Après le droit à la paresse revendiqué par sa cousine onomastique Sandrine, c’est de toute évidence le droit à l’inexistence qu’affirme, par sa simple nomination à la Santé, l’énarque Aurélien Rousseau.
En dépit d’une petite concession à son « aile droite » (sous la forme du remplacement du simili-indigéniste Ndiaye par le très « laïc » Attal), le mari de Brigitte a donc, en guise de remaniement, fait le choix (probablement inévitable, au demeurant) de la continuité.
On pourrait même dire qu’il en rajoute. C’est ce que manifeste, notamment, le remplacement de l’urgentiste Braun par l’énarque Aurélien Rousseau.
Non que Braun, en tant que médecin, ne se serait pas, comme toute la médecine covidiste, assis sur son serment d’Hippocrate, comme le neurologue Véran et l’hématologue Buzyn : personne ne s’attendait vraiment à la nomination d’un Raoult ou d’un Perrone.
Simplement, jusqu’à présent, Macron ménageait au moins les apparences de sa propre idéologie de la gouvernance technocratique, en nommant à ce poste des médecins – dont l’expertise médicale servait d’ailleurs, en tout et pour tout, à tenir la chandelle, pendant que le virologue Macron annonçait personnellement qui on allait vacciner contre quoi (Covid, HPV etc.), ou encore le lancement d’un plan contre la pénurie de médicaments.
La République des chefs de cabinet
Et ce, pour deux raisons, qui n’en font d’ailleurs qu’une :
- la santé, c’est 80% des préoccupations de l’EHPAD qui lui sert d’électorat, et
- c’est aussi l’une des principales sources de pillage du pognon de dingue par ses copains de Davos (section : Labos pharma).
Du coup, quoi de mieux, en effet, qu’Aurélien Rousseau, ancien chef de cabinet de Borne, pour servir de chef de cabinet à notre ministre de la Santé Emmanuel Macron ? De tous les ministères – rendus largement fictifs par l’hyperprésidence –, celui de la Santé est assurément celui dont l’existence, dans le cadre d’un régime d’empoisonneurs, relève le plus du surréalisme.
Après en avoir sué sous la Borne, Aurélien Rousseau méritait donc bien les vacances, grassement payées par le très contribuable, que représentent cet emploi semi-fictif – assurément plus reposant que le plan de recyclage que lui avait trouvé son ex-patronne, à la tête de la Caisse des dépôts, où, à défaut d’administrer quoi que ce soit (McKinsey s’en charge), il aurait quand même dû répondre à quelques questions délicates sur l’affaire BPI.
La propagande LGBT dans les écoles a pour but de recruter les futurs clients mutilés et médicalisés pour Big pharma et de faire payer tous les frais à ducontribuable.
Mais, dans les faits, qui va encore croire à cette supercherie sanitaire si lourde de dégâts sur les cobayes ? Qui va présenter son bras à chaque ordre donné avec les risques désormais connus d’y passer ?…