Davos l’avait anticipé, le Courrier vous l’annonçait dès janvier 2023, et Bruno Le Maire vient enfin de vous le confirmer dans des termes clairs : dans l’intérêt du Great Reset – et surtout de la survie de ses artisans –, les travaux du volet « climatique » vont devoir être quelque peu ajournés pendant la finalisation des opérations du volet « inflation » (aussi connu sous le nom de « volet Ukraine »). Du coup, les propriétaires de « passoires thermiques » pourront se bercer d’une illusion de propriété privée pendant quelques mois de plus.
Pourquoi « d’une illusion » ? Parce que la propriété privée (qui est intangible ou n’est pas) n’existe pas vraiment lorsqu’un Etat s’arroge le droit (qu’il en fasse usage ou non) de la remettre en cause. Or interdire la location d’un bien, par un propriétaire consentant, à un locataire consentant, c’est remettre en cause ce droit – qu’on le fasse au nom de telle ou telle théologie, des lois raciales de Nuremberg ou d’une vague mythologie climatiste, cela revient au même.
Or cette illusion va à tout prix devoir être préservée pour quelques temps, sous peine de voir les dépossédés d’après-demain (les boomers à petit patrimoine) rejoindre dans la révolte les dépossédés de demain (jeunes sans avenir, tentés par le Gilet Jaune), et faire tomber des têtes – non pas à Davos, dont même Florian Philippot se garde bien de nous parler, mais dans sa domesticité politique de Bruxelles, Paris, Berlin etc..
Précis de cuisson de grenouille vivante
Il faut, quoi qu’il en coûte, faire durer encore un peu l’anesthésie des possédants en cours de dépossession.
Si la Macronie n’arrive pas à mettre en scène en 2024-27 une bonne lutte horizontale de la pseudo-gauche mélenchonienne, racisée à souhait et avide d’euthanasie, contre la pseudo-droite qu’elle s’efforce elle-même d’incarner (en réprimant des gloussements de rire), alors, le risque d’une contestation verticale, anti-oligarchique, voire libertarienne, devient une réalité. Ces gens-là n’ont pas envie de se retrouver en tête-à-tête avec Modeste Schwartz – et, personnellement, je les comprends.
Tonton Schwab les en avait d’ailleurs avertis dès le Global Risk Report publié à la veille de l’édition 2023 de Davos (et qui en constitue le libretto) : un rapport dont personne – dans la très subventionnée, donc très inutile presse française – ne vous avait parlé. Personne, à l’exception du Courrier des Stratèges.
Je pense que nous assistons au début de la fin de la farce climatique, en tout cas je l’espère.
Dans la même semaine, nous apprenons que les chaudières à gaz ne sont plus interdites, que l’interdiction du glyphosate est reportée sine die, que le calendrier relatif aux passoires thermiques sera précisé, donc reporté, et que la fameuse voiture électrique à 100€/mois, directement sortie du chapeau de Manu, ne concernera que très peu de gens dont la plupart n’en voudront pas puisqu’ils habitent en appartement et ne peuvent recharger leur bagnole.
Nous sommes bien rentrés dans l’ère de l’écologie à la française que, si j’étais vulgaire, je nommerai la fête du slip !
Le glyphosate n’a rien à voir avec une quelconque “farce”, encore moins “climatique”, c’est simple, il tué directement (cancers) et indirectement (plus d’insectes pollinisants c’est le renchérissement des grandes cultures qui doivent toutes devenir OGM etc.
Lire des lobbyistes jusqu’ici, c’est fatigant. Retenez-vous, que diable !
Vous avez raison, les choses ne sont pas binaires et la science qui est censée nous éclairer, est malheureusement utilisée comme une religion sectaire et obscurantisme à des fins politiques criminelles.
Il convient d’avoir des scientifiques objectifs hors lobbyes ou idéologies pour nous éclairer réellement notamment sur la toxicité du glyphosate et son effet sur la fertilisation des sols.
Nous savons que l’oligarchie mondialiste a dans l’idée de créer la pénurie dont alimentaire et le brevetage du vivant par les ogm en instrument de pouvoir et pression totalitaire parmi d’autres outils dont la technologie.
Nous devons prendre en compte ce centre en Norvège où sont stockés tous les espèces agricoles.
Merci de ne pas répéter bêtement les demi-vérités entendues ici ou là. En premier lieu il ne faut pas confondre le glyphosate avec le produit dans lequel il est incorporé, les excipients et additifs ayant leur effet propre et encore moins avec la façon dont il est utilisé par des professionnels ne prenant parfois pas les précautions d’usage élémentaire. Il reste néanmoins nettement moins toxique que des produits considérés “bio” comme la bouillie bordelaise à base de sulfate de cuivre et que l’on retrouve avec générosité dans le vin, parmi tant d’autre exemples.
Pour mémoire, si l’aspirine était découverte aujourd’hui elle ne passerait pas les tests de pharmacovigilance…
De fait, pas de glyphosate = pas de sucre de betterave. Pour être cohérent, vous êtes invité à vous procurer du sucre de canne sans pesticides, si vous réussissez à en trouver.
En réalité, les agriculteurs tentent au jour de le jour de diminuer leur consommation de pesticides car ces produits sont chers et ne rapportent rien en chiffre d’affaire ou en marge, à l’inverse des engrais ou des plastiques par exemple. La vraie question est donc la mise à disposition d’alternatives, ce que la rigidité réglementaire rend souvent compliqué.
Quand aux scientifiques, ce sont des hommes comme les autres qui travaillent pour celui qui les paie. Les commanditaires – car les scientifiques travaillent sur projet – rédigent une feuille de route, avec les résultats attendus. Bien évidement, des résultats en ligne avec la commande facilitent l’obtention du projet suivant. Si les falsifications de données brutes ne sont trop courantes, les biais dans les hypothèses et l’interprétation des résultats eux le sont.
Le seul blé européen a plus de 200 prédateurs, parasites ou maladies connues et l’on peut décliner pour toutes les cultures. Dans ce contexte, les pesticides restent un outil précieux, qui doit bien sûr être utilisé à bon escient.
Autrefois on appelait cela la responsabilité personnelle, mais en socialie ou préfère souvent incriminer le produit au lieu de l’utilisateur. Une manière commode pour ceux qui souhaite le pouvoir de le prendre à travers ce sophisme des “produits dangereux”.
Avant de faire l’intello-scientifico-philosophe, apprenez à lire. J’en sais foutre rien sur la toxicité du glyphosate et c’est pourquoi je compte ( comme je le précise pré-cé-dé-ment ) sur les scientifiques honnêtes, type Raoult pour une autre affaire, et non payés par les industriels ou autres requins du capitalisme de copinage et leurs copains politocards. Et c’est pas les très condescendants comme vous qui font parti du tout et son contraire que j’entend depuis toujours qui m’empêcheront de réfléchir et de douter et non pas de répéter bêtement que je vous renvoie à vôtre super-intelligence.
Oui Longcours vous avez raison en ce qui concerne le Glyphosate, et Jean Paul, lui a bien tort de ne réagir que suivant une doxa anti doxa. Réfléchir que diable. Pour cela redevenir à minima cartésien : “ne jamais recevoir aucune chose que je ne la connusse évidemment comme telle”.
Ce que prouve cependant les retournements du gouvernement, c’est qu’il n’est pas si attaché que cela à ce qu’il a pourtant appelé “priorité urgentissime” quand cela l’arrangeait.
Donc, pourquoi, alors qu’il a le “pouvoir” ne s’en sert-il pas pour impulser les changement pour lesquels il considère avoir été élu et qui seraient sa priorité absolu ?
Et bien sans doute parce que ses priorités ne sont pas celles qu’il dit. Elles sont ailleurs. Et la question qui suit est : au service de qui alors ?
Sans engrais ni pesticides les récoltes seraient maigrelettes, il faut choisir entre la famine et une probabilité réelle mais faible de cancer ( pour le consommateur pas l’agriculteur) , les sociétés modernes ont choisi l’abondance, rassurez-vous les décroissants nous préparent la « sobriété «
Hier deuxième facture de régularisation EDF : + 25% qui s’ajoutent aux 20% de plus en juillet et les 20 autres % qui sont déjà dans les tuyaux.
“Vous les gueux allez connaître la misère et la faim et moi K. Schwab et mes amis milliardaires nous allons nous enrichir de votre patrimoine.”