experts indépendants en matière de vaccination ont évalué la sécurité et l’efficacité du produit en fonction des données à leur disposition. À l’issue de cette réunion qui a duré une journée, ils ont voté à l’unanimité pour l’utilisation du vaccin à deux doses de Moderna.
Notons que la compagnie pharmaceutique a déjà demandé l’autorisation de son vaccin pour les adolescents de 12 à 17 ans en juin 2021. La FDA n’a pas donné son feu vert en raison de ses effets secondaires. Les données internationales ont effectivement révélé que le vaccin de Moderna peut provoquer une inflammation cardiaque chez les jeunes hommes âgés de 18 à 25 ans. Cela dit, la surveillance menée aux Etats-Unis a tendance à fausser cette information.
Cette fois, les conseillers de la FDA sont en faveur de l’utilisation des deux doses de vaccin pour les enfants de 6 à 17 ans. Selon l’un d’entre eux, le Dr Eric Rubin, expert en maladies infectieuses à Harvard, le comité doit « prendre des décisions sur la base des meilleures données » disponibles.
La FDA suit généralement l’avis de ses conseillers. Ainsi, elle devrait autoriser le vaccin de Moderna cette semaine. La mise sur le marché du vaccin aura lieu après l’approbation des centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Un dosage sûr et efficace d’après les membres du comité
Selon le comité, le nombre d’enfants et d’adolescents vaccinés est bien inférieur à celui des adultes, car auparavant, ce groupe d’âge était épargné par le Covid-19. Mais les nouveaux variants qui circulent actuellement pourraient infecter les plus jeunes.
Selon les données fournies par Moderna, le vaccin pour les 6 à 17 ans présente des effets secondaires courants comme les maux de tête, les frissons, la douleur au niveau du point d’injection, les nausées ou encore les douleurs musculaires.
Pendant les essais cliniques, aucun cas de myocardite n’a été détecté. Rappelons qu’en 2021, des cas de myocardite après administration du vaccin Moderna ont été signalés chez les moins de 30 ans. Suite à ces effets secondaires, certains pays nordiques incluant notamment la Suède et la Finlande, ont décidé de suspendre l’administration du vaccin Moderna chez les moins de 30 ans.
Selon le pédiatre Paul Offit, membre du comité, « les avantages l’emportent clairement sur les risques ». Voilà pourquoi, le comité a voté en faveur de l’autorisation du vaccin. Les enfants de 6 à 11 ans recevraient des injections plus petites de 50 microgrammes, tandis que les adolescents de 12 à 17 ans recevraient la même dose que les adultes, soit 100 microgrammes.
Selon le Dr Paul Offit, il est peu probable que deux doses protègent contre les maladies bénignes dues aux sous-variantes de l’omicron, mais qu’elles protégeraient probablement contre les maladies graves avec une troisième dose.
Face aux nouveaux sous-variants omicron, BA.4 et BA.5, Ruth Link-Gelles, une responsable des CDC, alerte sur une « probable la poussée des cas» chez les plus jeunes. Elle pense que « vacciner les enfants maintenant » est un moyen de les protéger dans les mois à venir.
Bien que le Covid soit généralement moins grave chez les enfants que chez les adultes, les CDC ont reconnu qu’environ deux tiers des enfants âgés de 5 à 17 ans hospitalisés pour Covid avaient au moins un problème de santé sous-jacent, comme le diabète ou l’obésité.

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“Les 22 experts indépendants en matière de vaccination ont évalué la sécurité et l’efficacité du produit en fonction des données à leur disposition.”
Ah bon! …c’est rassurant si ils sont indépendants… Cependant peut-on savoir leurs noms à ces fameux experts? juste pas simple curiosité! hein..:) sinon tant pis on les croira sur parole bien sûr comme d’hab!
C’est sûr que lorsqu’on prend “les meilleures données disponibles” avec une cohorte peu nombreuse, le tout sur une durée extrêmement courte… on peut justifier une autorisation.
Au fait, les ” 22 experts indépendants en matière de vaccination ” sont-ils indépendants de l’industrie pharmaceutique?
Toujours est-il qu’avec trois doses, il y aurait protection contre les formes graves qui ne touchent pas la population concernée… ?
Et attendant des gens meurent et ce qui se trouve dans leur sang est intéressant à voir
https://reseauinternational.net/vaccination-structures-que-lon-trouve-desormais-systematiquement-chez-les-adultes-qui-sont-morts-subitement/
Cela est-il possible en l’absence d’intention de nuire?
Changement d’époque : après les bébés Cadum et leur peau douce, on aura les bébés Pfizer avec les artères bouchées et le cœur prêt à lâcher…