Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent à maintenir un discours de la peur. Dernièrement, l’Organisation mondiale de la santé a estimé que la “maladie X” pourrait être la prochaine menace sanitaire. Afin de renforcer la surveillance génomique à l’échelle mondiale, deux laboratoires, l’un au Royaume-Uni et l’autre en Afrique du Sud, se sont unis. Cette collaboration vise à maintenir l’attention sur l’importance de la surveillance génomique pour mieux surveiller non seulement le covid, mais aussi d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme et le choléra.
Alors que l’urgence Covid n’est plus d’actualité et que la situation sanitaire à l’échelle mondiale s’est nettement améliorée. La surveillance génomique reste au cœur des préoccupations dans la lutte contre les variants du coronavirus. En 2023 , l’OMS avait mis en place un nouveau dispositif appelé Réseau International de Surveillance des Pathogènes pour détecter les éventuelles maladies infectieuses et partager les informations entre les pays et les régions. L’objectif est d’identifier les nouvelles infections le plus tôt possible afin de prévenir une pandémie. Par ailleurs, deux laboratoires du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud vont unir leur force afin de partager des ressources et de soutenir les partenaires dans la mise en place de cette surveillance génomique des maladies infectieuses à l’échelle mondiale.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
Détection => prévisions catastrophistes, genre Ferguson => panique => nouveaux “vaccins” ou “antibiotiques”
Peut on renoncer, après leur succès ,aux vaccins tire-lire ?