Fondateur de religion, Gabriel Attal – que beaucoup prennent erronément pour un ministre de la 5e République – va, à partir de lundi, soumettre l’Éducation dite nationale à un rite illégal présenté (de façon juridiquement ininterprétable) comme « l’interdiction de l’abaya et du qami ».
Il faut donc croire que, d’ici à lundi, les enseignants et chefs d’établissements – promus agents de la police des mœurs de la théocratie davosienne de Paris – auront, dans le courant du week-end, bénéficié de cours d’arabe et de persan, ainsi que d’une formation « mode – confection femme » leur permettant d’interpréter ce hadith du prophète Attal, par ailleurs relativement sibyllin pour les locuteurs de dialectes gaulois.
A défaut de telles formations, on ne saurait guère imaginer que deux applications un tant soit peu cohérentes – et également efficaces en vue de la décrédibilisation accélérée de l’autorité publique – de cette fatwa :
- Ne pas en tenir compte, ne serait-ce que pour s’éviter l’ire des frérots locaux, qui, fonctionnant en tandem avec le provocateur Attal, n’attendent évidemment que cette occasion pour lancer leur propre coup de com’.
- Mettre systématiquement à l’amende tout(e) petit(e) basané(e) se présentant en cours dans tout accoutrement autre que le costume national français ®OTAN (c’est-à-dire la mode américaine, en légèrement moins obèse).
La mini-jupe est-elle un « signe d’appartenance » catholique ?
Depuis que son port n’est plus obligatoire, le niqab sanitaire est porté presque exclusivement par des adeptes de la religion covidiste (sympathique branche du manichéisme hygiéniste, très présente sur le territoire national). Faut-il, pour autant, le considérer comme un signe ostensible « d’appartenance religieuse » ?
On voit que l’arbitraire absurde introduit dans l’organisme administratif par ce caprice du baron Attal est susceptible de métastases à l’infini.
Il est d’ailleurs difficile d’exclure l’hypothèse d’une préméditation : que ce chaos – d’ailleurs fort dommageable en soi – soit sciemment provoqué, pour que la généralisation de l’uniforme obligatoire puisse par la suite – selon le modus operandi des pompiers pyromanes – être imposée comme une solution au problème (que le système aura lui-même créé).
On pourra même, au besoin, en rejeter la faute sur cette immigration de masse que ces mêmes Attal, Macron et Sarkozy/Darmanin laissent, depuis des décennies, affluer chez nous. Leurs appétits de mise au pas du cheptel humain disparaîtront ainsi derrière le rideau de fumée de la faute aux arabes.
« La politique, c’est l’art de chercher les problèmes, de les trouver, de les sous-évaluer et ensuite d’appliquer de manière inadéquate les mauvais remèdes. »
Depuis 55 ans l’éducation nationale a été systématiquement détruite par les enseignants socialistes « idiots utiles » du mondialisme davoisien. Il faudrait reprendre les plans de l’instruction publique pour rebâtir l’école meritocratique de la IIIe république ou bien s’inspirer de l’école suisse où les étudiants ne perdent pas leur temps en sociologie ou aux beaux arts, transformés en laids-arts étudiés par des lézards militants d’extrême gauche.
Ça va être marrant si les jeunes en question font de la résistance. Va-t-on ne plus les accueillir au bout des jours 5 et 6 après la rentrée ?
Le condottière Attal flamberge au vent ou dans…..