A défaut d’avoir des enfants, Gabriel Attal, dont la légitimité professionnelle en matière d’éducation est nulle, dispose heureusement des vôtres, obligatoirement confiés à l’institution totalitaire qu’il contrôle, pour mener à bien ses expérimentations amusantes d’ingénierie sociale. La dernière en date concerne (on la voyait venir) le port d’un uniforme scolaire.
La mesure arbitraire et vexatoire visant l’abaya aurait-elle été prise de peur de toucher à une question de l’uniforme scolaire qui serait tabou en France ?
Il faut croire que non, puisque Gabriel Attaltürk, après avoir raté sa tentative d’ignition d’une guerre civile ethnique – mais réussi à susciter une levée de bouclier mondiale contre l’illibéralisme macronien – en interdisant sous prétexte de laïcité des vêtements indéfinissables indépendamment de l’identité ethnique de leur porteur, parle désormais « d’expérimenter » en matière d’uniforme. La chronologie des manœuvres a, en l’occurrence la valeur d’un aveu.
Gageons que cette nouvelle saillie illibérale s’enfoncera, elle aussi, dans l’apathie d’une opinion parfaitement Charlie, tous piqués et tous protégés, à laquelle les manipulations sadiques de l’exécutif du fascisme gris macronien ne parviennent plus à arracher le moindre réflexe de révolte.
Pour une sortie groupée du Club SM « Education nationale »
Après des décennies de féminisme, après tout, Attal n’a plus face à lui des familles, mais des couples affligés de la charge d’une progéniture qui ne leur appartient que du point de vue des obligations financières, tout le reste – de la religion à l’orientation sexuelle – relevant du bon vouloir du Léviathan étatique.
Après tout, la majorité de ces post-citoyens qui devront bientôt équiper leurs gosses de frusques qui soient du goût du baron Attal ont préalablement accepté que leur soient appliquées, sous égide de l’OMS, les procédures de la médecine vétérinaire. Les anti-spécistes vous feront remarquer qu’on ne demande pas non plus aux vaches quel avenir elles rêvent pour leurs veaux.
Cette ambiance d’autoritarisme débridé rend certes particulièrement savoureuses les saillies pseudo-girondines dont de fend cet exécutif tyrannique, dans le cadre de la mise en scène scrupuleuse de son virage néo-conservateur :
« qu’il puisse y avoir des territoires et des établissements différents (…) [pour avoir] une vraie méthodologie d’évaluation »
Et si, pour favoriser la fameuse différence, on laissait les parents décider de ce que doivent porter, apprendre etc. leurs propres enfants ? Et si on en finissait avec l’Education nationale ? Et avec Attal ?
Avant d’imposer un uniforme ne pourrait on ne pas imposer la blouse comme dans l’ancien temps ? Tout cela n’est rien à côté de la vaccination anti papillomavirus des petites filles par le Gardasil qui lui aussi provoque beaucoup d’effets indésirables.
des petites filles et des petits garçons : le crime lucratif continue.
Et de plus il ne suffit plus de vacciner les filles, on cible aussi les garçons, voir l’excellent article publié sur ce lien.
https://www.covidhub.ch/le-gardasil-en-question/
Et si on laissait les établissements décider? De cela et de bien d’autres choses.
D’aucuns rétorqueront qu’il y a des risques de ceci ou cela, les hommes étant faillibles.
Serait-ce pire que la situation actuelle?