Après plusieurs mois de dialogue et de persuasion, le Japon et les Pays-Bas ont finalement accepté la demande américaine de resserrer les contrôles sur l’exportation d’équipements et de technologies pour la production de puces vers la Chine.
Cet article initialement publié sur Topwar n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Bien qu’aucune des deux parties n’ait révélé les détails de l’accord, Tokyo et La Haye auraient uni leurs forces pour resserrer davantage les restrictions imposées par Washington qui visent à saper l’essor technologique de la Chine sur la scène mondiale. La Chine est préoccupée par ces mesures, qui sont contraires aux principes mêmes du libre-échange que l’Occident a si activement promus dans le monde.
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Une décision clé, mais reculer la production chinoise n’est pas résoudre le problème de son accès aux systèmes lithographiques dans l’ultra violet extrême…ce d’autant plus que ses services d’espionnage sont très capables d’obtenir les informations par eux-mêmes…