Les États-Unis entraînent leurs alliés de l’OTAN dans une compétition à grande échelle avec la Chine. Washington a déjà obtenu la reconnaissance de la RPC comme un défi aux intérêts, à la sécurité et aux valeurs de l’alliance nord-atlantique, et a également intensifié les contacts entre les hauts dirigeants du bloc militaire avec le Japon et la Corée du Sud. Dans la lutte pour la domination mondiale, l’OTAN essaiera de prendre le contrôle non seulement de l’Europe, mais aussi de l’Asie.
Cet article est initialement paru sur le site ia-centr.ru. Il n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier des Stratèges.
L’OTAN a identifié la principale menace pour sa sécurité : la Chine
L’idée d’accroître l’implication des alliés américains dans les affaires de la région Asie-Pacifique (APR) a commencé de monter dans les airs après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Toutefois, Washington a cherché à éviter le « surmenage » en se concentrant principalement sur la confrontation avec l’URSS. Les États-Unis n’ont pu devenir plus actifs dans la région Asie-Pacifique que dans la seconde moitié des années 1980 et début des années 1990.
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Subversion par le haut : diplomatie, pressions diverses…, subversion par le bas : convaincre les populations que la Chine est un ennemi. Le tout au service de la criminelle hégémonie américaine, instrumentée par la caste mondialiste et dont, même le peuple américain fait les frais.
Ceux qui voyaient plus loin que le « bout du doigt » se doutaient bien que l’élément de langage « Poutine est un tyran », lancé depuis 20 ans, allait déboucher sur une guerre…
Rebelote avec la Chine.
Quand donc les Français vont-ils prendre conscience que le réel n’est pas la réalité virtuelle imposée par leurs médias subventionnés?