Dans le cadre de notre série consacrée à la sécession, et à la notion de libertarisme, il m'est apparu indispensable de préciser quelques notions sur "l'Etat social", expression commode qui regroupe toutes les questions de protection sociale relevant des politiques publiques. Les lecteurs du Courrier des Stratèges le savent, nous ne manquons pas une occasion de préconiser le démantèlement de la sécurité sociale en tant que monopole public, car nous considérons qu'il s'agit du principal instrument de domination entre les mains de la caste aujourd'hui, pour vous faire accepter le projet totalitaire de Great Reset. Cela signifie-t-il que nous sommes opposés à tout projet de protection sociale ? Au contraire, nous sommes convaincus qu'une protection sociale libertarienne serait bien plus efficace, bien plus protectrice que le système actuel.
La question de la sécurité sociale comme mythe contemporain (du mythe de la sécurité sociale inventée par le Conseil National de la Résistance jusqu’au mythe de la sécurité sociale comme seule forme possible de protection sociale) est, selon moi, au coeur des blocages français contemporains.
La sécurité sociale envahit tout dans notre pays et confisque bon an mal an un tiers de la richesse nationale pour une redistribution dont les inconvénients sont bien connus : retraites très inégalitaires, accès à des soins de plus en plus dégradés… ne sont que des parties émergées d’un iceberg dont les inconvénients sont de plus en plus perceptibles. La capacité de la sécurité sociale en se transformer, en quelques mouvements, en un outil d’oppression sociale et de contact tracking n’en est pas le moindre.
Je ne reviendrai pas ici sur ce que l’on pourrait appeler le Livre Noir de la sécurité sociale, sur la préférence qu’elle accorde à la maladie plutôt qu’à la bonne santé, à la retraite ou à la paresse plutôt qu’au travail. Tout cela est une explication du mal français contemporain, mais mérite de bien plus amples développements.
Je voudrais me concentrer sur ce que nous proposons à la place : une protection sociale fondée sur le libre choix, et d’abord sur le libre choix de vie. Une protection sociale qui ne se limite pas à indemniser, mais qui cherche à maintenir ses cotisants le plus longtemps vivant et en bonne santé.
Ce modèle-là a existé, de façon éphémère, entre 1932 et 1940. Il est donc possible.
ce que vous proposez est tout simplement hallucinant et ne s’adresse qu’a ceux qui ont les moyens de payer. Notre systeme capitalistes a produit d’un coté une poignée de nantis qui possedent l’economie, la finance, les médias et font élire les hommes politiques qui les servent. D’un autre coté nous avons sept millions de chomeurs et douze millions de personnes qui sont sous le seuil de pauvreté. Vos propositions ne feront qu’accroitre les differences, car elles ne s’adreessent qu’aux plus riches. Dans le systeme capitaliste, liberal, libertarien … appelez le comme vous voulez, la prosperité d’une minorité se fait sur l’exploitation d’une majorité. Il ne peut y avoir de liberté quand au depart le jeu est faussé par une difference de fortune ou de naissance. L’etat que vou appelez “providence” est la pour gommer les inégalité, mais malheureusement comme l’etat est au service des plus riches cela ne fait que les exacerber.
N’importe quoi. Faudrait nettoyer les crottes qui obtruent les écoutilles.
Les exploiteurs sont ceux qui vivent de l’impôt, pas ceux qui en crèvent. Être assuré pour la maladie et la retraite n’a rien à voir avec le fait d’être bien né ou non.
Je ne puis que vous inviter à visiter une caisse de sécurité sociale. Vous serez surpris de l’existence de tous ces services qui n’ont aucun rapport avec les assurances. Du reste, la SS n’est pas une assurance, sauf d’être malade.
“la pour gommer les inégalité”
Je l’encadre tellement elle est stupide.
ceux qui vivent de l’impot et des cadeaux fiscaux et autres subventions en tout genre ce sont les grandes entreprise privées. La securité sociale devrait gerer l’ensemble du systeme de santé et toute les assurances privées et les cliniques privées ne devraient pas etre permise, tout systeme privé se devellope sur le collectif et ensuite se presente comme un entrepreneur audacieux qui prend des risques. Dés 1945 le patronat a commencé a detruire la secu, les plus riches sont des psychopathes et ils faudrait les interner et les soigner, ils possedent un gene de la cupidité et de l’individualisme anormalement devellopé … les frais de leur traitement pourraient eventuellement etre remboursés par la securité sociale aprés un mise a l’epreuve. Je suis certain que certain d’entre eux peuve etre soignée, les plus atteint doivent etre enfermé a vie pour leur propre securité et celle de leur concitoyens.
La Sécurité sociale est un entreprise privée avec délégation de service public.
Boob, le capitalisme n’est pas un système mais la forme naturelle du progrès économique. Personne n’a inventé le capitalisme, pas plus que l’hydrogène ou la gravité. Le mot lui-même n’a pas vraiment de sens en ce qu’il est le fruit de la logique perverse du marxisme. Mais bon, admettons…
Notre système est d’abord collectiviste, accessoirement capitaliste. Le collectivisme tend à concentrer les pouvoirs politiques, économiques, culturels et sociaux entre quelques mains. La poignée de nantis que vous dénoncez à raison est le résultat inévitable de décennies de socialisme collectiviste, de même que les millions de chômeurs et de pauvres. L’Etat est au service des plus riches justement parce qu’il est collectiviste.
Les inégalités sont belles et bonnes. Certains sont doués pour jouer du piano, d’autres sont doués pour porter le piano. Chacun est différent, l’inégalité est la norme humaine et c’est heureux ainsi parce que la diversité est une richesse. Vous ne pourrez pas modifier la nature humaine dans ce qu’elle a de plus essentielle sans commettre d’innombrables crimes. Lutter contre les inégalités est criminel. Oubliez !
Le capitalisme est le contraire de la nature. La nature est gratuite et décentralisée. Le capitalisme est payant et centralisé. Le capitalisme est donc à l’origine et au coeur du Great Reset transhumaniste. Quant à l’État, il n’a pas d’essence intrinsèque, il n’est que ce que l’on en fera. Il peut donc être instrumentalisé par le capitalisme, mais il peut aussi servir de bouclier populaire contre les abus du capital s’il est entre les mains de populistes.
Le capitalisme n’est pas l’argent et encore moins un système économique. C’est un régime juridique de droits de propriété. Il est donc une extension de la nature humaine.
Le suffixe en -isme désigne ce qui dirige, ce qui donne le cap, la direction. Par exemple, le royalisme, c’est quand le roi dirige. Le libéralisme, c’est quand la liberté dirige (du moins, en théorie). Le capitalisme, c’est quand le capital dirige. De fait, le capitalisme financier comme industriel n’a aucun compte à rendre aux États-nations et se contente de les instrumentaliser tant que c’est possible et que les dirigeants politiques ne disent pas “Non”. On voit aussi au passage que le libéralisme et le capitalisme s’opposent sur le fond. Mais comme le libéralisme n’existe que théoriquement, puisqu’en pratique nous passons notre vie à subir des conditionnements 24h/24, même en dormant, on peut dire que le libéralisme n’est qu’un masque pris par le capitalisme pour amadouer les masses. Un hameçon d’ingénierie sociale pour fabriquer le consentement à un système pire que le plus totalitaire des États. Bienvenue dans le Great Reset, c’est-à-dire le génocide de l’espèce humaine par le transhumanisme, seule solution de fuite en avant trouvée par le capitalisme pour surmonter ses contradictions.
Malheureusement, la nature accueillante et bienveillante n’est qu’une fable n’ayant rien à envier à celle du bon sauvage. La nature peut parfois devenir accueillante pour l’homme à condition d’être dominée par ce dernier. Rien n’est gratuit sur notre planète : il faut toujours travailler pour survivre. Qui ne travaille pas meurt. C’est aussi simple que ça. C’est biblique.
Quant au caractère prétendument décentralisé de la nature, les superficies nécessaires pour faire vivre nos ancêtres organisés en bandes primitives de chasseurs cueilleurs démontrent que les quelques ressources n’était évidemment pas décentralisées, encore moins harmonieusement réparties, mais étaient non seulement parcellaires et concentrées, mais encore qu’elles s’épuisaient rapidement, obligeant les pauvres tribus à migrer sans cesse sur des territoires immenses.
Le capitalisme n’est pas un système, au sens où il aurait été inventé. La découverte (et non l’invention) du capital est liée à la sédentarisation, à commencer par le capital en grains, en animaux domestiqués et en terres travaillées et fertilisées permettant l’accroissement de la population, c’est-à-dire le progrès économique dont nous profitons tous aujourd’hui, y compris les fils de bourgeois trop grassement nourris qui crachent dans la soupe par bêtise, désœuvrement et perversité.
L’accumulation de ces capitaux primitifs est consubstantielle à la nature humaine et n’est en rien un système artificiel. Prétendre que la capitalisme serait un système est à peu près aussi idiot que considérer la maîtrise du feu comme un système, système auquel on pourrait opposer son contraire imaginaire, une sorte de marxisme non pas anti-capitaliste mais un marxisme anti-feu. Ou pourquoi pas un marxisme anti-spéciste tant qu’on y est !
Le Great Reset ne vient pas originellement des États-nations mais du grand patronat, donc du grand capital, organisé en lobby politique au Forum économique mondial. Et plus profondément encore, le Great Reset transhumaniste est quasiment une fatalité du développement techno-scientifique, lequel obéit à une logique décentralisée, modélisable par la théorie des jeux et les mécanismes de rivalité mimétique concurrentielle/conflictuelle, et de course aux armements. À cette échelle d’observation, on voit deux choses : le complexe militaro-industriel des États joue un rôle actif dans le Great Reset, à part égale avec le grand capital ; l’État social n’est qu’un faux problème.
Merci M.Cerise !
La guerre de tous contre tous bat son plein, le ver de la division continue son chemin.
Les aveugles nous précipitent vers la fin d’un système social que le monde entier nous enviait.
Mme Valérie Bugaut a pourtant bien explicité à quel point le C.N.R nous protégeait de l’arbitraire.
Malheureusement, dans ce pays, les aigris, les revanchards distillent l’ingratitude à jets continus.
Ce sont les très riches exploitant la bêtise et l’ignorance qui nous coûtent “un pognon de dingue”!
La droite rancie vient de proposer l’impôt pour tous alors que le grand capital y échappe ouvertement.
C’est par là qu’il faut commencer le Great Reset !
Bonjour Eric.
Je pense que le système du tiers payant généralisé est un mauvais système. Le fait de ne rien payer donne l’impression que tout est gratuit, et fait que la personne qui quitte la pharmacie ( par exemple) ignore le coût de ce que contient son cabas.
Quel est votre avis sur cet aspect de la sécurité sociale ?
La messe est dite sur ce site qui prône ouvertement l’exact opposé de ce que nous avons connu, sous prétexte qu’il y a des couacs…(d’ailleurs organisés par ceux qui mise tout sur le “libéralisme” lequel donne les piètres résultats que l’on constate depuis un bon bout de temps !)
Aucun système humain n’est parfait par définition, mais certains plus perfectibles que d’autres.
Si le “progrès” proposé par M.Veraeghe consiste à estimer que seuls ceux qui “réussissent” matériellement devraient avoir voix au chapitre, alors sa notion de Liberté est bien étriquée…
« le “libéralisme” lequel donne les piètres résultats que l’on constate depuis un bon bout de temps ! »
Non, parce que ce que vous constatez est en fait le résultat d’un socialaud-communisme plus ou moins larvé qui décide arbitrairement de ce qui est bon pour vous, que vous soyez particulier, TPE ou multinationale), or il ne le fait _que_ dans l’optique tunnellisée du capitalisme de connivence – en un mot, c’est un dévoiement du capitalisme, puisqu’il s’agit de ne favoriser que ceux qui crachent au bassinet tout en réprimant les autres (raison de tas de réglementations débiles, surtout ici, en fronce). On voit d’ailleurs les méfaits de l’administration à la mode étatique de la SS dans toutes ses branches, où les frais de fonctionnement sont hors de prix comparé au privé, or plus de pognon dans la caisse (sans mauvais jeu de mots) veut aussi dire de meilleures conditions pour les cochons de payeurs.
Le libéralisme est tout à fait autre chose, à commencer par son pilier porteur : l’égalité de _tous_ devant _la même loi_ , ce qui n’est d’évidence pas le cas dans ce pays, puisqu’à la base nous-avons deux droits différents, un pour les ponktionnaires (droit administratif) et un pour les gueux (droit civil) – vous en avez d’ailleurs une illustration éclatante avec les inculpations de certains politocards, qui passeront évidemment à l’as, puisqu’ils seront “jugés” par… leurs pairs et non par un tribunal populaire (credo de politocards fronçais quelque soit leur bord poliotique : s’extraire des juridictions normales pour pouvoir continuer leurs méfaits tout en restant impunis – pour rappel, Cahuzac a “effectué sa peine” avec un bracelet électronique au pied dans sa maison Corse, à comparer avec les années de prison que certains politocards ont récoltées aux USA ou tout simplement celles que vous auriez prises si, en tant que particulier ou chef d’entreprise, vous-aviez commis les mêmes délits).
De la même façon, un impôt fonctionnel est un impôt simple à comprendre, qui a la plus grande assiette possible, un taux bas et qui est juste – le faire croître aux limites du raisonnable pour ceux qui gagnent bien leur vie nous a valu les plus grosses “fuites” de gros contribuables de l’OCDE, or les gens qui détiennent du capital sont _aussi_ ceux qui l’investissent, et qui l’investissent en général là où il va rapporter, pas là où il est tellement taxé que ça en devient une mission pieuse, voire à perte.
Maintenant, répondez à cette simple question : comment faites-vous pour créer des emplois, sachant que ce sont les entreprises et certainement pas l’état qui sont à même de le faire, si vos détenteurs de capitaux vous fuient comme la peste à toutes jambes ?
(Et ça empire chaque jour, car depuis une petite quinzaine d’années, ce sont les _futurs_ créateurs d’entreprise(s) qui se barrent là où les cieux fiscaux sont plus cléments, c’est à dire partout ailleurs – et ceux-là ne reviendront pas, car ils feront leur vie familiale et sociale là où se trouve leur travail).
“On voit d’ailleurs les méfaits de l’administration à la mode étatique de la SS dans toutes ses branches, où les frais de fonctionnement sont hors de prix comparé au privé,”
D’où sortez-vous cette assertion ?
Petit exemple en passant…Le scandale ORPEA dont le groupe EHPAD(organisme privé au coût faramineux pour ses pensionnaires) a engrangé 55 millions d’aides PUBLIQUES
(dont 25,7 millions de remises de fin d’années octroyées par ses fournisseurs pour des achats financés par la Sécurité sociale. Mais également montant de deux impôts et à des frais d’assurance que le groupe avait intégrés dans ses calculs pour demander des subventions publiques.)
30,1 millions d’euros, correspondant à la rémunération de certains salariés du groupe qui “faisaient fonction” d’aides-soignants sans en avoir la qualification.
La CNSA considère que ces salaires ne peuvent pas être pris en charge par les pouvoirs publics puisque les personnes concernées ne sont pas des aides-soignants.
Or ORPEA c’est un capital de près de 65 millions d’actions qui , sur les seuls exercices 2015-2020 a versé 331 millions de dividendes à ses actionnaires!
Qui est la vache à lait dans cet exemple ?
Mauvais exemple aussi les créateurs d’entreprises qui se barrent sous d’autres cieux fiscaux, mais qui rentrent se faire soigner en France, car ciel fiscal rime aussi avec assurance maladie et soins hors de prix, idem pour la retraite par capitalisation qui est loin de remporter tous les suffrages !
Les détenteurs de capitaux tel Black Roc ne sont là que pour saigner ce qui reste d’état.
Quant aux médecins gavés par la Sécu, qu’ils se “libéralisent” totalement et saignent leurs patients riches au lieu de profiter de la solidarité nationale !
Cet exemple (orpea), comme beaucoup d’autres, est de la faute _unique_ des ponktionnaires.
De tout temps, le capitalisme a toujours attiré les swindlers, or c’est justement là que l’état **doit** jouer son rôle _régalien_, c’est à dire sévir envers ces gens sans complaisance aucune – dans le cas que vous citez, c’est justement *toute* cette chaîne ponktionnariale qui, non-pas s’est plantée, mais a suivi comme un seul homme certains hauts ponktionnaires con-vaincus que le kapitalisss de konnnivence est le nexus, le tout stoppant tout contrôle bien évidemment. Et dans la plupart des cas du genre des dernières 40 années, c’est l’appareil administratif qui est fautif par laxisme extrême et bien pire. C’est donc un très mauvais exemple (au même titre que l’attribution des marchés de travaux pour l’eau parisienne, pas exemple, où les irresponsables ponktionnariaux se payent des restos à +€1550/tête et se permettent de fausser les marchés en distribuant les pots de vins et en faisant pression sur les contracteurs étrangers à même de tailler des croupières au capitalisme de connivence, n’ayant rien à “reverser”, elles).
« Quant aux médecins gavés par la Sécu »
Ok, vous démontrez là votre totale ignorance de comment fonctionne le système de santé fronçais – la prochaine fois, prenez largement le temps d’apprendre de quoi vous parlez ou évitez de la ramener, ça vous évitera de démontrer par A+B ce que vous-êtes.
« mais qui rentrent se faire soigner en France »
Là encore, si le symptôme est différent, la cause est exactement la même… la même qui d’ailleurs refuse obstinément de récupérer la bagatelle de €50 MILLIARDS de DÉPENSES PAR AN (une paille !) que ni le contribuable ni la fronce n’ont à payer. Vous ne pouvez donc pas vous prévaloir d’une administration pourrie par la gauchiasserie, qui non-seulement se goberge en pétant dans la soie sur le compte de tous les fronçais, mais en plus et particulièrement complaisante envers tous les profiteurs de notre système qui est particulièrement avantageux comparé à ceux de ses voisins. Tout cet argent n’a rien à faire dans les poches des zétrangers et serait, au hasard, bien mieux employé dans l’Hôpital (à condition, bien sûr, de virer au préalable tous les parasites poktionnarieux de cette institution) – et contrairement à ce que vous pensez savoir, le nombre de fronçais rentrant uniquement pour les soins reste absolument marginal (quelques dizaines de millions) par rapport à la gabegie minutieusement organisée pré-citée.
« Les détenteurs de capitaux tel Black RocK ne sont là que pour saigner ce qui reste d’état. »
Certes, mais avec la complicité des plus hautes zautorités zétatiques, à commencer par Benito…
Et au passage, il semble qu’il faille vous rappeler une équation que tous ceux qui croient tout savoir de l’économie (marxiste dans leur cas, par opposition à l’économie réelle) devraient apprendre par cœur à titre d’hygiène mentale :
pas de capitaux = pas d’usines ni de grosses sociétés, ni même de sociétés tout court, d’ailleurs et donc, pas d’emplois,
car nonobstant vos croyances imbéciles, ça n’est pas l’état qui crée les emplois, mais les sociétés privées – état ayant d’ailleurs fait le choix du chômage il y a déjà bien longtemps de cela (du temps de miteux), quand les très gros cabinets de conseil lui susurraient à l’oreille qu’il fallait conserver entre 10% et 20% de chômeurs (en chiffres réels, pas trafiqués comme maintenant) parce que les gens trop heureux ont tendance à se détourner de la poliotique.
J’oubliais les coûts de fonctionnement – il suffit de lire les rapports étatiques, tout particulièrement ceux de la cour des comptes et du sénat, ils sont très détaillés…
C’est très intéressant, parce qu’effectivement les narratifs étatique et syndicacalistes débutent en 45 et ne font jamais référence à ce qui existait avant, sauf justement pour sous-entendre fortement qu’avant la SS, c’était le désert. Ça parait également assez logique de séparer des choses qui des fois n’ont presque pas de points communs en fonction de la branche qu’elles occupent, la spécialisation étant alors au bénéfice de l’assuré (tant qu’on ne retombe pas dans les travers de la sécu que tout le monde connaît plus ou moins).
Donc, oui, il serait avantageux que vous développiez plus et compariez également plus avec ce qui existe ailleurs, le tableau de la durée de vie en bonne santé étant déjà un sacré pavé dans
le marécagela mare de la SS (rien que cette abréviation était peut-être bien voulue dès le départ…)Un point noir cependant : il manque le lien promis vers l’article sur le rapport de la fédération européenne des syndicacats en 2022 (que ça soit ici ou sur YT).
Une question : comment goupiller le basculement de la SS vers un tel système ?
(Il _faut_ notamment que l’informatique soit intégralement uniformisée pour commencer, et si possible, d’une façon intelligente, afin d’avoir des passerelles totalement transparentes entre caisses – là, je prêche pour ma paroisse et ça n’est qu’un morceau de la chose, évidemment, mais un morceau absolument vital, puisque c’est la plaque tournante d’un tel système).
https://www.lindependant.fr/2022/03/17/plus-de-24-milliards-deuros-en-4-ans-ce-pognon-de-dingue-depense-par-le-gouvernement-dans-des-cabinets-de-conseil-prives-denonce-par-le-senat-10176728.php
Recours massif aux cabinets de Conseil par l’état : Privatisation de l’état !