La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de rendre ses premières préconisations en matière de vaccination obligatoire des soignants. Ces préconisations étaient très attendues. Nous en republions l’essentiel. Surtout, nous avons interviewé Maître Maud Marian sur ce sujet, pour bien comprendre l’actualité de la résistance… dans tous les domaines… et tenter de mesurer l’impact réel des mesures préconisées par la HAS.
Pour bien comprendre le sens d’une actualité qui s’est bousculée, entre mise en garde à vue d’une opposante de Macron, préconisations de la HAS et proposition de loi sur la réintégration des soignants suspendus, Maud Marian nous fait un point général. Elle a la bonne idée de nous donner une perspective panoramique sur ces sujets, en insistant sur le caractère très déceptif de la proposition de loi déposée pour réintégrer les soignants suspendus.
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Le tableau en question exposé au Palais de Tokyo ne pourrait-il pas être attaqué pour incitation aux personnes adultes à considérer que l’acte de fellation par un enfant serait un acte normal et admis ?
Pour moi, c’est le pied dans la porte. Une porte est ouverte ou fermée. Ils font semblant de l’ouvrir à moitié en se justifiant par un accompagnement. Demain, fort de ce premier tableau juridiquement accepté, ils en proposeront d’autres. Relisez Ariane Bilheran dans son livre « l »imposture des droits sexuels ». On est en route vers une nouvelle ignominie.
Que tous ceux qui ne pourront jamais être réintégrer et retrouver leurs indemnités salariales, s’en aillent vers d’autres cieux. Ce qu’une loi scélérate a institué, une loi vengeresse indemnisera cette anomalie de l’égalitarisme forcené socialo-macronien. Et punir les entités médicales qui ont trempé dans la mascarade du covid19.