Les professionnels de la santé à la tête des campagnes de vaccination contre le Covid-19 n’ont cessé d’affirmer que « le vaccin Covid est un vaccin normal, sûr et efficace ». Cependant, des préoccupations persistent quant aux effets indésirables des vaccins, notamment en ce qui concerne les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Une récente étude mondiale, portant sur 99 millions de personnes vaccinées dans huit pays, a révélé des associations entre les vaccins Covid et ces affections. Malgré ces constats, il est incompréhensible que les gouvernances sanitaires n’aient modifié leur position sur la vaccination alors que le constat de ces problèmes cardiaques et vasculaires parfois fatals se renouvelle de plus en plus dans les revues de pharmacovigilance.
La question des risques du vaccin n’est pas nouvelle. Un groupe d’experts internationaux en vaccins a mené une vaste étude sur les vaccins contre le Covid-19. Ils ont découvert que les injections favorisaient le développement de différentes pathologies incluant notamment les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Cela dit, l’équipe a affirmé que le risque reste relativement faible. Quoi qu’il en soit, une étude plus approfondie est nécessaire concernant les liens entre les vaccins et certains troubles.
Les vaccins Covid associés à de nombreuses maladies
Un groupe international de chercheurs a réalisé une étude de cohorte multinationale du Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN) portant sur 99 millions de personnes vaccinées contre le Covid. En réalité, cette coalition d’experts avait recherché 13 troubles de santé sur les 99 millions d’individus vaccinés dans 8 pays. Leur objectif était d’identifier les taux les plus élevés de ces maladies suite à l’administration des vaccins. Ils ont alors découvert que les injections Pfizer, Moderna et AstraZeneca augmentent le risque de développer des troubles cardiaques, sanguins et neurologiques.
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Merci au CdS de tenir la rubrique du crime de injections ARNm anticovid. En mars 2023 selon Health impact News on dénombrait en Europe 50600 décès et 5300000 pathologies graves invalidantes post vaccination, le chiffre a dû augmenter depuis un an.
D’après un scientifique canadien dont j’oublie le nom, les injections auraient causé le décès de 17 millions de personnes dans le monde.
Chiffre repris par d’autres chercheurs.
Je crois que si ces crimes de masse arrivent à la conscience de nos concitoyens, alors peut-être le réveil sonnera pour le reste.
Ces produits ne sont absolument pas des vaccins contrairement à ce qu’on nous a fait croire. C’est un mensonge monstrueux. Il suffit de regarder ce qu’ils produisent dans l’organisme une fois injectés. Il faut arrêter de parler de vaccins.
Et malgré ça, rien n’est pris en compte et toujours personne ne va en taule.
Bonjour, j’ai lu l’article que vous citez, et il m’a semblé très suspect.
1) la date de réception et d’acceptation de l’article sont trop proches “Received 29 January 2024, Accepted 30 January 2024, Available online 12 February 2024.” Les relecteurs du journal auraient réussi à relire l’article et donner un avis en 1 seul jour ? ce n’est pas raisonnable du tout de le croire !
2) la section “Declaration of Competing Interests” est surchargée. Les auteurs sont liés au CDC, GSK, Gilead, Pfizer et des agences gouvernementales US et Canadiennes.
3) Les analyses se contentent de rapporter les chiffres d’une manière illisible pour le commun des mortels et surtout s’abstient de tout jugement négatif envers les vaccins, et envers la politique sanitaire. Les auteurs pourraient au moins parler de la balance bénéfice/risque et dire qu’il faudrait la considérer au cas par cas… mais même pas.
Quand quelqu’un de non-formé lit ” an increased risk of myocarditis among young males aged 16–24 years, based on 4–7 excess events in 28 days per 100,000 vaccinees after a second dose of BNT162b2, and between 9 and 28 per 100,000 vaccinees after a second dose of mRNA-1273″, il n’arrive pas à savoir à quel point le risque est augmenté. En gros, on a envie de savoir combien on a de chance sur 100 d’avoir un effet grave…. et les articles font rarement le travail de convertir les résultats en 1 information dans ce format. Et je ne suis pas capable de faire cette conversion, malheureusement.
A vrai dire, j’ai plutôt l’impression que cet article va servir aux autorités de santé (et aux journaux incapables d’analyser avec sérieux) à faire croire que les effets indésirables sont rares, au sens USUEL, et donc, qu’on n’a pas besoin de se prendre la tête avec. Je vous remets les phrases pertinentes de cet article sur l’incidence des effets indésirables:
“Overall, this evidence supports our findings of a GBS safety signal following ChAdOx1 vaccination. Although rare, this association was acknowledged by the WHO, the European Medicines Agency (EMA), and Therapeutic Goods Administration (TGA) of Australia, resulting in GBS being listed as a rare side effect following exposure to ChAdOx1 [15], [29], [30].”
“Ultimately, this rare but concerning safety signal led to the withdrawal of the ChAdOx1 vaccine from COVID-19 vaccine programs or implementation of age-based restrictions in multiple countries [8].”
“However, our study confirms findings of previously identified rare cases of myocarditis and pericarditis following first and second doses of mRNA vaccines [21], [22], [23], [34]” “however, the number of cases of this rare event were small and the confidence interval wide, so results should be interpreted with caution and confirmed in future studies. ”
“Based on reports of rare ADEM cases to the European Database of Suspected Adverse Drug Reaction, EMA assessed the potential association of ADEM following vaccination with ChAdOx1 [45].”
“This enhances the ability to detect safety signals, especially for extremely rare adverse events, as the larger sample size provides greater precision in estimating observed rates.”
“While our study confirmed previously identified rare safety signals following COVID-19 vaccination and contributed evidence on several other important outcomes, further investigation is warranted to confirm associations and assess clinical significance. ”
Comme vous le voyez, le mot rare revient à chaque fois…. Ce qui laisse l’impression que c’est vraiment pas fréquent. Mais le mot rare, au sens USUEL, c’est à dire dans le langage courant, a une valeur chiffrée dans le monde médical des effets indésirables.
Petit rappel: Les effets indésirables peuvent être classés selon leur fréquence de survenue : Très fréquent : peut survenir chez plus d’1 personne sur 10. Fréquent : peut survenir chez 1 à 10 personnes sur 100. Peu fréquent : peut survenir chez 1 à 10 personnes sur 1 000. Rare : peut survenir chez 1 à 10 personnes sur 10 000. Très rare : peut survenir chez moins de 1 personne sur 10 000.
et nous découvrons donc que le sens TECHNIQUE, et non pas usuel, de l’adjectif RARE correspond à 1-10 sur 10 000 !! Qui a envie de jouer à la loterie de l’effet secondaire myocardite/péricardite (en ne citant que celui-là) quand c’est par exemple 5/10,000 (c’est à dire 1/2000 ?).
Si vous vous renseignez, vous découvrirez qu’on ne se remet jamais complètement d’une infection cardiaque et que cela affecte presque toujours votre espérance de vie. Demandez donc à votre cardiologue.