Joliment ciré par la brosse experte de France Info, un nouvel accord Renault-Nissan donne une forme bien policée à la vente des bijoux de la famille France.
Dans l’Europe du sabotage industriel « vert et inclusif » (sous prétexte tantôt grippal, tantôt ukrainien), il ne reste bien sûr rien d’autre à faire que de laisser passer les dernières perles d’excellence sous contrôle asiatique. Après tout, c’est bien à cela que sert le Great Reset.
Mais, ce qui, comme d’habitude, mérite encore plus notre attention, c’est l’habillage de cette triste nouvelle par les services de France Info – apparemment revenus de leur petit moment de défaitisme récent (peut-être grâce à quelques licenciements ciblés ?). La revente par Renault de 28% de ses actions dans Nissan, c’est-à-dire de l’essentiel de son paquet, c’est la mise au clou japonais de la montre en or de pépé – mais France Info, dans des termes que Radio Paris n’aurait pas reniés, nous la présente comme une brillante retraite tactique de la victorieuse armée allemande devant Varsovie, ne concédant que quelques centaines de kilomètres à la barbarie russe.
Quand Nissan bouffe Renault, France Info chante l’égalité
« Ce nouvel accord – nous rassure Radio Paris – arrange les deux parties. Du côté de Nissan, le déséquilibre des participations avec Renault constituait une source d’irritation depuis des années. » Et en effet, à quoi bon irriter « nos partenaires » (comme on dit à propos des films X) ?
Et surtout : de quel droit ? Juste parce que nous avons inventé ladite industrie deux ou trois siècles avant que cette île au régime féodal ne la copie ? C’est là un argument qui, d’un point de vue asiatique, aurait pu être pris en compte. Mais pour qu’il le fût, il aurait fallu, ici, s’abstenir de tomber sous la coupe des Kissinger, des Schwab et autres troubadours du « multilatéralisme », du « monde multipolaire » – et autres noms de code de la relégation de l’Europe, poignardée dans le dos par ses élites antifascistes (et néanmoins pas si attachées que ça à la liberté…).
Excellent papier qui a le grand mérite de démonter la supercherie et la nouvelle capitulation en rase campagne de notre capitalisme étatique.
A envoyer à Carlos Ghosn qui voit ici une preuve de plus qu’il avait la bonne stratégie.
Carlos Ghosn est probablement un sale con au niveau humain (si j’en crois ce que j’entends), ça ne veut pas dire qu’il est idiot.
PETITE MISE AU POINT.
Renault n’est pas plus un bijou de famille pour la « France » que le contenu des coffres de la Générale à Nice ne l’étaient pour Spaggiari.
L’entreprise Renault a été volée à son créateur par les voyous de l’Etat français et en particulier un dénommé de Gaule, sous prétexte de « Collaboration ».
Bien que « l’innocence » de Louis Renault est été prouvée ensuite, l’entreprise n’a jamais été restituée ensuite à sa famille. Et ce d’autant plus facilement, que Louis Renault, un battant, était fort opportunément décédé dans la prison de la Santé où il avait été envoyé manu militari.
Cette entreprise, innovatrice avec Louis Renault, n’a plus jamais été ensuite qu’un bon fromage pour ce que l’économiste Pascal Salin qualifie de directeurs apparatchiks. L’exception notable ayant été Carlos Ghosn, que François Michelin avait lui-même laissé partir à regret.
Sans la perfusion régulière avec l’argent volé au « contribuable » français, cette « entreprise » aurait disparu depuis longtemps.
Enfin quelques un dit la vérité rajouter
Que Renault société est enregistrée
Au pays bas et la boucle es bouclées il y avait un dessin d un illustrateur économique du wallstreet journal a l époque qui montrait Louis schweizer
Jetez une valise avec 4 milliards en pleine mer il avait raison les américains
A l époque il aurait fallu acheter Volvo
Carlos Ghosn au moment de son arrestation préméditée, pour des accusations qui sentent bon le complot, avait amené l’alliance Renault Nissan Mitsubishi au 1er rang mondial. Les suivants ? regardez les cours de l’action, c’est risible avec une perte de capitalisation de 65%. Mais Nissan ne s’en pas mieux sorti, qui souffle le vent récolte la tempête.