Nouvel épisode de notre journal catholique hebdomadaire. Aujourd’hui, Edouard Husson nous dresse l’actualité de quatre sujets brûlants. D’abord, la défiance du Pape François vis-à-vis de l’évêque de Toulon. Ensuite la réaction du pape à l’élection de Javier Milei en Argentine. L’enjeu de la relation avec Israël se situe en partie au coeur de la rivalité avec Milei. Plus généralement, Edouard achève sa présentation en refaisant un point sur les relations entre le Vatican et Israël.
La question de la nomination d’un évêque coadjuteur à Toulon, pour “épauler” Monseigneur Rey, rappelle le poids des traditions dans l’Eglise. L’avenir des communautés charismatiques et des communautés traditionalistes est au coeur d’une discrète mais intense bataille que le destin de l’évêque de Toulon illustre bien. Dans la pratique, le pape François se méfie des liturgies trop traditionnelles.
Ne manquez pas le numéro prochain consacré aux relations entre Eglise catholique et judaïsme.
Je trouve dommage que ces sujets intéressants ne donnent lieu qu’à des vidéos et pas à des articles écrits
Cela confirme ce que dit Javier Milei du pape François, « il est le représentant du Malin sur terre » Dés qu’un séminaire recrute des jeunes séminaristes il es avions m ses qDdp
Mes excuses pour la dernière phrase estropiée,
Clairement dit cela confirme ce que Javier Milei dit du pape François « il est le représentant du Malin sur terre » ils empêche le développement des séminaires qui recrutent.
Je rejoins Edouard Husson sur le fait que le pape François a parfois des positions inattendues pour un suppôt du NOM, notamment sur la Palestine. Je me souviens très bien qu’il a déclaré que le conflit ukrainien a été causé par “les aboiements de l’OTAN contre la Russie”…
En politique internationale, rien n’est jamais tout blanc ou tout noir.