Dans la partie brésilienne de l’Amazonie, A Bélem, Lula a rassemblé tous les sycophantes socialisants disposés à diluer un vrai problème régional (la déforestation de l’Amazonie) dans les eaux troubles d’une croyance New Age planétaire (le climatisme). Tous ? – Non : accro à Brégançon, vexé d’être tricard de Johannesburg, l’ado Macron boude ses propres lubies.
Il n’est que trop facile de comprendre la passion de cet employé de banque pour le seul appareil que Tata Ursula et Oncle Joe le laissent gouverner en mode semi-autonome : le hors-bord.
Pour autant, on ne peut pas vraiment en vouloir à sa pseudo-opposition de gauche NUPES d’en profiter pour le tacler – d’autant que les élus locaux de la Guyane voisine, eux aussi maintenus à distance du sommet de Bélem, appartiennent à cette sensibilité.
Le positionnement politique de Mélenchon, après tout, c’est de croire avec fanatisme à toutes les fables oligarchiques davosiennes – des « pandémies » au « climat », en passant par les bienfaits du métissage – sur lesquelles la Macronie, elle, s’appuie avec un flegme très bourgeois, et tout juste de temps jugé nécessaire à la pénétration d’un « acte de gouvernement » dont – ô miracle ! – les cotisants du WEF (qu’ils soient actionnaires de « l’énergie verte » ou des sérums magiques) vont toujours sortir gagnants.
Un récit climatiste déforesté comme jamais
Mais tout de même : du point de vue du cœur de métier du mari de Brigitte – comprendre : de la com’ –, tout cela n’est pas très sérieux.
C’est le coup à suggérer à Gérard, 45 ans, du Lot – qui ne mesure pas forcément à quel point Manu 1er avait envie d’aller se faire mousser comme seul occidental parmi les pigmentés de Johannesburg – des idées complotistes.
Par exemple : que le grand récit eschatologique du climat n’a pas tellement d’intérêt en Amazonie – où se joue pourtant la bataille de la déforestation –, mais surtout en France, quand il s’agit de justifier la fermeture quasiment administrative de sa boulangerie (via des tarifs électriques parfaitement truqués) et le suicide de son beau-frère éleveur, dont les vaches pétaient trop pour ne pas indisposer Gaïa et ses « associations ».
Gérard risque de finir par se demander pourquoi on ne se décide pas enfin à raser cette saleté d’Amazonie, qui passe toutes les nuits que Dieu Gaïa fait à émettre du maléfique carbone.
La pratique du jet ski ( les écologistes apprécieront) est le signe d’une immaturité navrante de la part de l’employé de banque qui nous gouverne. Seul énergumène à bord il tourne furieusement la manette et la machine obéit dans un vacarme odieux . Rien avoir avec la pratique aristocratique de la voile, alliant la classe, la beauté, les éléments de la nature, de mener un équipage à la victoire et surtout de ramener l’équipage à bon port, un vrai travail de capitaine et non pas un exercice de petit nerveux.
Le fonctionnement de la photosynthèse
Grâce à l’énergie fournie par le lumière du soleil, la réaction produit de l’oxygène, qui est rejeté dans l’atmosphère. La formule de la photosynthèse est la suivante : 6 CO2 + 12 H2O + lumière → C6H12O6 + 6 O2 + 6 H2O.