Pendant qu’Olivier Dussopt, au nom du mondialisme de gauche, assume son option remplaciste, la LR Christelle d’Intorni se gargarise de l’utopie du réchauffage des « solutions » natalistes illibérales qui ont d’ores et déjà fait faillite en Hongrie et Russie.
Le totalitarisme, c’est principalement l’utopie de ceux qui pensent que l’Etat peut se substituer à la société. Partant, la démographie est naturellement le domaine où l’impossibilité de ce rêve infantile s’avère la plus criante – étant donné que l’intimité des familles réagit systématiquement à l’étatisation comme toute matière vivante à un bain d’acide.
Face au problème évident du recul démographique occidental, et notamment de celui des populations autochtones/blanches, la Macronie étendue (NUPES-Renaissance-LR-RN) prouve sans le vouloir son unité foncière, mais en proposant, comme d’habitude, des solutions apparemment contradictoires, quoique également destinées à l’échec.
A gauche de la Macronie étendue, c’est l’ineffable Dussopt qui, après avoir, par l’exhibition indue de sa vie privée, assuré la promotion de l’homosexualisme, tire de sa vision de la société une conséquence finalement logique : la France « ne fonctionnerait pas sans l’immigration ». La question de savoir dans quelle mesure ce qui « fonctionne » avec l’immigration mérite de s’appeler « la France » ne préoccupe naturellement pas le mondialiste assumé qu’est Dussopt.
Dogme implicite de la Macronie étendue : tout, sauf la liberté
A droite de la Macronie étendue, c’est à une députée LR que revient l’honneur discutable de défendre (évidemment sans la moindre perspective de succès en l’absence de Frexit) la position tout aussi étatiste et utopique du mondialisme de droite : lâcher des aumônes fiscales aux familles (effectivement écrasées d’impôts), pour les convaincre de pondre de nouveaux contribuables.
Mise en œuvre depuis des années, voire des décennies, en Russie et Hongrie, cette « solution » s’est soldée par un échec flagrant – que les régimes concernés tentent de cacher grâce à des observations tronquées (sans tenir compte de l’inégalité historique des cohortes : méthodologie qui rappelle étrangement celle de la « mortalité covidienne »).
La conclusion inspirée par la leçon des faits, c’est que Sapiens sapiens – comme tant d’autres espèces de mammifères – n’aime pas se reproduire en captivité, c’est-à-dire fournir de nouveaux cobayes au fiscalisme, au crédit social, à la biopolitique de l’OMS et au capitalisme de surveillance – autant d’aspects du Great Reset qu’aucun des figurants de la Macronie étendue ne remet en cause.
Auront-ils d’ailleurs plus à se préoccuper de notre stérilité citoyenne, vu q la démographie excède de loin la mémoire de leurs mandats éphémères, q de s’être consacré en fauteurs de l’autre stérilité, via l’injonction vaccinale, devant d’hipothétiques tribunaux du peuple à venir?… Au programme de la casse, dune réparation l’autre.
Sans immigration la France arrêterait de fonctionner : c’est fort probable ; à chaque nouveau déplacement en Île de France j’observe qui travaille dans les cuisines des restos français (avant je voyais ces personnes avec un balai maintenant avec des casseroles demain probablement avec les mandats d’élus)
Ce serait logique ce sont les étrangers qui font de plus en plus de métiers qui sont utiles alors que les petits cons de blancs ne font soit rien soit des métiers tertiaires qui ressemblent plus à de la branlette intellectuelle
Un balai maintenant, une casserole demain et une kalach après demain.
Bel brève M.Schwartz! Il n’y a pas à dire plus l’état arrive à nous priver de libertés importante plus il est difficile de la récupérer….
Merci Modeste pour cette belle formule : effectivement, « Sapiens sapiens – comme tant d’autres espèces de mammifères – n’aime pas se reproduire en captivité ».
Hier ma fille (femme blanche, bac+5, dans la trentaine) me disait : je pense que je vais finalement renoncer à faire des enfants. Je ne me sens pas le courage de leur faire injecter les 11 vaccins dès leur toute petite enfance. J’aurais honte.
Bonjour. Je vis en Hongrie. La politique nataliste de l’état rencontre un franc succès. Il y a des bébés partout. D’où tenez-vous vos sources?
@pucciarelli Bam!! Coup de genou sauté, direct, pas de préliminaires? Svp n’insistez pas avec un coup de coude circulaire, ça pourrait finir au sol. Merci.
La politique nataliste est un succès en Russie…complètez vos sources.
Merci Modeste pour ce papier vérité sur un des sujets majeurs du déclin de l’oxydant progressisse de gÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔche. Sur ce sujet voici quelques titres /sous titres tirés de la table des matières de La fin d’un monde de Patricj Buisson chez Talbin Michel:
Le meurtre du père, Notre père qui êtes odieux, Pères manquants fils manqués, Délivrez nous du mâle, Fatigues du surbouc, Ni Dieu ni mec, La fabrique de l’homme mou.
Et cette allusion de l’auteur à Pierre Chaunu dans Décadanse:
« L’« instant du malheur » se situerait entre 1965 et 1969, dans les années de l’après-Concile marquées par la remise en cause des grands dogmes de la foi catholique, une accélération du processus de déchristianisation et un fort recul de la pratique. « La descente du religieux par l’ascenseur, observe Chaunu, a entraîné une descente de la vie d’abord par l’escalier puis la tête la première par la fenêtre. »
« Incontestablement, quelque chose s’est joué durant ces années-là autour de la représentation de la mort et de l’effacement du rôle de l’Église en tant que pourvoyeuse de sens qui affecte en profondeur les attitudes et la psychologie collective devant la vie. Si la mort est néant, alors l’enfant à naître est celui qui pousse la génération en place vers ce néant. « L’empêcher de naître, conclut Chaunu, c’est atteindre le point où tout s’arrête et où la vie s’immobilise dans l’instant. » Les « boomers » l’ont compris, eux qui ne veulent pas perdre une miette du festin du présent. Leur seul projet biographique est celui d’une autobiographie, d’une « autofiction », selon le néologisme qu’ils forgeront par la suite pour désigner ce nouveau genre du tout-à-l’ego littéraire. »
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Je ne crois pas du tout que faire un enfant équivalent à faire un contribuable ou un « cobaye au fiscaliste » ! C’est ridicule. L’enfant qui deviendra adulte pourra décider de vivre en liberté ! Tenez vous en plus aux faits.
Et vous Modeste, si vous vous sentez comme cela dans ce monde, pourquoi continuer à vivre?
Quant à ce que vous affirmez sur la politique nataliste en Hongrie et même en Russie, c’est tout à fait faux, il y a en effet de plus en plus de familles très nombreuses (4 enfants et plus) dans ces pays.
Oui c’est comme les écolos idéologues
Ils n’arrêtent pas de se plaindre des hommes qui polluent et détruisent tout ; et là il faut poser la question qui tue : avez-vous des enfants ?
Et là c’est souvent plus de son plus de lumière (ce qui veut dire qu’ils ont pondu des gosses ces cons ; je les plains vu la mentalité défaitiste de ces parents morts à l’intérieur)
Et dans de très rares cas ils répondent non : au moins certains sont cohérents. Ils devraient tous être comme ça ; ce serait logique de leur part et surtout leur espèce disparaîtrait naturellement de la surface de la planète s’ils arrêtaient de se reproduire
Je pense quant à moi q Modeste n’attend sincèrement qu’à être detrompé par les faits… C’est comme pour la question du christianisme, qu’il contemple dans la profondeur (de ses ouvrages), ça ne date pas des années 60 son dévoiement essentiel ! Les signes d’une vraie désolidarisation en Russie du swchabisme davosien sont faibles, c’est important de le repérer comme il fait, comme en effet il est crucial d’économiser à la petite enfance européenne la faillite physiologique drastique induite par la vaccination de masse. Si ces signes forts ne vous suffisent pas…