Comirnaty est le fruit de la technologie d’ARNm exclusive de Biopharmaceutical New Technologies (BioNTech),mis au point par BioNTech et Pfizer. Depuis plus de trois mois, les ventes de ce produit phare de la société a beaucoup baissé. Elles sont inférieures aux estimations des analystes. Selon BioNTech, son chiffre d’affaires a chuté d’environ 40% au cours du second trimestre de l’année.
En 2021, les ventes du vaccin contre le Covid-19 fabriqué par BioNTech SE et Pfizer Inc affichaient un chiffre d’affaires entre 14,7 et 19,3 milliards d’euros. Pfizer a atteint un chiffre d’affaires de plus de 80 milliards de dollars en 2021, le chiffre annuel le plus élevé de son histoire. Pour 2022, les analystes prévoient plus de 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires avec la pilule Paxlovid. Son partenaire BioNTech, lui, a enregistré sa plus forte baisse depuis plus de trois mois, les ventes et le bénéfice étant inférieurs aux attentes des analystes en raison du retard des commandes du vaccin Covid-19. Néanmoins, la société de biotechnologie allemande, à l’origine du premier vaccin à ARN messager (ARNm), prévoit toujours d’atteindre l’objectif de 13 à 17 milliards d’euros de recettes de vaccins cette année avec les livraisons des deux vaccins dès le mois d’octobre, ce qui va augmenter la demande au quatrième trimestre. De son côté, Pfizer a réitéré sa prévision de 32 milliards de dollars de vente du vaccin Comirnaty.
La chute de ventes suite au retard des commandes du vaccin Comirnaty
Si le Comirnaty de l’alliance Pfizer/BioNtech reste de loin le vaccin le plus utilisé aux États-Unis et dans l’Union européenne. Il représente 58% des doses administrées outre-Atlantique selon les CDC (Centers for Disease Control and Prevention). En Europe, 71% des vaccins injectés étaient ceux de Pfizer.
Mais cela fait trois mois que les ventes du vaccin Comirnaty de BioNTech /Pfizer ont diminué. Il y a un écart important par rapport aux estimations des analystes. Le retard des commandes est à l’origine de cette chute.
Il faut dire que les autorités sanitaires de nombreux pays ont du mal à prendre une décision sur la manière de répondre à une éventuelle nouvelle vague de pandémie pour la prochaine saison hivernale, suite à l’apparition des sous-lignages d’Omicron. Elles hésitent entre proposer des rappels avec les vaccins déjà disponibles ou attendre que les vaccins actualisés soient disponibles en automne.
Dans un communiqué, lundi 8 août, BioNTech a déclaré une réduction d’environ 40% de son chiffre d’affaires. Au second trimestre, BioNTech a affiché un chiffre d’affaires et un bénéfice net de respectivement 3,2 milliards d’euros et 1,672 milliard d’euros, ou 6,45 euros par action. Les analystes visaient un chiffre d’affaires de 3,89 milliards et un BPA de 7,08 euros.
En Allemagne, les certificats américains d’actions étrangères de l’entreprise ont également chuté de 9,4%. C’est la plus forte baisse qu’elle a enregistrée depuis le 19 avril. Ils ont aussi chuté dans les échanges américains.
Au cours de ce trimestre, BioNTech a enregistré une dépréciation des stocks de 247,1 millions d’euros, causée par des matériaux inutilisés ainsi que des vaccins périmés.
Vers une augmentation des recettes pour le quatrième trimestre
Pour répondre aux demandes de nombreux pays, BioNTech et la société américaine Pfizer ont développé un vaccin actualisé, un vaccin de nouvelle génération capable de cibler le variant Omicron. Ils comptent sur ce produit pour relancer les ventes. Les doses de vaccin bivalent adapté à la souche originale et aux sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5 devraient aussi être prêtes pour le mois d’octobre. Pour rappel, ces sous-variants échapperaient aux réponses anticorps à la fois chez les personnes ayant déjà été infectées par le Covid-19, mais aussi chez celles qui ont été entièrement vaccinées.
L’essai clinique va débuter et la production est déjà en cours. Les responsables de BioNTech ont déclaré que la nouvelle version du vaccin Comirnaty sera prête pour les campagnes de rappel de l’automne.
L’alliance espère obtenir l’autorisation de mise sur le marché de son sérum (soumis à l’Agence européenne des médicaments le mois dernier) qui cible le sous-variant Omicron BA.1 en Europe. Enfin, elle va répondre à la demande du comité consultatif de la FDA (Food and Drug Administration) concernant la création d’un vaccin qui cible les sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5, dont les premières doses devraient être disponibles dès octobre. La demande devrait ainsi augmenter au cours du quatrième trimestre de l’année avec la livraison de ces vaccins selon BioNTech.
Cela repartira. En Allemagne écolo vaccinés et non vaccinés vont souffrir : couleurs dégradées suivant le nombre de piqures. Le pays a condamné son industrie en application du plan Morgenthau ; les Allemands vont geler dans un camp de concentration électronique. La bourse monte toujours plus ; Bolloré fait cinq voyages/jour dans son jet pendant que nos déplacements se font toujours plus pénibles et coûteux.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/08/11/en-germanie-ecologiste-les-vaccines-et-non-vaccines-pour-rien-vont-souffrir-des-couleurs-degradees-suivant-le-nombre-de-piqures-avec-des-droits-qui-vont-avec-le-ministre-nazillon-et-psychopath/
Néanmoins nous sommes “partiellement” satisfaits de cette situation ! SI elle tournait à la catastrophe nous serions très heureux. Mais ne rêvons pas, les blaireaux vont se précipiter pour être vaxxiné, le virus du singe est annoncé comme DANGEREUX !!
BioNTech avait pris lsoin d’avertir ses actionnaires le 30 mars 2022 : il redoutait déjà que son vaccin, distribué par Pfizer, ne puisse jamais être homologué définitivement, voire que les pertes soient à ce point astronomiques qu’elles mettent en péril la viabilité de la société et la production de nouvelles doses.
Et pour cause : Pfizer espérait que les données des essais cliniques ne seraient publiées que dans 75 ans, la justice américaine a refusé et l’a condamné à les divulguer. Et les révélations sont au-delà de l’imaginable…
Mais la vraie question n’est-elle pas: est-ce que les gouvernements vont enfin reprendre leur indépendance par rapport aux plans davosiens? Je ne pense pas d’abord à Macron, mais l’éviction de Draghi est lourde de signification, et la politique de la FED va tôt ou tard faire courir des risques à l’euro.
N’oublions pas que cette crise n’est sanitaire qu’en apparence… Les décisions seront politiques et non sanitaires. Comme depuis le début de cette opération Covid-19.