Les Américains hésitent à vacciner leurs chiens en raison des vaccins COVID, selon une étude récente. Aux États-Unis, les effets des injections Covid sur les enfants et les adultes ont provoqué des inquiétudes. Cette méfiance se répercute également sur la vaccination des animaux de compagnie. Selon l’étude menée par des chercheurs de l’École de santé publique de l’Université de Boston, environ 37% des propriétaires de chiens pensent que les injections pourraient amener leurs chiens à développer l’autisme, malgré l’absence de données scientifiques à l’appui de cette affirmation. Cette situation soulève des préoccupations importantes pour la santé publique, tant pour les animaux que pour les humains, car la vaccination canine est essentielle pour prévenir la propagation de maladies graves.
Depuis le début de la pandémie, il y a trois ans maintenant, les injections Covid constituent toujours une source de débat. Nombreux sont les arguments scientifiques qui vont à l’encontre de ces vaccins, notamment sur leurs effets indésirables, la sécurité des vaccins… la vaccination suscite de plus en plus de « fatigue pandémique ». Cette fatigue pandémique se traduit par une réticence, un manque de confiance à l’égard des informations sur le vaccin. Selon un sondage réalisé par KFF, un tiers des adultes pensent que les vaccins contre le Covid-19 ont causé « des milliers de morts subites chez des personnes par ailleurs en bonne santé ». Désormais, la méfiance à l’égard des vaccins pour chiens, connue sous le nom d’hésitation vaccinale canine (CVH), est devenue un sujet préoccupant aux États-Unis. Selon une étude, les propriétaires de chiens expriment des doutes quant à la sécurité et à l’efficacité des vaccins de routine pour leurs animaux de compagnie.
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Le total manque de transparence sur les effets secondaires des injections géniques Pfizer ( le professeur McCullogh cardiologue, chiffre à 200000 morts en 2021, 2022 en lien avec l’injection anti-Covid ) le manque de transparence a fait perdre confiance à la population dans la vaccination en général et même aux amoureux des chiens.
le manque de connaissance médicale et biologique de la population empêche de faire la difference
– entre une maladie grave (rage) et une grippe,
– entre un vrai vaccin traditionnel (virus atténué) et une injection ARNm dangereuse
– entre une bacterie, un virus “stable” et un virus mutant rapidement
– un vaccin et une injection d’AC monoclonal
bref, à force de mélanger tout et n’importe quoi et de manquer de transparence sur l’efficacité et les effets secondaires, ce rejet en bloc est compréhensible;
et si c’est aussi voulu pour une dépopulation malthusienne?
Dans ce monde qui inverse les valeurs, il semble qu’on évite dans les vaccins vétérinaires des substances qu’on impose aux humains.
https://odysee.com/@daniel:5f/RAPPEL-Dr-Marc-Vercout%C3%A8re—09.11.2022—Linavouable-composition-des-vaccins—La-soupe-de-poisons—et-2-vid%C3%A9os-en-compl%C3%A9ment:e?src=embed&t=107.29962671566764