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Accueil Fil pénuries

Pénurie de carburant : comment Macron cache son jeu pour laisser pourrir la situation

Éric VerhaegheparÉric Verhaeghe
11 octobre 2022
dans Fil pénuries
Temps de lecture : 7 minutes
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24

French President Emmanuel Macron (L) speaks with Total Chief Executive Officer Patrick Pouyanne during a lunch with businessmen at a hotel in Lagos on July 4, 2018. (Photo by Ludovic MARIN / POOL / AFP)

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Nous avons expliqué hier comment les pénuries de carburant s'inscrivaient dans une logique de "transition énergétique" à marche forcée préconisée en filigrane par la "Stratégie bas carbone" que le gouvernement a définie en mars 2020, et qu'il a publiée cet été. Facialement, ces pénuries apparaissent comme le résultat de grèves orchestrées dans les raffineries par la CGT et par FO. Il est important de bien comprendre ici comment ces syndicats sont instrumentalisés assez naturellement pour dérouler une pelote théorisée il y a deux ans et demi. Car, si Macron voulait régler le problème, il n'aurait aucun mal à le faire.

Officiellement, bien entendu, le gouvernement découvre la pénurie de carburant comme une poule découvre un couteau. Et officiellement, cette pénurie est entièrement due aux grèves dans les quelques raffineries que la France compte encore. 

Bien entendu, la réalité est très différente de ce paysage touchant de naïveté. Il faut prendre le temps de l’expliquer ici, car si l’équipe Macron avait eu une once de compétence et de réalisme, les choses se seraient passées de façon très différente. 

Un bouillonnement qui date du mois de juin…

Il faut être parfaitement déconnecté des réalités sociales de ce pays, et parfaitement ignorant de la vraie vie pour ne pas avoir anticipé les difficultés qui allaient se poser dans les raffineries. 

Ainsi, dès le mois de juin, la CGT et FO ont exprimé leurs revendications pour des raisons structurelles qu’un simple schéma permet de bien comprendre. 

Voici les résultats comparés aux élections professionnelles de 2018 et de 2022 au sein de l’entreprise :

Comme on le voit, la CGT est confrontée à une forte percée de la CFDT, qui flirte avec les 18% de voix sur l’ensemble de l’entreprise en 2022, soit près du double de la CGT, quand les deux syndicats étaient au coude à coude en 2018. FO a perdu la moitié de ses voix. Le phénomène est particulièrement inquiétant pour la CGT dans le collège des « OETAM » (fusion des premier et deuxième collèges de 2018), c’est-à-dire « ouvriers, employés, techniciens, agents de maîtrise », où la CFDT talonne désormais la CGT, alors que celle-ci était de loin le premier syndicat en 2018 dans ces catégories. 

Autrement dit, la CGT a besoin de reprendre « le lead ». C’est pour cette raison qu’elle se montre particulièrement active dans la lutte, selon la bonne vieille idée en vigueur à la CGT qui veut que la radicalité rapporte des voix. 

N’importe quel directeur des relations sociales, même débutant, pouvait donc anticiper que FO et la CGT se donneraient le mot pour pousser à la roue et tendre le débat. 

Sans surprise, au lendemain des élections, la CGT appelait à une mobilisation sur les salaires le 24 juin 2022…

La question des salaires chez Total

Dans un esprit de provocation tout à fait curieux au milieu d’un conflit sensible, la direction de Total a publié hier un communiqué rappelant les salaires moyens dans les raffineries. On peut s’interroger sur les motivations politiques de Patrick Pouyanné, le patron de Total. Il a en tout cas fait oeuvre utile pour jeter de l’huile sur le feu et ne surtout pas trouver de sortie rapide au conflit. 

C’est ici l’un des éléments qui laisse à penser que Macron lui a donné carte blanche pour organiser le pourrissement de la situation dans un calcul tout à fait machiavélique. 

La réalité des salaires, dans l’entreprise, est un peu différente. En fait, en 2021, Total n’a accordé aucune augmentation générale, et, en 2022, l’augmentation était de 2,35%. 

Dans le même temps, Total engrangeait plusieurs milliards de bénéfices, largement redistribués aux actionnaires… et au patron lui-même. 

Alors que les salaires étaient bloqués en 2021, Patrick Pouyanné s’est accordé une augmentation de plus de 50%. Sa rémunération est désormais proche des 6 millions € par an. 

On imagine mal comment reprocher à la CGT de demander des augmentations quand le patron donne si peu l’exemple, gelant la rémunération de la troupe pour augmenter indignement la sienne. 

Des dividendes provocateurs

Alors que la CGT était chauffée à blanc par des résultats électoraux calamiteux, le patron de Total a continué la provocation. Fin juillet, l’entreprise annonçait un acompte sur les dividendes de 2023. Selon la presse subventionnée, qu’on ne peut donc soupçonner de connivence avec l’entreprise, ce versement anticipé porte sur une somme globale de 2,62 milliards €.

L’origine de cette somme est bien connue : elle provient de la manne apportée par la crise ukrainienne, et elle repose sur la consommation captive des Français. 

L’enrichissement des actionnaires n’a ici aucun lien avec un quelconque savoir-faire managérial ou avec une prise de risque réussie. Il résulte simplement de la situation géopolitique et des choix absurdes de l’Europe de se soumettre à la stratégie de tension des USA vis-à-vis de la Russie. 

Taxation des super-profits et capitalisme de connivence

Jusqu’à cet été, Macron s’est montré d’une totale passivité vis-à-vis de la très contestable politique salariale de Total. Mais il avait l’occasion, en septembre, de rattraper le coup en acceptant de taxer les profits de Total. Soulignons-le : ces profits sont la caricature du capitalisme de connivence et de ses effets pervers. 

Total est en effet une entreprise privée totalement dépendante des Etats en général. Ce sont les Etats qui délivrent les autorisations de forage, puis d’exploitation des puits de pétrole. Ce marché est au demeurant cartellisé entre les mains de quelques majors mondiaux, qui vivent de la rente pétrolière. 

En refusant de taxer les profits nés de la guerre en Ukraine, Macron montre une fois de plus qu’il est l’homme du capitalisme de connivence. Il aurait pu décider d’imposer ces profits au lieu d’autoriser leur versement anticipé aux actionnaires. Comme s’en est félicité le cartel des médias subventionnés contrôlé par les milliardaires, Macron a fait ce qu’il fallait pour empêcher cette taxation. 

Là encore, Macron a laissé faire, organisant discrètement la tension sociale et facilitant le pourrissement d’une situation tout à fait prévisible. 

Une passivité de 13 jours…

Lorsque la CGT a commencé sa grève dans les raffineries, les dandies de l’Elysée et du gouvernement n’ont pas pris la mesure du phénomène qui se préparait. Pourtant, la majorité compte dans ses rangs ou dans ses soutiens des gens comme le maire du Havre, Edouard Philippe, qui sont bien au courant de la situation. 

Curieusement, personne ne s’en est soucié, pas même la Première ministre, qui fut il y a peu ministre de l’Ecologie, et qui connaît donc bien le dossier…

La CGT le souligne astucieusement : le communiqué de Total dénonçant les salaires élevés dans les raffineries est sorti… après 13 jours de silence de Patrick Pouyanné. 

Dans quel pays imagine-t-on la principale entreprise pétrolière laisser prospérer une grève dans ses raffineries sans réagir pendant 13 jours ? Cette situation n’est imaginable qu’avec l’accord au moins de principe donné par le gouvernement. Quand on connaît l’imbrication des intérêts entre Total et le gouvernement (Total étant d’ailleurs un grand collecteur de taxes pour le compte de l’Etat), il n’est pas plausible que ce pourrissement de 13 jours, ponctué par une nouvelle jetée d’huile sur le feu (le communiqué de la direction correspond bien à cela), se fasse sans une validation au plus haut niveau. 

Les raisons de ce pourrissement orchestré

Pour quelle raison un Macron, une Borne, un Philippe, ont-ils laissé faire sans bouger ? 

Deux explications me semblent coexister ici. 

La première est qu’aucune de ces personnalités n’ont eu la moindre idée des files qui se formaient devant les stations essence un peu partout en France. Cette réalité-là est trop basse, trop vulgaire pour eux, et ils n’ont donc pas compris que, dans certaines sous-préfectures, les gens se battaient au sens propre pour remplir leur réservoir. 

La seconde, nous l’avons donnée hier : la stratégie bas carbone du gouvernement arrêtée en mars 2020 prévoit une baisse de la consommation d’énergie de 33% d’ici à 2025. Les pénuries, les hausses de prix, obligent à réduire la consommation. C’est la façon la plus simple d’atteindre les objectifs pondus par des crânes d’oeufs dans des conditions sur lesquelles nous reviendrons cette semaine. 

D’ici là, une évidence : Macron a laissé pourrir, et, pour des raisons stratégiques que nous avons expliquées hier, l’air de rien, il laissera pourrir tant qu’il le pourra, en faisant semblant d’agir, et en félicitant en coulisses Patrick Pouyanné de ses excellentes initiatives. 

Étiquettes : bas carboneMacronpénurie de carburantTotal
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Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.

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Commentaires 24

  1. ptitpère says:
    il y a 4 mois

    Une baisse des émissions de CO2 d’un tiers d’ici 24 mois (2025) signifie une baisse drastique du PIB, or l’État français est déjà surendetté et ne réduit toujours pas ses frais de fonctionnement ni ne réforme non plus son système social (qui peut d’ailleurs difficilement l’être sans déclencher un véritable chaos vu la nouvelle composition ethnico-religieuse de ce pays….).
    Je ne vois pas comment tout ça pourrait tenir, à part par un endettement et des déficits encore plus massifs mais vu que plus personne ne veut de la dette française il faudra dans ce cas que la BCE la rachète, ce qui aura pour conséquence un effondrement de l’euro qui finira par ne plus rien valoir du tout.
    Si le gouvernement s’entête à maintenir les objectifs actuels c’est la faillite assurée et le chaos dans les rues dans un délai de 2 à 3 ans maximum mais malheureusement ça a l’air d’être le but recherché.

    Répondre
    • gastoche says:
      il y a 4 mois

      @ptitpère Eh oui on ne voit pas comment ça peut tenir et pourtant ça tient toujours et encore…

      Répondre
      • CASSIAU says:
        il y a 4 mois

        La peur de tout paralyse .

        Répondre
    • Morin says:
      il y a 4 mois

      Il existe une solution : une crise où l’on revient non pas au franc mais au peso français pour imiter l’Argentine.

      Répondre
  2. breizh says:
    il y a 4 mois

    https://leblogdenathaliemp.com/2022/10/11/raffineries-ou-lon-decouvre-une-cgt-syndicat-des-riches/

    Répondre
    • Huger says:
      il y a 4 mois

      Les actions de la CGT ont deux conséquences: 1) canaliser les mécontentements sur les conséquences des problèmes, jamais sur les causes. 2) Mettre suffisamment de b… pour que la bourgeoisie prenne peur et se recroqueville près du gouvernement, oubliant du coup ses propres récriminations.
      La CGT n’est pas l’alliée des salariés, mais de l’oligarchie. Sans oublier jamais ses propres intérêts bien sûr.

      Répondre
  3. bill cylko says:
    il y a 4 mois

    Les uns et les autres, le capitalisme et le socialisme, le faschisme et le communisme, la droite et la gauche, le mondialisme et le nationalisme, le prosélytisme et l’athéisme, le patriarcat et le féminisme, le racisme et l’anti-racisme, l’industriel et l’écologisme, la croissance et la décroissance, la déflation et l’inflation etc… sont la main droite et la main gauche qui oriente le bétail vers je ne sais quoi.

    Répondre
  4. fboizard says:
    il y a 4 mois

    Je n’oppose pas les grévistes de Total aux pauvres qui ne peuvent pas rouler.

    Cette opposition est artificielle et joue dans la main de nos maitres davosiens qui sont nos vrais ennemis et, eux, se gavent vraiment à coups de millions et de milliards.

    Répondre
  5. Pata Pop says:
    il y a 4 mois

    On doit cependant noter qu’objectivement FO, la CGT et Macron sont en phase avec la « sobriété obligée ».
    Coïncidence quand tu nous tiens…

    Répondre
  6. Candide says:
    il y a 4 mois

    La Covid était une première « fenêtre d’opportunité » selon Schwab. Maintenant, il lui faut une « vitrine d’opportunité » que le prétexte de l’Ukraine permet à l’Occident d ouvrir…
    Le but est manifestement d’appauvrir les Français. Baisser la consommation d’énergie de 33% va générer une baisse de pouvoir d’achat de 25% si les prix de l’énergie doublent (on consomme 33% de moins, mais on paie 33% de plus). Et ce n’est qu’un début

    Répondre
  7. MONIKA KARBOWSKA says:
    il y a 4 mois

    Objectif, on renationalise Total, en vrai pas avec la caste oligarchique. Sous contrôle citoyen. Après tout la Compagnie Générale des Pétroles a été fondée par l’Etat pour sécuriser l’approvisionnement en carburant de la France. En 1918… Elle ne remplit pas son rôle ainsi.

    Répondre
    • breizh says:
      il y a 4 mois

      « on renationalise Total » : avec quel moyen ? Total gagne de l’argent dans le reste du monde, mais en perd en France : l’entreprise sera trop contente de quitter ce pays !

      Répondre
      • David says:
        il y a 4 mois

        Exactement ça ferait exploser Total en plusieurs groupes et on ne nationaliserait que la partie française à perte pendant que les parties qui gagnent de l’argent partiraient à l’étranger.

        Répondre
  8. Jean says:
    il y a 4 mois

    Ne pas oublier la complicité et la connivence de nos leaders syndicaux qui, à chaque rentrée de septembre, vont chercher à l’Élysée leur feuille de route et leur chèque. La manipulation se fait par le bas. Il est évident que la lâcheté de nos élites à reconnaître leurs incompétences, n’en demandent pas tant que de pouvoir faire porter le chapeau à ces sales pauvres de syndicalistes. La récupération et l’instrumentalisation de ce(s) conflit(s) ne sont pas anodines. Depuis 1983, date de sa création, La NED (National Endowment For Democraty), a mis en place le plus vaste réseau de corruption du monde, en achetant syndicats ouvriers et patronaux, partis politique de droite comme de gauche, dans l’unique but de servir les intérêts US.Et ce pas sans compter aujourd’hui, à l’appartenance de nos chers syndicats, à la Confédération Européenne des Syndicats.

    Répondre
  9. François SERVENIÈRE says:
    il y a 4 mois

    Dans le registre Propagandastaffel du 55 et de ses médias alignés, le plus drôle et le plus paradoxal de l’histoire est que les nouveaux gauchistes russophobes américanophiles sont les mêmes anciens gauchistes alors russophiles et américanophobes à l’époque de la chute de l’URSS.

    Répondre
  10. Aristarkke says:
    il y a 4 mois

    Macron encaissera 30% des dividendes versés par Total. Plus rentable qu’une taxation marginale mais moins bruyante médiatiquement

    Répondre
  11. gastoche says:
    il y a 4 mois

    Bien envoyé! Monsieur Verhaeghe envoie 🪓🪓🪓 une nouvelle volée de bois vert (pas de chauffe) aux socialo profiteurs dans le fromage.🧀 Voilà qui n’arrangera pas son dossier 🗄️📂 à l’Élysée.

    Répondre
  12. CHEVALLIER Jacques Eric says:
    il y a 4 mois

    Dans le courrier des strateges, Nicholas Bonnal décrivait le parti socialisme comme le parti des affairistes et des magouilleurs, comme le parti de la conspiration et de l’occultisme, comme le parti de l’américanisation à mort … Rappelons nous que Jacques ATTALI depuis les années 90, nous prévenait régulièrement, à plusieurs reprises, des pénuries à venir de toute sorte… Comme je ne crois pas du tout à la génération spontannée, ces esprits tordus formenteraient ils une grève qui permettrait, pour eux, le rassemblement du troupeau afin de mieux le diriger ? conforme aux objectifs des mondialistes (Shwab), de l’oligarchie financière américaine

    Répondre
  13. Theo31 says:
    il y a 4 mois

    Le but est d’appauvrir la population de 30 % afin de lui appliquer la monnaie numérique et le crédit social qui fera pale figure à côté de celui des Chinois. Les opposants seront systématiquement éliminés. Les crime ls au pouvoir ne feront pas les erreurs que les Soviétiques avaient fautes avec leurs dissidents.

    Répondre
  14. Jean-Paul LEDOUX says:
    il y a 4 mois

    Il me semble que vous avez oublié un paramètre essentiel dans votre analyse : l’immense incompétence de ce gouvernement dont les ministres passent leur temps à twitter à propos des turpitudes sexuelles des élus de la Nupes par exemple.

    Répondre
    • Huger says:
      il y a 4 mois

      Incompétence à gérer correctement le pays. Pour le reste, la feuille de route (antinationale) est bien suivie.

      Répondre
  15. Jean-Louis D. says:
    il y a 4 mois

    En lisant ce « brillant » article de Eric Verhaeghe, je me demandais si je n’avais pas en face un tract de la CGT. De la part de quelqu’un qui se prétend libertarien, c’est un peu minable. Un syndicat calamiteux qui a contribué à mettre à plat l’économie française depuis des décennies et faisant sa propagande d’extrême gauche. Et en plus, on essaie de nous faire pleurer sur ces pauvres salariés de l’industrie pétrolière qui sont loin d’être à plaindre. On va nous faire croire que les années précédentes avant la Covid, ils étaient certainement sous-payés. Quand on a jamais mis les pieds dans une raffinerie, on peut difficilement comprendre. De nos jours elles sont toutes automatisées sous la surveillance d’opérateurs. C’est sûr, c’est beau comme du Zola!!! Et pas un mot sur ces méthodes de voyous qui mènent une grève illégale et bloquent le pays. Macron et la CGT mènent le même combat contre la France.

    Répondre
  16. cocol256 says:
    il y a 4 mois

    On veut nous faire croire à de l’incompétence de la part de nos politiques ce n’est pas tout à fait la même chose. Il est plus rassurant pour les gens de s’imaginer nos politiques incompétents plutôt que de reconnaitre qu’il sagit d’un plan mûrement préparé. Celà met mal à l’aise la plupart des gens d’imaginer que nos élus puissent être aussi malfaisants. Celà les rassure quelque part de les penser incompétents car l’autre option les terrorrise : imaginer qu’une caste mondialisée a lâché une maladie sur le monde afin d’injecter un poison à effet lent aux gens. Puis comme ce plan n’a pas fonctionné comme ils l’espéraient ils ont déclenché le conflit avec la Russie qui va permettre des pénuries de tous ordres : alimentaires, énergétiques et casser les entreprises de nos pays(et leur permettre de racheter à bas prix les entreprises sinistrées) et donc ruiner la plupart des ménages.Voire déclencher un conflit avec la Russie qui pourrait faire des millions de morts. Pour enfin arriver en sauveurs du système et en imposant une monnaie dématérialisée, un pass écologique afin de limiter et surveiller les déplacements de tous les citoyens, une destruction complète de toutes les libertés individuelles. Celà s’appelle le Great Reset et c’est en train de nous arriver. Certains trouvent celà grotesque ou délirant mais si ils analysent les faits comme monsieur Verhaeghe l’a fait, les conclusions sont évidentes et ne sont nullement démentielles.

    Répondre
  17. Oscarlechasseur says:
    il y a 4 mois

    Ils étaient où la CGT et FO pour défendre les soignants suspendus ?

    Nul part….

    Désolé, je ne vais pas les plaindre ces syndicalistes de merde !

    La direction de Total collabore peut-être avec l’état, mais la CGT encore plus.

    Et si les actionnaires de Total gagnent énormément d’argent, la CGT n’a qu’à conseiller à ses adhérents d’acheter des actions Total.

    Répondre

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