Après l’automobile, le logement : les commandes reçues par les promoteurs sont en berne, nous faisant découvrir un nouvel aspect de la « 4e Révolution Industrielle » : vous n’aurez plus besoin de logement, étant donné que vous n’existerez plus.

Le coup de la bagnole, encore, restait susceptible d’une gestion homéopathique. La production a régressé au niveau de 1973 ? Oui, mais c’est compter sans l’arrivée de la voiture électrique (dysfonctionnelle, et que presque personne ne peut se permettre), et des « nouvelles formes de mobilité ». Autre façon de dire qu’on peut très bien vivre à vélo dans sa « ville des 15 minutes » (comprendre : camp de concentration gentrifié).
En revanche, même les camps de concentration (les vrais) ont des baraquements. Et, comme, hiver après hiver, la météo continue à ne pas tenir les promesses du réchauffement climatique, ce besoin n’est pas près de disparaître : dormir dehors en janvier, ça fait partie des astuces de la vie courte. A en croire la propagande oligarchique (après tabouisation du mot « myocardite »), le froid n’a jamais autant tué que l’hiver dernier ! Rappelons aussi que les logements les mieux isolés se trouvent toujours parmi ceux qui ont effectivement été construits.
Décroissance/dépopulation : « l’Ukraine » rivalise avec « le Covid »
Le chiffre des réservations de logements neufs est tombé sous sa valeur des trimestres du confinement, montrant une fois de plus que, dans la famille des arnaques davosiennes, « l’Ukraine » fonctionne encore mieux que « le Covid ». A vrai dire, les deux fonctionnent probablement de façon cumulative, étant donné que la disparition « fortuite » de la natalité n’a pas dû vraiment booster les commandes non plus…
Tirons sans plus attendre les leçons de ces chiffres catastrophiques :
- La « transition démographique » (euphémisme officiel pour « grand remplacement ») dont parle le mari de Brigitte, appelée à se substituer à une démographie autochtone en chute libre, conduit tout au plus à bien remplir de clandestins les taudis des marchands de sommeil (nantis ou non de mandats parlementaires NUPES).
- Dans l’esprit des davosiens, le « logement vert », à terme, c’est avant tout le logement non-construit, car non-nécessaire à l’hébergement d’une population que l’agenda décroissant (au demeurant réservé à la partie blanche de l’humanité) ne vise pas tant à transformer qu’à réduire.
Ça, plus la “nécessité de manger moins de viande” [naturelle, sentend au profit de la viande végétale produite industriellement recommandée par notre Bruno Lumière Eternelle], vraiment, ça devient difficile de même simplement douter d’un complot mondial de malveillants décidés à nous exterminer!
Moins de viande et plus d’insectes. Mais il y en a plein qui n’ont toujours rien vu.
Et pourtant le bétonnage est avec l’immigration et l’administration une mamelle du socialisme post industriel français. ☝️ Un signe de plus que le progressisme (de gôôôôôôôôôôche) a définitivement viré au nihilisme — dont l’organe principal est désormais le Journalisme, parti des casseroles & commentaires suraigus à plusieurs. 🔊🔊
I will survive. I will survive. Hé hé.