Excellente nouvelle pour la Caste : les résultats de la consultation lancée en avril et ironiquement intitulée « En avoir pour mes impôts », censée permettre aux contribuables de « s’exprimer sur l’utilisation (…) de l’argent public », confirment le caractère nettement masochiste de la mentalité majoritaire.
Le vocabulaire même de l’enquête sent bon ses 50 nuances de fascisme gris : le « taux de consentement » au viol fiscal serait de 88% en France. Et ce, alors même que – miracle du simulacre démocratique et de l’information presque libre ! – 78% des mêmes répondants considèrent que l’argent prélevé est mal utilisé !
En d’autres termes : 10% des très contribuables (a priori à chercher dans le haut de la pyramide des âges), vivant dans une totale hypnose BFM, ne regrettent pas un seul des centimes dont les philanthropes Macron et Von der Leichen ont, en leur nom, fait don à l’amicale philanthropique Pfizer et, via « l’Ukraine », au complexe militaro-industriel américain. Des gâteux se font détrousser par des margoulins : c’est vieux comme l’humanité.
Bien plus inquiétant est le cas de ces 78% qui, tout en ayant conscience de l’imposture, se félicitent d’en être les victimes consentantes. La Caste aura leur fric, mais pas leur haine !
Un suicide d’une moralité exemplaire
Comme par hasard, ce chiffre – véritable baromètre de la pulsion de mort française – coïncide peu ou prou avec celui des cobayes/citoyens qui, bien qu’ils aient plus tard décliné les boosters (montrant ainsi qu’ils n’adhéraient pas vraiment au récit du « virus tueur »), s’étaient préalablement prêtés sans obligation au baptême transgénique – présenté comme l’apogée de la moralité abstraite – des deux doses réglementaires.
Mais le chiffre le plus révélateur ne provient pas des résultats de l’enquête, mais de son cadre méthodologique : surreprésentés dans l’effectif des répondants, les contribuables de facto sont en réalité minoritaires (44% des ménages) dans la population nationale.
Le statut objectif des 66% restants correspond plus à la définition d’une population qu’à celle d’un peuple : une masse de post-citoyens, plèbe tantôt corvéable, tantôt parasitaire, qui ne participe plus à l’Etat ni par le service militaire, ni par le paiement de l’impôt – rendu d’ailleurs improbable par la cession à l’Occident pigmenté de nos industries productrices de valeur ajoutée.
Ce qui nous ramène à la question des doses – car une population, ça se régule.
Puis-je vous suggérer une petite étude.
Je pense que l’argent facile par l’emprunt et l’impôt profite aux non-productifs d’en haut (fonctionnaires et bull-shits jobs) et aux non productifs d’en bas (les malins qui profitent de subventions pour vivoter et vivre d’expédients). Né pourrait-on montrer que ce sont ces gens là (souvent de gauche) qui profitent de la misère sociale interne et externe (celle des pays sous-développés) en captant l’essentiel des richesses ainsi prélevées ou plutôt confisquées.
En clair, celui qui appauvrit le travailleur français ou immigré et qui capte la richesse des nations pauvres n’est’il pas l’électeur de la Nupesplutôt que celui du RN.
On peut s’en rendre compte intuitivement mais pourriez-vius faire une étude éco sur le sujet?
Amicalement
« L’Etat, c’est la grande fiction par laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. » ( Frédéric Bastiat )
Sondage réalisé pour délivrer un message aux financiers qui détiennent notre dette?…
66% + 44% = = … = 110%
On sait qui ne remplacera pas Le Maire au ministère de l’économie 🤣
Les sondages sont comme les statistiques, faciles à orienter selon le résultat voulu. Et ceux qui les organisent sont juge et partie.
Bonjour,
On ne peut tirer aucune conclusion de cette étude non scientifique, purement à but de propagande. Du 100% fake.
Ne mélange t-elle pas le budget de l’état, en principe à base fiscale, et celui de la sécurité sociale, en principe basé sur des cotisations/contributions?
Ni les mêmes sources de financement, ni les mêmes formes de retours” ( collectif ou individuel), ni les mêmes populations concernées.
Bravo l’ artiste.