Le ministre de la Santé belge, Frank Vandenbroucke, a tout fait pour dissimuler le contenu des mails qu’il a envoyés durant la pandémie du Covid-19. L’affaire est mise en lumière par le combat, engagé par le journal flamand Het Laatste Nieuws (HLN), pour obtenir l’accès à ces échanges.
Le refus persistant de Vandenbroucke de divulguer ces mails soulève des interrogations sur un éventuel double conflit d’intérêts. Le journal soupçonne que le ministre bloque délibérément une loi qui permettrait de contourner les refus de divulgation. Cette situation rappelle le cas du New York Times qui a décidé de saisir en justice la Commission, pour obliger cette dernière à publier les SMS échangés entre la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer. Pendant la crise Covid, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le PDG du groupe pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla, auraient échangé des textos. Les discussions concernaient la négociation d’un contrat d’achat de 1,8 milliard de doses de vaccins Covid-19
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Tous vaccinés, tous protégés. Il disait alors que le vaccin était sûr et efficace. Venant d’un politique, on peut sans problème lui faire confiance.
C’est marrant quand on essaye de mettre des systèmes de sécurité contrôlant de plus en plus nos faits et gestes et qu’on s’en plaint on nous rétorque que si on a rien à cacher il n’y a pas de raison de s’inquiéter
Donc lorsqu’un ministre ou un élu ou un technocrate refuse de dévoiler des e-mails ou autres liés à son activité il devait être condamné systématiquement sinon je leur rétorque ceci : si vous n’avez rien à cacher ne vous inquiéter pas nous ne trouverons rien de bien méchant susceptible d’être condamnable dans vos documents
Cela rendrait de facto nos gentilles élites beaucoup plus transparentes mais également plus conscientes de ce qu’elles nous imposent sans cesse
Que c’est beau de rêver et j’y crois même quand je l’écris, pauvre de moi