Dans cette capsule, Florent Machabert répond à la question de Vilfroume qui se demande à quel moment la trésorerie d’une entreprise placée en cryptos est fiscalisée.
Nos réponses en détail dans le dossier N°21 «La fiscalité des cryptos»
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Les cryptomonnaies en général et le bitcoin en particulier sont peut-être des ersatz de monnaie propice à une spéculation momentanée et opportuniste mais je ne pense pas qu’elles constituent une monnaie de réserve. Car si le mot monnaie en latin vient du temple de Junon Moneta à Rome, les inventeurs de la monnaie métallique les grecs l’appelaient Nomisma ( qui a donné numismatique) Nomisma provient de nomos = la règle, la loi et la monnaie tient sa crédibilité et sa force du souverain émetteur de la devise, et les cryptomonnaies sont par définition anarchiques et à mon sens pas fiables . Il faut, par ailleurs, rappeler que les cryptomonnaies sont grandes consommatrices d’énergie et c’est un problème.
Oui tout à fait d’accord. Et j’ajouterai à quoi peut bien servir un jouet pareil qui nécessite un réseau de serveurs, de l’électricité, tout un tas de conditions au travers d’un système auquel on ne fait pas confiance…
A part pour spéculer je ne vois pas non plus l’intérêt. C’est un produit purement mondialiste dans sa conception et son fonctionnement ; ce n’était pas une mauvaise idée en soi mais dans le monde dans lequel on vit c’est trop risqué et encore plus un moyen d’être contrôlé